Et ce privilège devrait durer : selon les prévisions de Météo-France, la Bretagne serait l'une des régions les plus fraîches dans les étés à venir. Une carte publiée par l'établissement, en partenariat avec le Parisien, prédit notamment 44°C à Paris lors d'une canicule en 2050, contre 32°C à Brest.
Baie du Mont Saint-Michel, Saint-Malo, Paimpol, Trégastel, Roscoff, Brest, Landerneau, Penmarc'h, Le Guilvinec, Lorient, la ria d'Etel, Plouharnel, Carnac, le Golfe du Morbihan, Damgan, Redon, toute l'embouchure de la Loire (dont le parc de Brière) jusqu'à Ancenis en passant par Nantes, Saint-Herblain ou Rezé et bien . ...
Du côté du littoral méditerranéen, la Camargue et les villes de Sète, Marseille, Toulon et Nice, subiraient le même sort.
Ce sera le cas du sud de l'Asie, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), et des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen) dès 2050. L'est de la Chine, une partie de l'Asie du Sud et du Brésil devraient également dépasser régulièrement un indice wet bulb de 35 °C d'ici 2070.
Et d'ici 30 à 50 ans, plusieurs zones pourraient devenir inhabitables, en raison d'un indice wet bulb supérieur à 35°C. Ce pourrait être le cas, d'ici 2050, de l'Asie du Sud, du golfe Persique (Iran, Oman, Koweït), des pays bordant la mer Rouge (Égypte, Arabie saoudite, Soudan, Éthiopie, Somalie, Yémen).
En Europe, Londres (Royaume-Uni) ou encore Venise (Italie) ne sont pas en reste. En France, des villes comme Bordeaux et ses alentours, la région de Saint-Nazaire et les villages de la côte montpelliéraine pourraient être les premières à disparaître sous les eaux.
Du côté de Rennes, on ne recense que 694 mm de pluie, soit à peine plus qu'à Marseille (515 mm), une des régions où il pleut le moins. À Brest, en revanche, Météo-France enregistre tout de même une moyenne annuelle de 1 210 mm.
Les seuls endroits qui pourraient retarder un peu le moment où ça va être compliqué sont la Bretagne et la Normandie, les endroits les plus pluvieux et tempérés avec le front de mer, relève-t-il aussitôt. La partie est bel et bien terminée aujourd'hui ».
Selon les scientifiques, le nord de la France (Nord et Pas-de-Calais) serait la région la plus touchée, avec la submersion des villes de Dunkerque, Grande-Synthe, Calais et Saint-Omer. Une région, où près de 400.000 individus vivent sous le niveau de la mer.
En septembre 2019 , il publie Devant l'effondrement : Essai de collapsologie, dans lequel il annonce que par effets systémiques l'effondrement mondial devrait se produire entre 2020 et 2040, période durant laquelle la population serait décimée par la famine, les maladies, les guerres, jusqu'à être réduite à deux ou ...
Selon les scientifiques, les eaux qui entourent les Pays-Bas pourraient monter de plus d'un mètre d'ici 2100 (1). Cela signifie qu'une proportion importante du territoire néerlandais, dont le tiers se situe sous le niveau de la mer, pourrait disparaître au cours des prochaines décennies.
- Lannion est une ville parfaite pour s'y installer à la retraite. Il s'agit d'une petite ville du Trégor de 20 000 habitants. Les infrastructures sont adaptées aux seniors, notamment les transports en commun qui permettent de se déplacer facilement. - Il fait bon vivre à Lorient, la ville aux cinq ports.
Les pics de pollution se multiplieront et auront à terme de graves répercussions sur la santé des habitants. Au bord de l'Atlantique, même si l'on estime souvent que la Normandie et la Bretagne seront les régions les moins touchées par le réchauffement climatique, il faudra être vigilant.
Poussée par un vent de terre, l'eau de surface réchauffée par les températures extrêmes a été poussée au large. « Ce vide s'est comblé par des remontées d'eau plus profondes et plus froides », explique Météo Bretagne.
Ces pays du Pacifique qui risquent bien de servir d'avertissement au reste du monde s'appellent Fidji, Kiribati, Vanuatu, ou encore les îles Salomon. Des archipels souverains particulièrement exposés aux typhons et tempêtes tropicales, dont la fréquence et l'intensité augmentent.
Avec des villes comme Lyon ou Grenoble, la région Rhône-Alpes devrait en être la principale bénéficiaire : la croissance de sa population sera de 16,8 %. Elle sera, en 2030, la région la plus peuplée après l'Ile-de-France avec 6,9 millions d'habitants.
1. Calais (Hauts-de-France) La ville la plus menacée par la hausse du niveau de la mer d'ici 2100 est Calais, dans les Hauts-de-France, avec 98,5% du territoire possiblement sous le niveau des crues.
La ville de Colmar est située en Alsace dans le département du Haut-Rhin. Dans la Plaine d'Alsace au pied du massif des Vosges cette commune est l'une ou il pleut le moins en France. Avec 530mm/ an de précipitations, c'est même la deuxième ville la plus sèche après Marseille.
Sud-Ouest. Dans le Sud-Ouest de la France, France Bleu vous propose des points de fraîcheur dans les Landes, dans le Béarn et en Bigorre, en Occitanie, en Dordogne, en Gironde et au Pays basque. Plages, jardins, grottes, montagnes, les spots ne manquent pas pour se rafraîchir où que vous soyez.
Les villes situées dans l'hémisphère Nord sont celles qui vont connaître les évolutions climatiques les plus spectaculaires au cours des trente prochaines années. Londres, Madrid, Zurich et Paris font partie du lot.
L'été, le climat le plus chaud mais pas étouffant se trouve dans le Morbihan. Contrairement à Brest qui se trouve dans le Finistère où les températures sont plus basses. La péninsule armoricaine jouit d'un véritable climat océanique.
À titre de comparaison, c'est quasiment le double de Saint-Brieuc en Bretagne (4h17). Avec 2.858 heures d'ensoleillement chaque année, et 170 journées ensoleillées (quasiment un jour sur deux), la cité phocéenne caracole en tête de ce classement.
« Dans le golfe du Morbihan, l'eau est moins profonde que dans le reste de la région. C'est ce qui explique que ce soit là qu'on y trouve les températures les plus élevées ».