La méditation, la méditation pleine conscience, l'autohypnose, appelez cela comme vous le souhaitez, mais pratiquez-la! Les études énonçant les bienfaits de la méditation sur la concentration et sur le cerveau pullulent. C'est le nouveau remède du siècle. Mais surtout, c'est vraiment efficace et pas si compliqué.
La sieste est un outil redoutable contre la fatigue, à condition qu'elle soit bien utilisée. Il existe plusieurs sortes de siestes que vous pouvez adapter à vos besoins et à vos obligations : La Power Nap de 20 minutes maximum : idéale au travail. La sieste de 30 minutes : pour un repos plus conséquent.
- faire des pauses d'au moins 10 minutes toutes les 90 minutes: un cerveau actif brûle 20-25% du glucose du corps ce qui produit des déchets qu'il a besoin d'éliminer pour permettre aux cellules neuronales de se régénérer.
On reste couché et on se repose : même si le sommeil n'est pas de qualité, le fait de se reposer en restant couché peut être bénéfique pour le rythme cardiaque et pour l'organisme en général.
Plusieurs causes peuvent expliquer un sommeil de qualité médiocre, ou des insomnies, comme le fait d'avoir des douleurs, de présenter une apnée du sommeil ou un syndrome de jambes sans repos, par exemple.
Les facteurs liés au travail peuvent comprendre notamment les longues heures de travail, les périodes prolongées d'activité physique ou mentale, les pauses trop courtes entre les quarts de travail, les changements de poste, la rotation des quarts, un repos insuffisant, un stress excessif, le fait d'occuper plus d'un ...
Changer ses habitudes de vie pour se sentir moins fatigué
Au travail, faites de petites pauses pour marcher un peu, quitter votre ordinateur, etc. Conservez une alimentation équilibrée et mangez à heures régulières. Le fait de sauter des repas, tout comme le grignotage, sont source de fatigue.
Accordez-vous des pauses fréquentes. Faites des siestes si vous le pouvez. Planifiez vos activités de détente aussi sérieusement que les tâches dites importantes. Travailler trop longtemps et trop intensément ne sert à rien…
Des chercheurs du Karolina Institute à Stockholm en Suède ont établi que dormir moins de 5 heures par nuit, chaque nuit, augmenterait le risque de mortalité de 62 % par rapport à ceux qui dorment 7 heures par nuit.
Si vous vous sentez très somnolent le jour, limitez votre sieste à une période de moins d'une heure, avant 15 h. Si vous souffrez d'insomnie, évitez la sieste, ou limitez-la à 15-20 minutes avant 15 h, pour favoriser le besoin de sommeil.
Tentez la micro-sieste fermez les yeux, détendez vous pendant environ 10 minutes : l'effet sera toujours bénéfique. La respiration comme la sophrologie peuvent être d'une aide précieuse pour récupérer. Sur du court terme, un aliment ou une boisson peut vous donner un regain d'énergie, à ne pas utiliser à long terme.
De nombreuses maladies mentales sont liées à une inhibition neuronale inadéquate du cortex préfrontal et de l'hippocampe, qui sont alors « surexcités ». Il s'agit notamment de la schizophrénie, de la maladie d'Alzheimer, des troubles autistiques, de la dépression et des troubles bipolaires.
SE CONCENTRER SUR SA RESPIRATION
Prendre le temps de s'asseoir, le dos droit, d'inspirer et d'expirer par le nez. Écoutez votre respiration et remarquez comme elle change votre corps : la chaleur aux narines, la poitrine et le ventre qui se gonflent et dégonflent.
Dans tous les cas, se coucher à des heures régulières et laisser le stress hors du lit sont la clé pour un sommeil de qualité. Et si tu es tout de même fatiguée, une sieste de 20 minutes en journée, idéalement entre midi et 15 h, pourrait bien te requinquer.
Agissez pour lâcher prise
Débarrassez-vous de vos croyances : « je suis nul(le), je n'y arriverai jamais, je dois absolument être à la hauteur, il faut que tout soit parfait…». Nul besoin de jouer les héros. Vous devez seulement accepter vos limites et déterminer ce qu'il vous est possible de faire.
On parle également de surcharge cognitive ou d'épuisement par saturation. La saturation, ou surcharge cognitive, s'installe lorsque le cerveau doit faire face à plus d'informations qu'il ne peut en traiter. Il se trouve tout simplement dépassé par le volume de sollicitations qui se présentent à lui.