Que vous soyez un éternel insatisfait au travail ou dans votre sphère privée, sachez qu'il est possible d'en guérir. Pour cela, il faut commencer par reconnaître que vous souffrez de ce mal-être. Et puis une fois la prise de conscience établie, vouloir en sortir est la clé de la guérison.
Apprendre à garder ses pensées négatives pour soi
Sa méthode au quotidien : garder ses pensées négatives pour elle et n'exprimer que du positif auprès de son (très patient) compagnon. Les éternels insatisfaits doivent donc commencer par prendre le taureau par les cornes une bonne fois pour toutes pour avancer.
L'éternel insatisfait manque d'assurance. Il se donne des objectifs qu'il sait inaccessibles, ce qui renforce chaque jour un peu plus son manque de confiance. Lancé dans une quête de l'impossible, il ne peut apprécier pleinement ce qu'il possède déjà.
Insatisfait qualifie une personne dont la satisfaction n'est pas comblée, c'est-à-dire qui n'a pas réussi à obtenir ce qu'elle espérait ou ce à quoi elle s'attendait.
On dit que l'homme n'est jamais satisfait ; qu'une chose lui soit offerte, et il en souhaite une seconde. Cela est dit dans un sens de dénigrement et c'est cependant là une des plus grandes qualités de la race humaine, celle qui la rend supérieure aux animaux, lesquels se contentent de ce qu'ils ont.
Etre dans l'action pour surmonter le Bovarysme
Au lieu de gâcher son temps à envier la vie des autres, on devrait imaginer comment améliorer la sienne. Le temps est venu de faire le point sur soi et de se poser les bonnes questions : - Est-ce que je suis épanouie dans ma vie amoureuse ?
Et explications. L'éternelle insatisfaction, c'est le fait de ne jamais se contenter de ce qu'on a, ou de ce qu'on a accompli. Être éternellement insatisfait. e, c'est passer son temps à se dire qu'on pourrait faire mieux, être mieux, posséder mieux.
Pour trouver sa place, il ne faut jouer aucun rôle. Il est important que chacun puisse communiquer et s'exprimer librement. Trouver sa place, c'est s'accepter soi-même afin ensuite de se faire accepter des autres en restant soi-même. Il arrive que les relations amicales évoluent ou changent.
Insatisfaction et désillusion : le bovarysme
Emma ne croit pas pouvoir trouver le bonheur dans la réalité. Elle n'accorde d'intérêt quaux êtres de fiction. Le drame d'Emma c'est de se faire toujours des illusions sur elle-même, ses sentiments, de croire qu'elle vit des sentiments qu'elle n'éprouve pas.
Le bovarysme est « un état d'insatisfaction, sur les plans affectifs et sociaux, qui se rencontre en particulier chez certaines jeunes personnes névrosées, et qui se traduit par des ambitions vaines et démesurées, une fuite dans l'imaginaire et le romanesque. »
Vouloir à tout prix être meilleur, vouloir toujours attirer l'attention ou chercher constamment la compétition peut être une réaction à ce besoin d'être unique. Ce besoin primaire de combler un manque affectif de manière inconditionnelle.
Le pléonexe est celui qui est atteint de pléonexie, celui qui veut plus que sa part.
La connaissance de soi-même permet d'être heureux seul
Pour pouvoir être heureux seul, il faut se connaître soi-même correctement, s'aimer et connaître ses propres goûts. Pour cela, rien de mieux que de prendre du temps pour soi. Lorsque nous sommes toujours entouré, cela ne laisse aucune place au temps pour soi.
C'était un garçon de tempérament modéré. » Mais précisément Madame Bovary a été écrite parce que dès le collège, dans le raccourci d'humanité qu'est une classe, toute la vie de Charles était préfigurée.
Madame Bovary a environ 166 ans.
Quand Emma Bovary et son amant Léon se retrouvent pour la première fois, tous les deux, à Rouen, « ce furent trois jours pleins, exquis, splendides, une vraie lune de miel.
Il est présenté au lecteur, dans un contexte qui ne sera pas celui de la suite du roman. Charles Bovary a 15 ans, il arrive dans une nouvelle école, et se conduit maladroitement. Ce début de roman déroute les attentes du lecteur, qui essaye de situer les personnages, le narrateur, le rapport avec le titre, etc.
Charles ne meurt de rien, pas même d'une mort littéraire, selon le vieux mode d'une sublimation esthétique où l'infinie tristesse remplacerait le malaise organique.
Mais, assez rapidement, Rodolphe, blasé et mondain, s'ennuie des affections exigeantes d'Emma. Refusant de s'enfuir avec elle, il la quitte.
Elle s'appelle Emma Bovary et son histoire est célèbre. Amoureuse de l'amour, elle a vécu d'illusions, trompé son mari et ruiné son ménage. Dans un geste de désespoir, elle se tue en absorbant une forte dose d'arsenic – c'est du moins ce que prétend Flaubert.