La meilleure façon de dépasser l'épuisement émotionnel est évidemment de se reposer. Il est important de trouver du temps libre pour se relaxer et être tranquille. Les personnes dont on exige beaucoup peuvent par exemple passer des années sans prendre de vacances.
Burn-out émotionnel: explications
Le burn-out est un syndrome d'épuisement qui touche aussi bien le plan physique qu'émotionnel de l'individu. Il est révélateur d'un trop plein d' émotions résultant d'une période de stress ou de surmenage intense et souvent prolongé.
Pour éviter le burn-out émotionnel, l'idéal est de se décharger au fur et à mesure, en verbalisant son ressenti, ses doutes, ses émotions, ses gênes, sinon, l'agitation mentale prendra le dessus. « Soyez doux avec vous-même, et les autres, acceptez la première expression de l'émotion », prône Saverio Tomasella.
Les organes correspondent à différentes émotions
la JOIE et le CŒUR ; la TRISTESSE et le POUMON ; la PEUR et le REIN ; le SOUCI, lié à la RATE et à l'ESTOMAC.
Des difficultés à se concentrer et à enregistrer les informations. Une tendance au repli sur soi et à l'isolement social. Des conduites addictives (tabac, alcool, drogues) Des douleurs physiques (maux de tête, vertiges, tensions musculaires.
Sur la partie physique, le burn-out peut laisser des séquelles au niveau du système cardiovasculaire, des muscles et du squelette. Sur les séquelles cognitives du burn-out, celui-ci peut affecter la mémoire, la logique et la concentration, au travail mais aussi dans la vie quotidienne.
Que faire pour accompagner un personne en burn-out :
Une fois qu'il va mieux, et a récupéré un peu d'énergie, vous pouvez l'inviter à reprendre du plaisir et petit à petit à réapprendre à s'écouter et prendre soin de lui : aller au cinéma, lire un livre, marcher en nature, faire du sport, renouer avec des amis etc.
Il y a des burnout. Puisque chaque personne est différente et chaque personne a une histoire différente et une physiologie différente. L'assurance maladie annonce une durée moyenne de 18 mois pour l'arrêt maladie pour burnout.
Pratiquer une activité physique régulière est source de nombreux bienfaits. Le sport aide notamment à chasser le stress, en stimulant la production d'endorphine et de sérotonine. Vous êtes moins tendu, vous vous sentez plus fort, et vous retrouvez de l'énergie après chaque séance !
Vous lâchez plus facilement prise
Cela vous angoisse de plus en plus et entrave votre productivité. Vous vous épuisez complètement. Si vous parvenez plus facilement à lâcher prise de vos différents 'problèmes', vous êtes sur la bonne voie et votre burn-out sera bientôt derrière vous.
Dans les faits, le burn out se traduit par une diminution de l'engagement au travail, avec un détachement notoire de tout ce qui touche à la profession. Cela a pour conséquence une inadéquation entre le travailleur et son poste, pouvant aboutir à l'incapacité totale d'effectuer son travail ainsi qu'à une dépression.
Il est important de noter que le burn out peut évoluer en dépression que l'on appelle la dépression d'épuisement. Ce type de dépression apparaît à la suite d'épisodes dépressifs liés à la fatigue que vous accumulez.
"En cas de stress, on peut consulter un psychologue, un psychothérapeute, un psychiatre.
Essayez plutôt d'avoir des pensées positives qui n'ont pas besoin d'avoir un lien quelconque avec la relaxation. Faire un effort pour voir le bon côté des choses aidera votre cerveau à se débarrasser de son stress, ce qui vous permettra ensuite de vous consacrer à des activités qui vous rendent heureux.
À chaque émotion son Organe
Elle considère que chaque Organe joue non seulement un rôle physique, mais possède aussi des fonctions mentales, émotives et psychiques. La colère (Nu) est associée au Foie. La joie (Xi) est associée au Coeur. La tristesse (You) est associée au Poumon.
Lorsqu'il dure anormalement longtemps et perturbe la vie quotidienne, on parle de dépression qui est une maladie nécessitant un traitement adapté.
Certaines études scientifiques ont démontré l'impact du stress sur le cerveau. C'est le cas notamment de celle publiée dans le JNNP, dont les chercheurs indiquent que les personnes ayant vécu des événements stressants majeurs présentaient quatre fois plus de risque de faire un AVC dans la même année.