Les modes de transports du futur se veulent être fluides, rapides et non polluants, comme le ET3 : The Evacuated Tube Transport. Ce moyen de transport hybride, que l'on ne verra pas avant 2070, sera silencieux, plus rapide qu'un jet, sécurisé et low cost. Un projet très ressemblant à l'Hyperloop.
Actuellement, de nouveaux modes de transport terrestres, maritimes et aériens sont en phase de prototypage. Voitures sans chauffeurs ou même volantes, trains à très haute vitesse, taxis totalement autonomes… Les transports de 2050 n'ont pas fini de nous surprendre.
Quatre ans plus tard, en 2050, les véhicules autonomes seront capables de conduire n'importe qui, n'importe où sur la planète. On évalue à "moins d'un accident par an", la probabilité d'avoir un accident en 2050 en passager de ces voitures.
En ville, priorité aux bus, métros et tramways. Pour les longs déplacements, vous laisserez votre voiture et opterez pour les trains ou les avions. Les déplacements en bateaux seront peut-être privilégiés dans quelques années pour passer d'un continent à l'autre.
Des modes de transport autonomes d'ici 2030
Annoncé depuis des années par de nombreux constructeurs automobiles (Tesla, Toyota) et d'autres sociétés réputées (Google, Uber), la voiture autonome sera le premier transport de demain, assurément.
En 2100, nous vivrons toujours sur la planète Terre. Nous mangerons des légumes, des fruits et de la viande, un peu de tout ce qu'on mande aujourd'hui : en 2020. Nous nous déplacerons à pied, en bus, en voiture etc... Les voitures pourront voler.
Pourquoi la fin des voitures essence et diesel ne signe pas la mort des moteurs thermiques. Le Parlement européen a voté, mercredi 8 juin 2022, la fin des ventes des véhicules essence et diesel neufs en 2035. Mais ce n'est pas pour autant la mort des véhicules thermiques, pour plusieurs raisons.
Les villes devront être autonomes en matière d'énergie. Des immeubles pourront être capables de générer de l'électricité grâce à des éoliennes et des panneaux solaires intégrés. Des architectes imaginent même des espaces verts sur les toits comme des jardins ou même des fermes.
Le Parlement européen a voté, le 8 juin dernier pour interdire la vente de voitures neuves à moteur thermique dans l'Union européenne à partir de 2035. Les véhicules d'occasion pourront continuer de rouler dans les endroits autorisés. C'est une décision historique pour l'avenir de la planète.
EN CHIFFRES
En 2050, 30% les déplacements s'effectueront avec des véhicules partagés, 20% avec des véhicules individuels, 25% en transports collectifs, 15% à vélo et 10% en deux roues motorisés.
Elle permettrait déjà de réduire les émissions de CO2 des avions de 30%. Ampaire est ainsi parvenue à modifier un Cessna 337 Skymaster pour le transformer en avion hybride. L'appareil a volé pour la première fois en juin dernier et l'entreprise prévoit de commencer à le commercialiser en 2021.
Baptisé Maglev, le train du futur japonais est à sustentation magnétique comme l'hyperloop, ce qui en fait un mode de transport très sûr. Dès 2027, le Maglev reliera Tokyo à Nagoya en 40 minutes – contre 4 h 20 en voiture, 1 h 46 avec les trains actuels, et une heure en avion.
En outre, selon le rapport publié récemment par l'organisation EPM, 96% des nouveaux véhicules dans le monde seront dotés d'une connectivité intégrée, soit une multiplication par deux en 10 ans. La voiture de 2030 permettra la multiplication des interactions entre l'écosystème digital du véhicule et le vôtre.
Des véhicules électriques intelligents
Plusieurs expérimentations sont actuellement menées à Nantes, à Vincennes, à Lyon avec de petites navettes électriques sans conducteur. Limitant la pollution en ville, connectées et autonomes, elles pourraient révolutionner les transports en commun de demain.
Selon les données de l'ADEME, le train est le mode de locomotion le plus écolo et moyen de transport le moins polluant! En effet, le TGV équivaut à environ 14 g de CO2 par kilomètre. Il a notamment une faible consommation d'énergie, permet d'éviter le stress des embouteillages et la fatigue lors d'un long voyage.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
La première grande évolution repose sur le fait que nous ne serons plus 100% humains en 2050. En effet, chaque être humain sera augmenté, car doté de micro-robots circulant dans son corps et d'un assistant personnel greffé à son cerveau (bot cérébral*, appelé Mini-Moi).
C'est à ces questions que tente de répondre le Hors-Série Comment vivrons-nous dans nos villes en 2050, réalisé par Terra Eco, en partenariat avec l'ADEME. Ce numéro aborde les aspects fondamentaux de la ville de demain que sont l'urbanisme, l'architecture, les nouvelles technologies ou encore la consommation.
Le cas où il faut encore acheter un diesel sans hésiter : si vous parcourez un fort kilométrage à l'année. Etant donné des consommations extrêmement faibles sur les voies rapides, autrement dit les plus empruntées par les “gros” rouleurs, c'est bien là que le mazout se révèle le plus pertinent.
La France identifie aussi le GNV comme un axe primordial dans la transition énergétique pour la croissance verte et se fixe les objectifs suivants : 10% de gaz renouvelable en 2030.
Ce sont finalement les zones à faibles émissions, toujours plus nombreuses, qui risquent de poser le plus de problèmes aux utilisateurs français. Celle du Grand Paris, qui englobe la capitale et sa proche banlieue, prévoit ainsi l'interdiction de tous les véhicules essence et diesel à l'horizon 2030.
En 2100 nous vivrons tous heureux parce qu'il n'y aura plus de maladies. En 2100, nous ne mangerons que des bonnes choses : burger, frites, glaces, gâteaux. Nous nous déplacerons avec des voitures volantes. A l'école, nous aurons tous des ordinateurs pour travailler.
Les moyens de transport peuvent inclure les véhicules à propulsion humaine, l'automobile, la moto, le scooter, le bus, le métro, le tramway, le train, le camion, la marche à pied, l'ascenseur, l'hélicoptère, le bateau ou l'avion.
Le vélo est incontestablement le moyen de transport avec le meilleur ratio rapidité/impact écologique en ville. Vous pouvez parcourir 15 km/h en moyenne, contre 14 km/h en voiture. Et puis vous évitez les joies des embouteillages matinaux, des créneaux arrière en double file au doux rythme des klaxons.