Se sentir mal chez soi parce qu'on subit une situation
Des choses simples peuvent vous aider à vous approprier un lieu : accrocher des rideaux, fixer un joli tableau au mur, investir dans une nouvelle parure de lit à votre goût, mettre des bougies LED dans une jolie lanterne pour un décor plus cosy…
Un sentiment de stabilité
Se sentir chez soi, c'est sentir le sol ferme sous ses pieds, comme si la maison était un rocher dans l'océan, un port d'attache. C'est à cette condition que l'on se sent paisible, mais aussi que l'on éprouve du plaisir à évoluer dans son environnement.
« Se sentir chez soi, c'est d'abord réussir à imprégner ce lieu d'effluves odorants familiers, confirme Pierre Soler, psychologue. Notre habitation devient ainsi une part de nous-même à laquelle nous pouvons nous identifier. » Ce n'est donc pas un hasard si nous l'appelons notre "intérieur".
Ne pas se sentir à sa place est un sentiment difficile : on se sent souvent incompris, inutile, seul (même si nous sommes entourés de gens) et impuissant, car on ne sait justement pas quoi faire pour trouver notre place.
Mais rester enfermé entre quatre murs 24h/24 risque d'augmenter les niveaux d'anxiété et les troubles du sommeil, rappellent les spécialistes. En cause, le manque de lumière naturelle, essentielle pour réguler notre horloge biologique responsable, entre autres, de l'appétit, de l'humeur et du sommeil.
Cette adaptation peut prendre du temps. Rien de grave, cela est normal. Mais certaines personnes peuvent ne pas être bien dès les premiers instants. Entre-temps, « d'autres sensations vont venir se superposer et changer notre regard sur le lieu » indique Marion Leclere, consultante en bien-être et habitat.
Les toxines provenant du plancher, des tapis, des téléviseurs et les ameublements pelucheux contribuent tous à la pollution de l'air ambiant et peuvent vous rendre malade.
Cela peut être la sphère du travail ou de l'affectif. Cela peut s'activer par un lieu, un mot, un sentiment amoureux, un sentiment de haine. Les émotions et les ressentis de la vie sont des canaux qui vous renvoient toujours en quelque part à votre histoire passée.
Elle est un lieu d'intimité, de ressource, de retrouvailles entre proches. Elle touche au bien-être, à l'authenticité, puisque nous y vivons en huis clos, sans avoir l'inquiétude du regard extérieur. Dans ce sens, elle est notre enveloppe et sécrète un lien invisible qui unit ceux qui l'habitent.
Plus de 500 personnes y ont répondu, ébauchant une définition du « chez-soi » : le lieu où l'on vit et mène nos activités de la vie quotidienne dans l'intimité et dans un sentiment de bien-être apprécié.
La sécurité au sein de sa maison
Être fier de son chez soi représenterait 44% de notre bonheur domestique. La sécurité englobe plusieurs aspects. D'abord, bien sûr, la protection de la maison et de ses occupants.
Pour se sentir bien dans son nouvel appartement ou sa nouvelle maison, il faut y faire des expériences, construire des souvenirs, vivre des moments agréables. Commencez donc par organiser une pendaison de crémaillère. Puis invitez-y vos proches pour partager un bon dîner ou une soirée cinéma !
Il est important de garder de l'espace pour ne pas se sentir oppressé. Il ne s'agit pas d'avoir une maison standardisée mais un espace de vie qui vous ressemble tout en gardant des pièces claires, aérées et pas trop encombrées.
Qu'est-ce qu'une maison saine ? Une maison saine est une maison qui respire. Lumineuse, la maison saine du sol au plafond apporte à la fois confort et bien-être à ses habitants en leur offrant une bonne maîtrise des énergies.
Plus la maison est ancienne et plus ce risque est élevé : il serait de 87 % pour une habitation construite avant 1940, par exemple. Si la peinture au plomb est cachée sous de nombreuses couches de peinture et que celle-ci est en bon état, il n'y a normalement pas de danger.
Il existe trois types de contamination: par les microgouttelettes pleines de virus émises lorsqu'on tousse, qu'on éternue ou qu'on postillonne; par le contact direct avec une personne infectée (bisous, serrage de main) ou bien par le fait de toucher des objets préalablement contaminés par une personne malade (poignées ...
Selon nos confrères, éclairés par les lumières du cardiologue et nutritionniste Frédéric Saldmann, les méfaits de la sédentarité se manifestent dans un premier temps par une perte de forme physique. Ne pas se dépenser ni bouger pendant plusieurs heures, peut entraîner une prise de poids.
Parce qu'on n'a pas appris à être heureux, à avoir confiance en soi, à gérer ses émotions et à gérer son stress et son anxiété. Parce qu'on n'a pas appris à se fixer et à atteindre des objectifs de coeur, à être et rester motivés.
Peur de la dépendance à autrui, refus des contraintes de la vie en communauté, recherche d'autonomie, intolérance à la frustration, évitement de la tristesse, de l'ennui, recherche du plaisir sont des sentiments, des motivations qui peuvent mener aussi bien à une addiction qu'à un repli sur soi-même à l'intérieur d'une ...
Un comportement apathique peut être provoqué par de nombreuses causes. Les premières sont les troubles psychologiques : "L'apathie peut faire partie d'un tableau clinique", explique Dina Karoubi-Pecon. La bipolarité, la schizophrénie ou encore la dépression peuvent entraîner de l'apathie.
Causes de la clinophilie
La clinophilie est un symptôme très peu spécifique d'une pathologie, qui peut se retrouver dans plusieurs maladies psychiatriques. Symptôme quasi constant dans la dépression, la clinophilie est alors liée à un manque d'élan vital, qui empêche de faire des choses, et de sortir de chez soi.