L'abattage du porc se réalise par une saignée dans la poitrine. La section des artères et veines du tronc brachiocéphalique interrompt l'apport de nutriments et d'oxygène au cerveau, provoquant ainsi la mort de l'animal. Cette mort n'est pas immédiate mais intervient dans un délai allant jusqu'à 24 s.
Une truie reçoit des chocs électriques avec une vieille pince inadaptée. Elle ne s'écroulera qu'après 5 tentatives. Les jeunes cochons sont aussi étourdis avec une pince qui devrait provoquer un étourdissement instantané ce qui n'est clairement pas le cas.
Ils souffrent de piétin à force de ne jamais voir leur literie changée, de maladies infectieuses telles que la salmonelle et la listeria, sans oublier le stress thermique, l'insuffisance cardiaque, des cloques pectorales et dermatites causées par la surpopulation extrême.
La mort est provoquée par la saignée (section des vaisseaux sanguins). L'inconscience perdure jusqu'à la mort de l'animal, c'est-à-dire la fin de la saignée. En cas de dérogation à l'étourdissement, les animaux restent immobilisés avant d'être saignés. Pour cela, ils sont maintenus dans un box de contention.
Une corde est passée dans sa gueule, une autre autour d'un pied. L'animal est ensuite traîné jusqu'à un socle pour être abattu. La tête dans le vide, et les pieds immobilisés, le boucher procède au saignement du cochon. Ce rôle de "tueur" est transmis de génération en génération.
Pour que la viande soit halal, l'animal doit être égorgé sans avoir été préalablement étourdi. La tête de l'animal doit être tournée vers la Mecque et des paroles sacrées doivent être prononcées par le sacrificateur au moment où il coupe la carotide et les jugulaires.
L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA) nous a confirmé, de son côté, que l'abattage rituel ne cause pas davantage de douleur à l'animal. «Lors de l'abattage traditionnel, l'animal est étourdi avant l'abattage et est entièrement inconscient. L'animal ne peut pas ressentir de douleur à cette étape.
En France, sauf pour les abattages rituels qui bénéficient d'une dérogation, les moutons et les agneaux sont « étourdis » au moyen d'une pince à électronarcose avant d'être saignés.
Le poulet est d'abord suspendu conscient par les pattes, puis sa tête passe dans un bain d'eau où il reçoit un choc électrique qui vise à l'étourdir (le rendre inconscient) avant l'abattage. C'est de cette manière qu'est abattu le poulet CQLP.
avec étourdissement après égorgement (« post-stunning ») : les animaux sont étourdis immédiatement après la section des jugulaires. La douleur et la peur provoquées par l'égorgement demeurent, mais la perte de conscience intervient rapidement après.
C. Terlouw a détaillé les techniques opérationnelles, telles que le pistolet perforateur ou l'électronarcose qui abolissent conscience et sensibilité avant la mise à mort. La mort cérébrale est alors quasi instantanée – de 5 à 15 secondes suffisent pour abolir toute douleur et tout stress.
La conclusion cite : « L'abattage sous forme rituelle avec incision, s'il est exécuté correctement, est sans douleur pour les moutons et veaux d'après les résultats des mesures électroencéphalogrammes. » L'étude précise également que « trois secondes après l'incision, l'électroencéphalogramme montre en effet un état de ...
Après étourdissement, l'animal est levé par la patte arrière, afin d'accélérer la perte de sang suite à la saignée (ou section des vaisseaux sanguins) de l'animal qui doit être effectuée le plus rapidement possible après l'étourdissement, afin que l'animal se vide de son sang sans douleur.
L'exsanguination est utilisée pour l'abattage des animaux. Avant d'effectuer l'incision mortelle, l'animal peut être rendu insensible à la douleur via diverses méthodes, dont le pistolet à projectile captif, un étourdissement électrique par électronarcose ou des composés chimiques.
Plusieurs protocoles anesthésiques sont possibles pour endormir ou tranquilliser un cochon : soit par injection soit à l'aide d'un produit gazeux (au masque ou par intubation).
Une réalité méconnue alors que le prédateur est de plus en plus présent et visible autour des fermes. La prédation des renards n'épargne pas les élevages de moutons. A Saint-Vincent-Bragny, le Gaec Michel déplore la perte d'une dizaine d'agneaux par an tués par des renards.
Pour saigner l'animal, soit on le décapite, soit on sectionne au moins une jugulaire et une artère carotide. La décapitation n'est admise qu'après un étourdissement réussi. L'habillage ne commence pas avant que le lapin soit mort.
Les agneaux de bergerie sont envoyés à l'abattoir vers l'âge de 3-4 mois. Les agneaux d'herbage, eux, ont accès à l'extérieur et peuvent manger de l'herbe en plus du lait de leur mère. Ils sont abattus entre 3 et 12 mois.
L'abattage sans étourdissement des animaux est organisé afin de garantir le libre exercice des pratiques religieuses dans le respect des dispositions réglementaires relatives à la protection animale, l'hygiène alimentaire et la protection de l'environnement.
La viande halal correspond à l'abattage de l'animal par le musulman, tandis que la viande kasher correspond à l'abattage de l'animal par le juif. Certaines personnes pensent que kasher signifie tué par un couteau, mais cela signifie en fait tué par une prière.
Ces courants religieux islamiques ont donc répandu l'idée que les musulmans avaient des « besoins » spécifiques en termes d'alimentation. Les fondamentalistes ont fait évoluer leur position et ont déclaré illicite l'alimentation des pays non musulmans. Ils ont appelé à manger des produits licites, halal.
La différence proviendrait de ce que la viande halal serait issue d'un animal complètement vidé de son sang, ce qui modifierait son goût. La preuve manifeste de cette différence serait la clarté de la viande halal comparée à la couleur rouge de la viande vendue dans les boucheries non islamique.
Chez KFC, le poulet servi n'est pas certifié halal car notre vocation est de proposer une offre universelle. C'est d'ailleurs dans cet esprit que nous avons développé une gamme de produits à base de poisson, afin de pouvoir satisfaire tous les goûts.
Définition du hlel : qu'est-ce que le mariage religieux en Islam ? Le mariage en Islam, aussi appelé hlel (qui vient du « halal »), nikah ou fatiha suivant le pays d'origine, est un contrat moral passé entre les deux membres d'un couple musulman, reconnu devant Dieu et devant les hommes.