Parigots,
Souvent méprisé notamment par les Parisiens, les Bretons étaient (et sont toujours parfois) considérés comme des « ploucs »... Saviez-vous que le terme « plouc » était directement rattaché à l'histoire bretonne ?
Origine. Expression rimée qui fait référence à la mauvaise réputation des Parisiens due à leur côté farouche et grincheux. Elle est utilisée principalement par les provinciaux qui souhaitent se moquer des gens de la capitale en les comparant à des animaux. Parigot est un mot issu de l'argot.
Les Parisiens sont fats, hautains, vaniteux, agressifs, méprisants, cauteleux, déprimés, libidineux, antipathiques, malsains, xénophobes, dilettantes, pas accueillants, le regard en coin, le sourire en berne, la cravate molle, l'œil affaissé. Ils fleurent la morgue et le pâté snob.
L'accent parisien historique reste associé à l'accent populaire de Belleville et Ménilmontant — et plus globalement des quartiers populaires dans l'Est parisien et la petite couronne —, celui du titi parisien, popularisé notamment par le cinéma dans les années 1930 et 1940, mais encore bien présent dans celui des ...
L'accent parisien
L'accent parisien a longtemps été choisi comme modèle. Mais les français du Sud trouvent que les parisiens ont un accent pointu ! En effet, cet accent a des aspects phonétiques particuliers ! Par exemple, le son /ɑ/ est remplacé par /a/ et les sons /ø/ et /ə/ se prononcent [ø].
Apparue au XIXe siècle, “Titi parisien” est une expression familière désignant un enfant de Paris. Issu du milieu populaire, le “titi” est déluré, très dégourdi, farceur, et connaît bien entendu Paris comme sa poche. Il a en général un langage bien à lui.
Il ne faut pas s'y tromper: la pollution, le coût de la vie et les incivilités pèsent aussi sur eux. La ville brasse beaucoup d'habitants, entre les arrivées et les départs; 78% d'entre eux n'y sont même pas pas nés.
Le Parisien est une espèce rare, spéciale, particulière, un peu sauvage mais pas méchante, qui vit en autarcie dans son pays merveilleux mais qu'il déteste un peu quand même. Il peut faire peur, donner envie, ou déclencher la haine, mais il laisse rarement indifférent. Dans le fond on l'aime bien le Parisien...
Le doryphore ayant détruit les cultures de pommes de terre juste après la guerre, il y a eu une assimilation. De nos jours, appeler quelqu'un « un doryphore », c'est une façon péjorative de désigner les citadins qui se déplacent pour tirer profit du milieu rural, et autres « gêneurs ».
Le 4 août 1532, les délégués des états de Bretagne acceptent l'union de la Bretagne au royaume de France.
Plou- est un appellatif toponymique préfixé d'origine bretonne qui a pour sens « communauté » puis, par extension, « paroisse ». Il procède du moyen breton ploe, lui-même du vieux breton pluiu. Ce dernier terme est emprunté au latin plebs, plebis, « paroisse ».
Les bobos aussi sont dans l'entre-soi, mais à l'est. Le Marais a été récupéré, puis les ateliers et logements ouvriers du faubourg Saint-Antoine, de Ménilmontant, Belleville, des quartiers où n'ont longtemps vécu que des gens de milieu modeste.
Un des inconvénients de la vie à Paris est qu'elle est assez couteuse. Comme les loyers sont chers, certains habitants rencontrent alors des difficultés financières à chaque fin de mois. Les problèmes se posent quand leurs salaires n'arrivent pas à compenser leurs dépenses.
La Bretagne
Un corollaire : la langue bretonne. Les mecs ne peuvent pas supporter l'idée d'être soumis au joug parisien. Dès lors, tout est clair : Bécassine, un personnage anti-Breton, les Parisiens qui viennent passer leur été à la Trinité ou à Saint-Malo et méprisent la Bretagne… On n'est pas les bienvenus.
Comment Appelle-t-on un garçon parisien ? « Titi parisien » est une expression familière française pour désigner un « enfant de Paris », déluré, dégourdi, farceur avec une connaissance approfondie de Paris et ses rues, dont l'archétype est le personnage de Gavroche dans le roman Les Misérables de Victor Hugo.
Gamin de Paris, effronté et gouailleur ; gavroche.
Ce qui constituait au départ une véritable exception – parler sans l'accent – a été progressivement gommé et ce que l'on nommait l'accent de Tours est aujourd'hui l'accent français moyen.
L'Angleterre arrive en bonne tête du classement, avec 780,000 personnes, et plus généralement 920,000 au Royaume Uni – Le français est d'ailleurs la langue officielle, avec l'anglais, à Guernesey et à Jersey.
Des variations du « r » selon la région et l'âge
« Si, jadis, le trait phonétique du roulement du r était une variation diatopique, une variation selon le lieu, entre l'est et l'ouest du Québec. Aujourd'hui, on dit que c'est une variation diachronique, selon l'âge. »
Le blanc et le beige sont donc les coloris de prédilection, des tissus comme le lin sont également régulièrement choisis. On aimera marier la toile de jean en portant une veste en jean sur une robe blanche à dentelle, large, au-dessus du genou et une paire de bottes montantes au laçage faussement négligé.
Camille Peugny considère ainsi que « le terme est devenu une caricature » désignant vaguement « une personne qui a des revenus sans qu'ils soient faramineux, plutôt diplômée, qui profite des opportunités culturelles et vote à gauche ».
Mais de quoi sont vraiment coupables les « bourgeois bohèmes » ? C'est le « 21e arrondissement » de Paris. La ville de Montreuil (Seine-Saint- Denis), à l'est de la capitale, est devenue le symbole de la « boboïsation » des quartiers populaires de la banlieue parisienne.
Comment dire bonjour en breton ? « Demat », « mont a ra » ou encore « salud ».