Pour nous, le commerce est le moyen le plus efficace de sortir du piège de la pauvreté. Pour éradiquer la pauvreté et ses nombreux maux, nous centrons notre effort sur la production de la richesse économique en aidant les pays pauvres à promouvoir le commerce.
L'accès à des emplois de qualité est la voie la plus sûre pour sortir de la pauvreté. Des études (a) montrent que la hausse des salaires a permis de faire reculer de 30 à 50 % la pauvreté sur la dernière décennie.
Montrer sa considération –par un sourire et quelques mots– aux personnes vivant dans la rue. Apprendre à repérer dans son entourage les personnes et les familles en difficultés. Chercher à comprendre la raison de leur situation. Établir le contact avec ces personnes ou familles pour voir avec elles comment réagir.
Retrouver un emploi fait partie des très bons leviers pour sortir de la pauvreté. À ce titre, l'expérimentation Territoire zéro chômeur de longue durée est très intéressante. Exemple, avec l'Esiam (Entreprise solidaire d'initiatives et d'action mauléonnaise) à Mauléon (Deux-Sèvres).
Les facteurs les plus évidents sont l'insécurité alimentaire, des conditions de santé précaires, le manque de compétences dû à un manque d'éducation et le manque d'opportunités économiques.
Le commerce crée la richesse.
Pour nous, le commerce est le moyen le plus efficace de sortir du piège de la pauvreté. Pour éradiquer la pauvreté et ses nombreux maux, nous centrons notre effort sur la production de la richesse économique en aidant les pays pauvres à promouvoir le commerce.
Selon le rapport, quatre mesures ont été intégralement mises en œuvre. Il s'agit de la revalorisation de la prime d'activité, la mise en place de la complémentaire santé solidaire (CSS), le renouvellement de la CSS pour les allocataires du revenu de solidarité active (RSA), le déploiement de 400 points conseil budget.
La première aide est à chercher auprès des services d'assistance sociale. Renseignez-vous auprès de votre mairie qui pourra vous orienter vers son Centre communal ou intercommunal d'action sociale (CCAS ou CIAS) ou vers le Centre départemental d'action sociale (CDAS, qui dépend de votre conseil général).
La pauvreté, c'est aussi ne pas pouvoir participer à des activités récréatives, ne pas pouvoir envoyer ses enfants en excursion ou à une fête d'anniversaire avec leurs camarades de classe, ne pas pouvoir payer les médicaments en cas de maladie. Ce sont là autant de conséquences de la pauvreté.
Lutter contre la pauvreté, c'est chercher à rétablir un équilibre absent, une confiance rompue. C'est aider les gens en les rendant autonomes, capables de voler de leurs propres ailes quel que soit le poids du passé, quel que soit l'âge, l'état de santé, la condition sociale, les choix de vie aussi.
Une alimentation saine et équilibrée est sobre si on n'est pas riche : de l'eau pour la boisson ; les protéines : les oeufs (acides aminés complets et pas chers), les sardines, les lentilles et autres légumineuses bien associées, la viande le dimanche, le poisson le vendredi.
Tous ceux qui vivent avec moins de 1 063 euros par mois sont considérés comme pauvres. Le calcul n'est pas terminé. Avec 1 063 euros, on ne vit pas de la même façon si on est seul ou au sein d'une famille avec trois enfants par exemple. Pour en tenir compte, l'Insee utilise un système de parts, comme pour un gâteau.
Être pauvre, c'est avoir un revenu très inférieur à celui dont dispose la plus grande partie de la population. Pour l'Insee, comme pour Eurostat, une personne est pauvre si son niveau de vie est inférieur à 60 % du niveau de vie médian de la population française. Mais qu'est ce que le niveau de vie ?
La pauvreté ainsi définie réduit donc les libertés réelles permettant à un individu de choisir le type de vie qu'il souhaite (A. Sen évoque le concept de « capabilité »). La lutte contre la pauvreté permet donc de favoriser l'égalisation des capabilités.
En troisième lieu, la lutte contre la pauvreté doit permettre de renforcer la sécurité matérielle des populations concernées : atténuer la vulnérabilité permet d'améliorer le bien-être et d'encourager les investissements dans le capital humain et dans les activités à plus haut risque.
Les causes de la pauvreté sont nombreuses – et parmi elles beaucoup sont systémiques : ainsi, les inégalités femmes-hommes aggravent la pauvreté. Elle s'explique en grande partie à cause d'un système économique injuste et sexiste qui concentre les richesses dans les mains d'une poignée d'hommes.
Il y a près de 700 millions de personnes en situation d'extrême pauvreté dans le monde, c'est-à-dire vivant avec moins de 2,15 dollar par jour (soit environ 64 euros par mois). En se basant sur ce “seuil de pauvreté international”, le taux mondial d'extrême pauvreté est passé de 36% en 1990 à environ 9% aujourd'hui.
Les plus pauvres sont davantage concernés par les maladies graves de longue durée. Les 10 % les plus pauvres risquent trois fois plus de souffrir de diabète que les 10 % les plus riches. Cette inégalité sociale se constate pour les problèmes cardiaques, les maladies du foie et les maladies psychiatriques.
Les chômeurs et les familles monoparentales sont les plus touchés par la pauvreté monétaire. La pauvreté monétaire touche en premier lieu les chômeurs (35,1 %). Parmi les personnes en emploi, les travailleurs indépendants sont plus vulnérables (14,6 %) que les salariés (6,3 %).
En France, on dit que quelqu'un est pauvre quand il doit vivre avec moins de 1026 euros par mois. 1026 euros, c'est ce que l'on appelle le seuil de pauvreté. Dans notre pays, 14 personnes sur 100 vivent sous ce seuil. Parmi eux, beaucoup de jeunes.