Rapprochez le haut de votre front vers son nez et son visage. Un coup de tête peut facilement mettre votre adversaire KO ou casser les os de son visage. Assurez-vous de rentrer votre menton et de frapper avec le haut de votre tête. Visez la zone des yeux, du nez et de la bouche X Source de recherche .
Le bon type de préparation : des sessions de saut à la corde, du travail au sac de frappe et plus traditionnel, de la course à pied. Le tout, à mixer, pour plus de variété à des séries de burpees. Pendant un combat de MMA, tous les muscles font l'objet d'une stimulation.
Visez des points faibles comme la mâchoire ou le menton.
Les points sensibles comme le nez, le visage, les reins, le ventre et les tempes sont des cibles de choix à frapper pour immobiliser temporairement votre adversaire.
Traiter directement la peur
La seule façon de faire face à la peur est de l'aborder de front. Le déni est une tendance naturelle de la nature humaine. Se forcez à faire face à une situation de peur dans la vie renforcent l'estime et la confiance en soi.
Lorsque vous vous battez contre plusieurs adversaires, ne soyez pas au milieu ! Il est plus difficile de lutter contre 2 personnes en même temps que contre une seule. Restez hors du groupe des attaquants et essayez de les obliger à se battre contre vous un par un. Utilisez une arme si vous la maitrisez.
Faites tourner votre poing à 180 degrés vers votre cible. Gardez l'autre main devant votre visage. Ne laissez pas votre visage vulnérable à une attaque. Ramenez votre bras en arrière en position de départ.
Utiliser sa voix tout simplement. Votre voix n'est pas qu'un moyen de communiquer. Lors des phases d'engagement crier permet à la fois de beaucoup mieux vous faire comprendre de vos alliés, mais aussi de surprendre et d'intimider vos adversaires. L'effet psychologique est très très fort !
Donnez des coups de coude, des coups de pied ou des coups sur les points de pression ou sur les zones sensibles. Continuez avec cette tactique jusqu'à ce que votre adversaire soit assez faible pour vous permettre de vous échapper. N'oubliez pas que vous avez le droit de vous défendre si quelqu'un menace votre vie.
En cas d'attaque par derrière
Si tel est le cas, vos mains sont donc libres et vous pouvez en profiter pour lui asséner un fort coup de coude dans le ventre ( = meilleure défense quand on se fait attaquer par derrière). Sinon il peut vous ceinturer au niveau du ventre, en coinçant vos bras ou en les laissant libres.
A se battre avec les poings, les jambes ne servant qu'à se déplacer. Il faut toujours être face à l'adversaire et ne pas l'attaquer au-dessous de la ceinture. On ne peut pas l'accrocher, mais seulement parer et éviter.
La persévérance est le chemin de la réussite .
L'une des raisons pour lesquelles la peur peut être si puissante, à tel point qu'elle inhibe notre capacité à combattre est qu'elle se cache dans l'obscurité. Inaperçue, dans les recoins de notre esprit, elle agit sans que nous le sachions. Donc, la première étape est de tenter de faire preuve de lucidité.
La peur de se battre est une inquiétude commune, car il s'agit d'une peur situationnelle : craintes suscitées par une situation spécifique inconnu. Empiriquement, il est possible d'affirmer que peu de personnes sont formés à se battre.
Rapprochez-vous de votre cible. Éloignez-vous d'une distance supérieure à la longueur de vos bras. À une distance aussi proche, un coup de poing bien placé va vous faire très mal. Rapprochez-vous.
L'organisation de l'avant match doit être bien réalisée.. Les petits "rituels" ( mettre toujours les mêmes chaussettes en match, prendre le même petit-déjeuner, s'échauffer de la même manière...) permettent ainsi de se concentrer, de s'apaiser et donc de mieux maîtriser son stress.
Ainsi, l'entrainement physique se fera en complément de l'exercice de foot avec par exemple un circuit training ou, s'il s'agit d'un travail sans ballon, d'efforts chronométrés (minutes, secondes) en effectuant des courses à intensités variées suivant la période de travail en évoluant semaine après semaine.
Si vous êtes attaquant, vous devrez vous situer par rapport au but adverse, analyser la position et le comportement des défenseurs et du gardien adverse, savoir où sont positionnés vos partenaires qui attendent un centre en retrait par exemple.
Il est primordial de l'écouter. Dites-lui que vous n'allez pas mal réagir et que vous êtes là pour le soutenir. Rassurez-le : ce qu'il vit n'est pas normal et il ne faut surtout pas se sentir coupable. Une fois que vous avez pu parler avec votre enfant, rapprochez-vous du personnel de l'école.