Il consiste tout simplement à nager de manière parallèle à la plage pour s'extirper du baïne. Une fois en dehors du baïne, les vagues et les courant favorables vous pousseront vers le rivage. N'oubliez pas d'essayer d'attirer l'attention des sauveteurs ou des vacanciers pour qu'ils vous portent secours.
Les baïnes ont tendance à emporter les personnes vers le large ! Le conseil classique est de se laisser emporter et de s'échapper du courant une fois que celui-ci s'atténue, et surtout ne pas paniquer quand on se retrouve emporté loin de la côte.
D'autres conseillent de nager parallèlement à la côte pour sortir aussi vite que possible du courant et rejoindre une zone de déferlement des vagues. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, c'est là où cassent les vagues que l'on est le plus en sécurité (les vagues ne cassent pas dans la baïne).
Le danger apparaît lorsque la marée monte. A ce moment, la baïne se remplit et rejoint l'océan ce qui crée des courants forts vers le large. Si vous vous trouvez dans une baïne à marée montante, vous courez le danger d'être aspiré vers l'océan.
Comment reconnaitre les baïnes
A marée basse, une baïne forme un creux sur la plage. Un peu d'eau peut y stagner alors que la plupart de la plage est à sec. A marée haute, une baïne se présente sous une zone d'eau calme où les vagues ne déferlent pas. La couleur de l'eau y est plus sombre.
Mangawhai, Nouvelle-Zélande. Si l'île du Sud de la Nouvelle-Zélande est l'une des destinations préférées des amateurs de sensations fortes, elle abrite également la plage idéale pour des vacances au calme. La région de Mangawhai, entourant le port du même nom, abrite l'une des plages les mieux notées pour se détendre.
D'ailleurs "baïne" signifie "petit bain" en patois landais. Ces sortes de cuvettes peuvent avoir des formes bien différentes en fonction de leur zone de formation, de la puissance de la houle qui les a créées, etc. Elles peuvent atteindre plusieurs dizaines de mètres de superficie et quelques mètres de profondeur.
Le dispositif d'alerte aux baïnes est activé sur tout le littoral aquitain ce vendredi 26 août. La journée est considérée par les autorités comme à risque maximal à cause des phénomènes combinés de la houle, des vagues de bord et de forts courants.
Mais, c'est là que réside le plus grand danger puisque de forts courants sous-marins peuvent piéger les nageurs peu expérimentés ou fragiles (personnes âgées et enfants) qui ne mesurent pas toujours la difficulté qu'ils auront à regagner la plage dans ces moments-là et qui s'épuisent face aux éléments.
Lorsque la mer est haute, on peut se baigner et pratiquer des activités nautiques plus facilement. Quand elle baisse, c'est le bon moment pour aller à la pêche, faire du cerf-volant ou s'amuser dans les rochers.
Autrement, ne vous épuisez pas en essayant de nager à contre-courant et, si vous êtes fatigué, faites la planche pour flotter naturellement et pour reprendre votre souffle. Une fois que le courant s'atténue, vous pourrez vous en échapper.
Un courant d'arrachement, courant de retour, flot de retour, courant de déchirure ou encore courant sagittal, est un fort courant de retour qui entraîne en direction du large les eaux apportées par les grosses vagues qui se brisent sur les plages. Ce courant peut être accentué par la marée descendante.
L'idéal est de rester derrière lui à moins de 50 cm sans lui toucher les pieds. Le nageur crée un sillon en forme de V. En restant dans son sillage, vous allez profiter de l'eau qu'il déplace pour vous laisser aspirer et ainsi fournir moins d'efforts physiques.
La bâche, aussi appelé baïne, est une cuvette suivie d'un banc de sable. Lorsque la marée recouvre la baïne, l'eau s'échappe violemment vers l'aval selon un système de vidange. Ce sont ces courants de « sorties de baïnes », ou courant d'arrachement, qui provoquent chaque année des accidents.
À Andernos-les-Bains, vous pourrez choisir entre la plage des Quinconces, la plage de la Jetée et son centre nautique, la plage du Mauret et celle du port ostréicole. Une mention spéciale à la plage du Bétey avec son aire de jeux pour les enfants.
Le lieu le plus dangereux de France reste la côte Atlantique.
La mer de Tasmanie
Entre l'océan Pacifique et l'océan Indien cette mer est le passage obligé lors de la course Sydney Hobart. Une marmite où les vagues peuvent dépasser allègrement les 15 mètres. Il y a eu de nombreux concurrents qui y ont laissé leur vie pendant la traversée de cette mer impitoyable.
La vague, pour sa part, est le déferlement de la houle quand celle-ci rencontre un obstacle (fond, rocher…). Ce déferlement sera d'autant plus violent que la remontée des fonds est brutale, d'où le fait que les plus grosses vagues se produisent généralement sur des rochers plutôt que sur des plages.
La formation des courants marins
Pour les courants marins de surface, leur formation dépend de deux facteurs : le vent et la rotation de la Terre. Ces courants suivent en effet la trajectoire des vents, qui entraîne un mouvement de l'eau. Mais le vent n'est pas le seul à impacter les courants en surface.
Le coefficient de marée est ensuite issu d'une formule mathématique assez simple : marnage du jour J / 6,1×100. Lors d'un marnage exceptionnel, par exemple 7,2 mètres à Brest, alors le coefficient de marée est (7,2/6,1) x100 = 120.
Dans Midi Libre, le 15 juillet, le lieutenant Philippe Atlani, chef du service nautique des pompiers de l'Hérault, rappelait pourtant que "la Méditerranée est de plus en plus dangereuse", sous l'effet de l'érosion "qui change la configuration du littoral", avec "des bancs de sable en mouvement perpétuel" et "des ...
Bali. L'Asie du sud-est possède les mers les plus chaudes du globe, donc lors d'un voyage à Bali misez sur les plage de sable chaud et le lagons peu profonds. Kuta, Legian Beach pour les surfeurs, Nusa Dua, Benoa Sanur pour le farniente !