Lorsque la citation constitue la suite de la phrase initiale, le deux-points doit être évité et le point final se place après le guillemet fermant (la ponctuation respecte la suite logique de la phrase).
Citation courte (moins de 40 mots)
Le texte emprunté à l'auteur est présenté entre guillemets français (« »). Lorsque la citation est introduite après le début d'une phrase, elle est précédée par le deux-points, sauf lorsqu'elle est fondue dans le texte.
Lorsque les guillemets signalent une citation, on ouvre les guillemets avant le premier mot de la citation, on les referme après le dernier mot.
Si un mot ou une partie de citation sont omis dans le corps du texte, on les remplace par des points de suspension (en suivant les règles décrites ci-après). Si tout un alinéa est supprimé, il est remplacé par des points de suspension entre crochets, le tout étant placé entre deux interlignes: «Xxxxx xxxxx xxxxxxxxx.
Les guillemets sont le procédé le plus répandu dans l'usage pour les citations. La raison en est sans doute qu'un texte encadré de guillemets se lit plus facilement qu'un texte en italique.
“On s'attache souvent moins à la femme qui touche le plus qu'à celle qu'on croit le plus facilement toucher.” “La beauté touche les sens et le beau touche l'âme.” “Nombreux sont opiniâtres en ce qui touche la voie une fois prise, peu en ce qui touche le but.”
La citation, courte ou longue, est un extrait emprunté à un autre texte – livre, périodique, site Web, etc. – que l'on reprend mot à mot pour l'insérer dans son propre texte. Elle sert à corroborer, à renforcer ou à infirmer une idée ou un point de vue développé dans le travail.
Il est parfois utile de supprimer des passages qui ne sont pas essentiels dans un texte qu'on cite. La règle est de remplacer le passage supprimé par trois points de suspension insérés entre crochets : […]. De cette manière, le lecteur sait qu'on a opéré une coupure et l'original n'est pas dénaturé.
nom féminin. Passage cité (d'un auteur, d'un personnage célèbre). ➙ exemple, extrait ; → allusion. Citations d'un dictionnaire.
Le courage n'est pas l'absence de peur, mais la capacité de vaincre ce qui fait peur. Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve, une réalité. Le souvenir, c'est la présence invisible. Vis comme si tu devais mourir demain.
J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps. Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
La fin du monde ne peut pas être loin. Quand tout le monde a dîné, il n'y a plus de différence que dans les écots. C'est s'aimer bien peu, que de haïr quelqu'un ; mais c'est haïr tout le monde, que de n'aimer que soi.
Si on souhaite citer un dialogue, on procède comme pour une citation longue conventionnelle. Il faut donc mettre le dialogue en retrait (marge de gauche et marge de droite).
Questions fréquentes sur « Quel bonheur »
La citation la plus célèbre sur « Quel bonheur » est : « Quel bonheur d'avoir un haut idéal moral et une forte passion scientifique vous évitant bien des tentations ou, plutôt, vous aidant à leur résister ! » (Théodore Monod).
” (Alt 0148), le guillemet anglais (USA) fermant (ces guillemets peuvent s'utiliser à l'intérieur des guillemets français en cas de besoin) ; « (Alt 0171), le guillemet français ouvrant ; » (Alt 0187), le guillemet français fermant.
Le dialogue est généralement annoncé par un guillemet ouvrant au début de la première réplique. Chaque changement d'interlocuteur est ensuite précédé d'un tiret. Le dialogue se termine par un guillemet fermant après la dernière réplique.
Le point final est placé à l'intérieur des guillemets lorsque la citation forme une phrase complète débutant par une majuscule et introduite par deux-points. Il est placé à l'extérieur lorsque la citation n'est qu'un segment de phrase fondu dans le texte. Pierre Reverdy a dit : « Créer, c'est penser plus fortement. »
Ce que tu refuserais, pourquoi le demander ?. « Si Dieu existe, pourquoi ça ? » Si tu existes, pourquoi pas ?. On sait rarement pourquoi on aime. On croit toujours savoir pourquoi on n'aime plus.