Pour la majorité des surfaces (murs, boiseries, etc.), un simple mélange d'eau et de vinaigre blanc, à part égale, est généralement efficace. Il suffit d'asperger la surface avec une bouteille à vaporisateur et de laisser agir plusieurs heures avant d'essuyer avec un chiffon sec (ne pas frotter avec une brosse ici).
Prenez une éponge ou un chiffon et versez-y du vinaigre blanc en abondance. Frottez énergiquement le mur afin d'y retirer le gros de la moisissure. Par la suite, versez dans un pulvérisateur 300 ml de vinaigre blanc et 200 ml d'eau puis vaporisez la solution sur les moisissures.
Un jus de citron mélangé à de l'eau et du gros sel appliqué sur les endroits infestés permet d'éliminer les moisissures.
Mauvaise ventilation, accumulation de l'humidité, problèmes d'infiltration ou d'étanchéité, les causes des moisissures sont diverses et variées.
Ainsi, si vous dormez dans une pièce humide ou moisie, vous passez un tiers de votre temps à inhaler des particules ou des spores de moisissure. Ces spores sont dangereuses et entraînent des problèmes de santé comme des infections des voies respiratoires, de la toux, de l'asthme et des allergies.
Aérer et ventiler : un des points les plus importants pour lutter contre l'humidité est de renouveler l'air et d'éliminer les excès d'humidité. Vous pouvez donc aérer tous les jours durant 5 à 10 minutes, notamment les pièces les plus humides de votre logement comme la cuisine ou la salle de bains.
Locataire ou propriétaire : qui est responsable ? Vous l'avez compris, le locataire en tant qu'occupant est responsable de ses pratiques. S'il bouche les aérations, ne répare pas les dégâts causés par ses machines, ne chauffe pas son logement ou laisse des moisissures s'étendre sans réagir, ce sera à lui de réparer.
La présence de moisissures ne se traduit pas toujours par l'apparition de problèmes de santé. Toutefois, l'inhalation des particules ou des spores de moisissures ou encore des moisissures elles-mêmes peut causer des problèmes de santé, aggraver une maladie ou détériorer l'état de santé de certaines personnes.
Les moisissures résistent généralement à des pH de 2 à 10 et à des températures élevées (jusqu'à 62 °C [1]).
L'apparition de moisissure dans une chambre est étroitement liée à un taux d'humidité trop élevé dans la pièce. Cela se manifeste par la présence de taches noires au niveau des murs. Les vieux bâtiments sont les plus touchés par ce fléau.
Toxigène : ces types de moisissures sont les plus dangereux et peuvent causer de graves problèmes de santé, même chez les personnes en bonne santé.
Les risques des spores et mycotoxines
Ces spores et substances toxiques émises par les moisissures sont en effet à l'origine d'irritation des muqueuses des voies respiratoires et d'allergies. Les moisissures peuvent tout-à-fait entraîner de l'asthme, des rhinites et autres bronchites.
Toux. Même si vous n'avez pas d'allergies ou d'autres problèmes respiratoires, les moisissures peuvent quand même irriter vos poumons et provoquer une toux. La respiration sifflante et la toux peuvent être les premiers signes d'une allergie ou d'une exposition à une quantité importante de moisissures.
Pour ventiler sans VMC, l'alternative la plus courante est l'installation d'une ventilation naturelle. Économique, écologique, et peu coûteuse, la ventilation naturelle est particulièrement recommandée pour les nouvelles constructions, et parfois même en rénovation.
Si vous êtes locataire et que vous croyez que votre logement a un problème de moisissures, informez d'abord votre propriétaire de la situation. Au besoin, communiquez avec le service d'inspection de votre municipalité. du site Web de la Régie du logement.
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, quand il s'agit d'humidité, tout n'est pas que de la responsabilité du propriétaire. Le locataire est lui aussi soumis à certaines responsabilités. Entretenir les locaux : A charge pour le locataire – à qui il a été remis un bien salubre – d'entretenir ce bien.
Le sel est l'un des produits naturels les plus absorbants qui soient, permettant de lutter contre l'humidité dans les murs ou d'éviter les taches de moisissure sur les vêtements. L'utilisation du sel est la méthode la plus basique lorsqu'on essaie de fabriquer un déshumidificateur maison.
Parmi les produits absorbant ou adsorbant l'humidité, on trouve le gel de silice, le sulfate de magnésium, le chlorure de calcium, le sulfate de calcium, le chlorure de lithium, les zéolithes (tamis moléculaires).
– en faisant sécher le linge à l'extérieur ou dans une pièce bien ventilée ; – en ouvrant les fenêtres de la cuisine et de la salle de bains après chaque utilisation. Ces gestes sont utiles, mais pour éliminer l'humidité de condensation, le logement doit être correctement chauffé et ventilé. La ventilation.
Un bardage extérieur ménageant un vide d'air tout autour de l'habitation peut être une technique efficace pour isoler un mur humide. Ainsi, des tasseaux de bois seront fixés au mur de l'habitation et on ménagera un vide d'air de 2 à 4 cm pour permettre à l'hygrométrie de se gérer de manière naturelle.
Introduisez 300 gr de chlorure de calcium dans une chaussette, nouez-là et accrochez-là au-dessus d'un récipient suffisamment grand. La chaussette de chlorure de calcium va absorber l'humidité et l'eau va s'écouler dans le récipient collecteur. Ce type de produit peut déshumidifier une pièce jusqu'à 50 m².
Petit test à réaliser vous-même : collez sur votre mur, à l'aide d'un ruban adhésif, une feuille d'aluminium ou de film plastique. Si des gouttes d'eau apparaissent après 48 heures sur la face externe de la feuille, l'humidité est probablement générée par de la condensation.