À noter que contrairement aux idées reçues, le repos prolongé est tout à fait déconseillé dans les cas de lumbago. Une reprise de la marche dès que la douleur devient supportable va contribuer à une guérison plus rapide.
La lombalgie se soigne, mais comment ? Le lumbago peut durer jusqu'à 4 mois et sa guérison est parfois longue. Sa durée dépend de l'intensité de votre douleur et du moment à partir duquel vous déciderez de vous prendre en charge. Afin d'éviter la lombalgie ou de prévenir les récidives, vous devez agir !
La lombalgie substitue une fatigue nerveuse à une fatigue physique. La fatigue nerveuse augmente à cause du stress : peur de la douleur, peur de ne pas guérir, … Cette fatigue perturbe le sommeil. La fatigue physique diminue parce que souvent, à tort, l'activité physique diminue.
Facteurs de risques de lombalgie aiguë ou chronique, liés au travail ou hors travail. Manutentions manuelles. Chutes. Exposition aux vibrations corps entier.
La première séance d'ostéopathie pourra vous soulager du lumbago. Il est important de ne pas laisser passer la douleur toute seule. Puis sur plusieurs séances, le traitement de votre ostéopathe permettra d'éviter que le lumbago soit chronique, en favorisant un phénomène de compensation du corps.
Placez vos jambes l'une par-dessus l'autre et glissez-les vers le bord du lit. Vos genoux devraient être à la hauteur du bord du lit, vos hanches stables sur le matelas et vos jambes à l'extérieur du lit. Cette position est sécuritaire et n'amène pas de torsion au niveau du bas du dos.
Deux exercices contre les lombalgies
Allongée par terre sur le dos, pliez les deux genoux. Ramenez-les sur la poitrine tout en soufflant. Cet exercice étire le bas du dos. Le faire en expirant permet de contrôler le mouvement.
La lombalgie, appelée communément « mal de dos », « lumbago » ou « tour de rein », est une douleur, souvent intense, au niveau des vertèbres lombaires, situées en bas du dos. En cas de lombalgie, on peut aussi ressentir un sentiment de blocage ou des difficultés à faire certains mouvements.
Elle peut être le symptôme d'une hernie discale et concerner alors des sujets jeunes (entre 20 et 50 ans), d'une arthrose au niveau des vertèbres (personnes âgées de 60 à 80 ans) ou, plus rarement, des suites d'un tassement vertébral lié à l'ostéoporose (autour de 50 ans)», énumère le Pr Francis Berenbaum, chef du ...
Le symptôme principal de la lombalgie est une douleur locale au niveau des lombaires. Elle est plutôt diffuse et continue. Néanmoins, si la lombalgie est provoquée par une lésion, la douleur peut surgir de façon soudaine et intense. L'intensité de la douleur peut s'intensifier ou s'atténuer si vous changez de position.
La natation, qui exerce une pression minime sur les disques intervertébraux, grâce à l'eau qui amortit les mouvements. Le stretching, une forme de gymnastique qui étire les ligaments et les tendons, tout en soulageant les douleurs. Le yoga, une activité douce qui permet de se muscler sans mouvements brusques.
Le paracétamol est le médicament de premier choix, son efficacité est modérée mais supérieure à celle d'un placebo. Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (ibuprofène, diclofénac...)
On parle de lumbago lorsque l'individu a une lombalgie aiguë, celle-ci devient chronique si elle dure plus de trois mois. La sciatique est une douleur liée à un nerf. On parle donc dans ce cas là de névralgie. Le nerf sciatique communique avec les membres inférieures (comme les jambes) et passe par la colonne lombaire.
Si vous souffrez d'une lombalgie
Evitez le repos total pour que votre muscle se répare. Voyez avec votre entreprise si elle peut aménager votre poste, elle a tout a y gagner. Cela vous permettra de reprendre le travail sans risque.
Les anti-inflammatoires non-stéroïdiens (AINS) sont tout à fait indiqués pour traiter une lombalgie. L'ibuprofène, vendu sans ordonnance, en fait partie. Si nécessaire, un médecin peut vous prescrire un anti-inflammatoire plus puissant (type Diclofenac ou Ketoprofene) disponible uniquement sur ordonnance.
Les causes de la lombalgie chronique sont multiples, difficiles à identifier et souvent intriquées : usure des disques intervertébraux, arthrose vertébrale, déformations de la colonne vertébrale, antécédents de traumatisme du dos.
Dans quelle position dormir ? Même la nuit, nous devons préserver notre dos. Il faut donc garder un bon alignement entre notre tête et notre bassin et se tenir toujours droit. Essayez d'éviter de vous mettre sur le ventre : cette position cambre le bas du dos et force sur les cervicales.
La position sur le côté est la meilleure si vous souffrez d'un mal de dos, c'est celle qui met le moins de contraintes sur la colonne. Afin d'optimiser cette position, vous pouvez mettre un coussin entre vos deux jambes, au niveau des genoux afin d'éviter une rotation de la colonne lombaire.
Le principal symptôme d'une hernie discale lombaire (la plus fréquente) sera la douleur au dos, dans la région lombaire inférieure. Cette douleur est soudaine, souvent soulagée par l'alitement, aggravée dans d'autres positions, notamment lorsque le genou de la personne est maintenu en extension et la hanche en flexion.
Le cancer colorectal, qui touche le côlon, et le cancer de l'utérus ou cancer de l'endomètre peuvent eux aussi engendrer des douleurs lombaires de par leur localisation, bien que cela soit plus rare.
En outre, un un chirurgien spécialisé en chirurgie du rachis pourra être amené à intervenir. Dans ce cas, nous vous conseillons d'opter pour un centre spécialisé dans ce type de chirurgie. La cervicarthrose (ou arthrose cervicale) reste la cause la plus fréquente chez les patients.