Il faut reculer tout droit même si le moteur peut être un peu de travers ( pas de soucis, cela est dû aux hélices). Pour tourner correctement, pensez bien à tourner le volant à gauche pour aller à droite et le contraire pour aller à gauche : le sens du volant est inversé en marche arrière !
Pour le cas spécifique des moteurs hors-bord et des Z-drive, c'est le moteur (ou l'embase) qui pivote pour servir de direction. Dans les deux cas, il faut un système qui relie le volant (ou la barre à roue) au safran ou au moteur pour le faire tourner. C'est ce qu'on appelle le système de direction.
La propulsion d'un bateau avec moteur in board
De manière générale, les moteurs in board sont des moteurs quatre temps (un peu comme ceux des automobiles) actionnant un arbre d'entraînement qui traverse le fond de la coque. Cet arbre d'entraînement est relié à une hélice qui va propulser le bateau lorsqu'elle tourne.
Faites correspondre la vitesse du bateau à celle des vagues
Plus la vague est grosse et rapide, plus vous devez changer de cap pour que la vitesse du bateau soit aussi proche que possible de celle de la vague. Au moment où vous commencez à surfer sur la vague, ne vous dirigez pas directement vers le bas de la vague.
Pour avancer, un bateau à moteur utilise un moteur marin, un inverseur, un ou plusieurs arbre(s), une hélice et un gouvernail. Ce mécanisme appelé système de propulsion produit suffisament de puissance pour déplacer le bateau.
Comment les bateaux avance face au vent ? En ralentissant le débit, une surpression est créée qui gonfle la voile. Ces différences de pression entre les deux côtés de la voile créent une force de poussée (flèche verte) qui tire le voilier vers l'avant. Le voilier avance !
L'allure dépend de l'angle formé entre l'axe principale du navire (axe proue-poupe) et le vent. Lorsque le voilier est face au vent, il ne peut pas avancer ; on dit alors qu'il est vent debout. Il doit s'écarter d'environ 45° de l'axe du vent pour pouvoir progresser à l'aide de ses voiles.
Assurez-vous que le bateau est centré sur la remorque et que la proue repose bien sur la butée. Attachez la proue au treuil et coupez le moteur du bateau avant de le remonter. Remontez le bateau sur la remorque à l'aide du treuil et attachez-le à la remorque à l'aide des sangles.
Acculée: Mouvement en arrière d'un navire, il cule. Adonner: Le vent adonne pour un navire à voiles quand il tourne dans un sens favorable à la marche, c'est à dire quand il vient plus à l'arrière.
Ramer rapidement, lire les vagues pour te placer au bon endroit, passer la barre sans perdre le contrôle de ta planche, etc. Lors de chaque session, ne te concentre pas uniquement sur ton take off et sur le fait de surfer des vagues. Pense à améliorer ta technique de base et à parfaitement contrôler ta planche.
La portance qui fait avancer l'embarcation et celle qui la pousse vers le côté varient selon l'« allure », qui est l'angle entre le bateau et le vent. En naviguant « plus près du vent », vous verrez une poussée latérale plus importante, car la voile est réglée plus près du centre du bateau.
Mouvements d'un bateau selon les trois axes : 1- pilonnement - 2- embardée - 3- cavalement - 4- lacet - 5- tangage et 6- roulis.
Lorsqu'un bateau s'incline à 90 degrés et met le mât à l'eau sans chavirer, on parle de « Knock-down« . Si le bateau dépasse ce point, le voilier se renverse et, sans autre mouvement pour l'aider à se redresser, reste stable dans cette position.
Le déplacement d'eau d'un navire est à l'origine de sa flottaison.
Définition de traversée
Mais par quel mystère, il est possible de remonter vers le vent. Cela s'explique par le forme de la voile qui fonctionne sur le même principe d'une aile d'avion. Le principe (appelé en physique principe de Bernouilli) repose sur la différence de pression entre les deux faces de la voile.
Quant aux marins, toute leur vie de pirates se déroulait généralement sur le pont. Les marins tournent par équipe : la première équipe se repose tandis que la seconde surveille le bateau. Les pirates dorment en général sur le pont, chacun dans un coin. Les conditions sont sommaires, pour ne pas dire misérables.
Retirer des marchandises ou faire descendre des passagers d'un moyen... débarquer v.i. Quitter un bateau, un avion, descendre à terre.
On parle de « grain blanc » en référence au fait que le ciel qui l'accompagne est parfaitement clair, et que de ce fait, il ne peut être signalé à l'horizon que par un nuage blanc en ascension rapide, ou par l'écume blanchâtre qu'il génère au sommet des vagues.
Cette force est appelée "poussée d'Archimède". On parle ainsi aujourd'hui du principe d'Archimède pour expliquer la flottaison des bateaux. Si l'équilibre entre le poids de l'objet et la poussée d'Archimède est atteint avant que l'objet soit entièrement sous l'eau : l'objet flotte.
Commencez à évacuer l'eau de votre bateau à l'aide d'une écope, d'une pompe à eau manuelle ou d'une pompe de cale. Si vous écopez manuellement, demandez l'aide des passagers afin de pouvoir chercher la source de la fuite.
Un tronc d'arbre rond, long et étroit n'aura pas le même comportement qu'un bac, large et court, nettement plus difficile à faire giter, au moins au début. La largeur est un élément clef. Un bateau étroit gite progressivement et acceptera de forts angles sans se retourner.
Évitez de rester dans votre cabine et restez sur le pont, à l'air libre. Vous pouvez également vous placer au centre du bateau, qui est l'endroit le plus stable. Si vous sentez arriver le mal de mer, sortez de votre cabine et fixez la mer, le ciel ou tous les éléments fixes qui se trouvent à votre portée.
Les remèdes contre le mal de mer
Choisissez si possible une cabine au centre du bateau, car il bouge moins à son centre de gravité. Lorsqu'on se trouve à l'avant ou à l'arrière d'un long navire, le mouvement ascensionnel est très sensible et prédispose au mal de mer.