Dans un climat d'inflation et donc de hausse des taux d'intérêt, la croissance du
France : des prix en hausse de 3 % en 2023
Plus en détails, sur le terrain des prix, le marché progresserait de 3 %. Quant aux volumes de transactions, il devrait repasser sous le million de ventes, avec 950 000 transactions sur les douze prochains mois.
Selon les estimations de Meilleurs Agents, une baisse de 2 % est attendue à l'horizon 2023. Le prix de l'immobilier poursuit sa flambée à Lyon. Entre septembre 2021 et 2022, il a pris +2,2 %. Une tendance qui pourrait enfin cesser à l'horizon 2023.
En 2022, les prix des logements devraient croître sur tout le territoire, aucune baisse n'est prévue au regard de la demande actuelle. En revanche, on peut espérer une croissance plus modérée des prix. Les premières études sur le sujet tablent sur une hausse des prix autour de 2 %.
Alors que la crise sanitaire actuelle fait peser de nombreuses incertitudes sur l'économie, le marché immobilier semble quant à lui plutôt bien s'en sortir. Contrairement à ce que l'on pourrait croire, la période actuelle reste un bon moment pour vendre.
Les progressions du marché immobilier français devraient toutefois être plus mesurées en 2023 par rapport à 2021 et 2022, aussi bien en termes de prix qu'en termes de volumes de transactions. Les ventes pourraient ainsi atteindre 950 000 ventes contre 1,1 millions cette année.
Des propriétaires qui doutent
Alors que les candidats à l'achat mettent les bouchées doubles pour concrétiser rapidement leurs projets, du côté des propriétaires, l'incertitude liée au contexte sanitaire les pousse plutôt à reporter leurs ventes, contribuant par là même à alimenter la pénurie d'offres de logements.
D'après une investigation menée par la Banque de France en mars 2020, la diminution des taux d'intérêt causée par le vieillissement de la population serait à l'origine de l'inflation du prix de l'immobilier à l'horizon 2030. L'investissement immobilier présente donc un réel potentiel sur le long terme.
À long terme, la Banque TD demeure plus optimiste quant aux perspectives du marché du logement, car elle affirme que la croissance démographique devrait rester saine et soutenir la demande fondamentale.
Alors que le nombre de logements neufs disponibles à l'achat ne cesse de croître, et que les transactions dans l'ancien sont en chute libre, les prix ne baissent pas.
Le prix moyen des maisons au pays pourrait chuter de 20% à 25% en 2023, après que ceux-ci ont explosé pendant la pandémie de COVID-19, selon un rapport de la Banque TD. Les prix ont déjà commencé à baisser au cours de l'été dans certaines régions du pays, une tendance qui pourrait perdurer.
Le meilleur moment pour en faire l'achat, c'est le printemps, juste avant la saison. Mars et avril sont les meilleurs mois pour magasiner. Valises: les gens partent dans le Sud l'hiver, et au printemps, les boutiques se retrouvent avec des surplus de valises. Profitez-en pour en acheter à bas prix.
Sachez qu'en règle générale, il ne faut jamais acheter pour moins de 6 ans. Cette durée peut passer à 8 ou 10 ans en période de baisse des prix. Dans certaines villes où les prix sont beaucoup plus élevés que les loyers, cette limite peut dépasser les 20 ans (c'est le cas à Paris actuellement).
Alors que les taux de crédit sont en augmentation depuis le début de l'année pour atteindre aujourd'hui 1,50 % sur 20 ans en moyenne, ils devraient encore augmenter d'ici la fin de l'année 2022 pour atteindre les 2 à 3 %. Ce qui ne sera pas sans conséquence sur le pouvoir d'achat immobilier des ménages.
Sous l'effet conjugué du nouveau DPE (Diagnostic de performance énergétique) et de la hausse des taux d'intérêts, le marché immobilier devrait ralentir. Selon le groupe BPCE, la baisse des ventes de logements dans l'ancien s'élèverait à 5 % en 2022.
Selon le site Surf finances Mag, en France, le marché immobilier montre des signes de ralentissement, notamment pour les logements neufs. En revanche, la hausse des taux reste raisonnable. Selon les dernières données de la Banque de France, le taux moyen a atteint 1,17 % en avril dernier, contre 1,1 % en décembre 2021.
Les experts du secteur sont unanimes. L'atterrissage des prix observé dans les grandes villes ces derniers mois risque de se poursuivre au 1er trimestre 2021. La baisse des prix sera néanmoins limitée à seulement 1,4% au niveau national en 2021 entre le mois de novembre 2020 et mars 2021.
Le nombre de ventes enregistrées en juillet 2022 a diminué de 18,1 % par rapport à juillet 2021; Les transferts de propriété se sont élevés à 23 919, ce qui représente une baisse de 15,2 %; Le nombre d'hypothèques est également en baisse de 10,4 %; L'indice de difficultés financières connaît une baisse de 18,6 %.
En 10 ans, les prix moyens de l'immobilier ont largement progressé en France métropolitaine. Selon l'INSEE, l'indice des prix des logements a connu une hausse de près de 22% entre 2010 et 2020, pour l'ensemble du territoire métropolitain, tout type d'habitat confondus (maison et appartements, neufs et anciens).
Le logement du futur sera partagé
Parmi elles, l'habitat partagé. Le logement du futur sera rassemblement celui de la communauté, il sera collectif. Il semblerait que la cohabitation intergénérationnelle et la colocation soient vouées à s'imposer. Seconde alternative, le logement coopératif.
Et bien oui en Espagne les prix d'acquisitions sont toujours inférieurs et en baisse par rapport à la France. Aussi les charges locatives sont moins élevées, les loyers moins taxés et qu'il n'y a pas de taxe d'habitation. La taxe foncière l'IBI est aussi moins onéreuse.
Faut-il attendre avant de vendre ou d'acheter un bien ? Tout dépend de la situation du marché immobilier et plus globalement du marché économique. · Côté acquéreur, si la hausse des taux et des prix se poursuit, ceux aux revenus les plus modestes ne seront plus en mesure de pouvoir emprunter et donc d'acheter.
Est-il illégal pour un agent immobilier de mentir ? Oui, les agents immobiliers peuvent mentir. Le code de déontologie leur interdit de mentir, bien que certains le fassent. Mais en général, ce n'est pas un mensonge pur et simple.
Louer sa résidence principale permet d'avoir un logement plus grand et de rester mobile. En l'absence des frais liés à l'achat d'un bien, il est possible de constituer une épargne plus facilement. De plus, un locataire peut tout à fait réaliser un investissement locatif.