Mesure de la résistance du béton à la compression à l'aide d'un scléromètre (NF EN-12504-2) Cette mesure consiste à tester une surface déjà bétonnée à l'aide d'un appareil appelé scléromètre de Schmidt (ou marteau de Schmidt). Le scléromètre va projeter une masse sur la surface du béton avec une force initiale définie.
La résistance du béton se détermine en trois points à savoir : la compression, la traction et la flexion. La vérification de la compression consiste à déceler la charge supportée par le béton. Pour effectuer ce test, vous devriez prendre un échantillon du béton.
La mesure de la dureté du béton est importante, car elle permet de connaître sa résistance sans avoir recours à des essais destructifs. Bien que l'essai de compression constitue la méthode la plus conventionnelle et celle offrant la meilleure précision, il s'agit d'un essai destructif et coûteux.
Essais mécaniques : essais de compression, fendage, flexion. Détermination des variations dimensionnelles (détermination du retrait). Essais spécifiques pour béton soumis au gel : gel interne, essai d'écaillage, L barre… Contactez-nous pour plus d'informations ou demande de conseil.
Un béton hautes performances (BHP) (ou béton à hautes performances) est un béton caractérisé par une très forte résistance à la compression, puisque celle-ci est supérieure à 50 MPa à 28 jours, et des propriétés exceptionnelles à l'état frais (notamment en termes de viscosité), à court ou à long terme.
Le béton : une plus grande résistance
Si, au ciment, vous ajoutez de l'eau, mais aussi des granulats (sable, et gravier...), vous obtenez du béton.
C'est au début des années 40 que l'on a utilisé, pour la première fois, de l'air entraîné dans le béton de ciment comme moyen de protection contre les effets très néfastes du gel.
Ciment, eau, granulats, adjuvants sont les constituants les plus fréquents des bétons mais d'autres constituants peuvent être introduits à la place ou en complément des constituants des base.
Le rôle de la cure du béton est important car la cure permet de minimiser l'évaporation lors du début de la phase de prise du béton. Un manque d'eau dans le béton entraîne une diminution des liaisons chimiques internes, des forces de cohésion entre les éléments du béton, et diminue ainsi la résistance du béton.
La grande durabilité du béton s'explique avant tout par sa très haute résistance : La durée de vie des bétons régis par l'EN 206/CN est en effet de 50 ans et de 100 ans pour les ouvrages d'arts.
La mesure de la dureté de surface d'un béton est basée sur l'étude du rebond d'une bille d'acier projetée sur sa surface à l'aide d'un ressort taré. La hauteur du rebond qui augmente avec la dureté de surface du béton sollicité, est caractérisée par un indice sclérométrique.
Afin de vérifier la qualité des bétons, des tests sont effectués sur les ouvrages. Un à 7 jours, et un à 28 jours de séchage. Ces tests sont appelés "tests de compressions". Pour rappel, certains adjuvants peuvent être ajoutés à votre béton frais (accélérateurs de prise, retardateurs de prise, entraineurs d'air.…).
Lors de la seconde phase qui est celle de la prise du béton, le béton est rigide et dégage une forte chaleur. La troisième phase qui est celle du durcissement se poursuit pendant plusieurs semaines. Il faut attendre 28 jours pour que le béton atteigne sa résistance maximale.
La bonne porosité d'un sol ciment/béton détermine l'adhérence d'une peinture de sol. Pour s'en assurer, effectuer le "test de la goutte d'eau" : répandre un peu d'eau sur le sol : Si l'eau reste, forme une flaque en surface, le sol n'est pas poreux. Si l'eau est rapidement absorbée, la porosité du sol est bonne.
En remplaçant une partie du sable incorporé au béton par un matériau fabriqué à partir de marc de café, des chercheurs australiens ont obtenu des blocs 29 % plus solides que ceux faits en béton traditionnel.
Un béton doit toujours être étanche pour qu'un béton soit étanche, il faut que les cheminements possibles dans la masse pour les infiltrations des eaux soient aussi réduit que possible et pour éviter ces acheminements, il faut réaliser un béton très compact.
De légères variations de rapport eau sur ciment peuvent entraîner une réduction de la durabilité. Les changements de résistance sont plus significatifs dans les gammes inférieures de E / C ainsi que lorsque des qualités de ciment supérieures sont utilisées.
L'élévation de la température ambiante accélère les réactions chimiques et modifie la cristallisation des silicates de calcium du ciment. En outre, l'hydratation du ciment est une réaction exothermique dont l'effet se cumule à celui des températures ambiantes élevées.
Pour information, un béton coulé à une température de 5° peut mettre jusqu'à 5 fois plus de temps pour effectuer sa prise. Il est donc conseillé, par temps froid, de couler son béton plusieurs heures avant que la nuit (et donc le gel) arrive. Comme cela, le béton aura tranquillement le temps de faire sa prise.
On arrive au point d'impact à près de 90 km/h. À cette vitesse, l'eau devient du béton, cinq ou six fois plus dure qu'en tremplin olympique.
Avantages du mélange de ciment naturel et de chaux
Incorporé à un mortier de chaux, il accélère sa prise. Il permet de réduire le délai entre deux passes. Il vous permet de réaliser des travaux même par temps froid.
De solides plots béton constituent une alternative très efficace à la dalle. Ils réclament moins de travail et certains se vendent sous la forme de kits quasi-tout prêts. Surtout, il est beaucoup plus facile de les casser le jour où l'on souhaite changer d'abri que de casser une dalle.
Avec sa composition faite de ciment et de ses constituants comme le sable, le gravier et l'eau, tout béton est susceptible de se « carbonater» après cinquante ans environ. On peut détecter des signes de carbonatation sur la surface du béton de la structure comme les épaufrures ou les éclatements de béton.