Le soupir marque une expiration forte et prolongée provoquée par une émotion. Le soupir peut être un signe de soulagement, de chagrin, d'un sentiment amoureux ou…d'un ennui.
Ras-le-bol, agacement, soulagement se traduisent volontiers par un soupir volontaire. Une étude parue dans le magazine Nature et menée conjointement par les universités d'Ucla (Californie) et de Stanford nous révèle que le soupir est vital pour les poumons.
On soupire lorsqu'on se sent stressé, frustré, ou quand la tristesse nous paralyse. C'est alors que notre subconscient, de façon presque automatique, semble chercher ce bouton de réinitialisation pouvant nous permettre de respirer, de nous libérer temporairement de la souffrance.
une région qui joue un rôle dans la respiration, le sommeil et le rythme cardiaque, qui déclenchent le soupir comme des chefs d'orchestre. Ces cellules nerveuses activent ce mécanisme en réponse à un besoin de regonfler les alvéoles pulmonaires.
Entre respiration et émotion, le soupir est une réponse vitale et accompagnatrice dans notre propre catharsis. La catharsis est la libération affective, celle qui va nettoyer nos passions. Depuis toujours, le soupir fait partie des romances, des contes.
Ainsi, parmi les différentes causes les plus fréquentes de l'essoufflement, on peut citer : le tabagisme. l'obésité diverses pathologies respiratoires telles que l'asthme, la fibrose pulmonaire idiopathique, la tuberculose, la fibrose kystique, les pneumopathies, la pneumonie, etc.
La plupart des personnes vivant avec l'anxiété, la peur et la panique ont tendance à prendre de grandes inspirations restreintes qui exigent un effort, plutôt que des inspirations profondes, satisfaisantes et relaxantes.
La dyspnée est une sensation de respiration désagréable et gênante. Elle est ressentie et décrite de manière différente par les patients en fonction de la cause.
Il n'y a pas de traitement médicamenteux pour le syndrome d'hyperventilation chronique. Actuellement la prise en charge en physiothérapie est la piste la plus prometteuse. Le traitement de l'anxiété (par une thérapie ou par des médicaments) peut également aider. Les exercices de relaxation sont également bénéfiques.
Expiration forte et prolongée occasionnée par une sensation, une forte émotion : Pousser un soupir de soulagement.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
Si ce trouble de la respiration peut être bénin (sans danger), il peut parfois être à l'origine de graves complications. Dans les cas les plus graves, une hyperventilation peut conduire à une détresse respiratoire aiguë dont les conséquences peuvent engager le pronostic vital.
Mesurer sa fréquence respiratoire
Inspirez puis expirez et comptez le nombre de cycles sur une minute. Si vous dépasser 20 cycles par minute, vous êtes en "polypnée" et vous devez alors contacter rapidement un médecin pour évaluer votre situation.
La maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC) est une maladie chronique caractérisée par l'essoufflement, la toux chronique et la production accrue de crachat.
La détresse respiratoire provoque l'impression de manquer d'air. Il s'agit d'une sensation très angoissante qui s'accompagne souvent de panique. Cette affection est généralement liée à une affection pulmonaire ou cardiaque.
Lorsque vous êtes anxieux ou stressé, votre respiration devient plus rapide et plus superficielle, ce qui peut perturber l'équilibre entre l'oxygène et le dioxyde de carbone et déclencher encore plus d'anxiété, de peur et de panique.
Dyspnée aiguë
Les origines les plus fréquentes chez l'adulte sont l'insuffisance cardiaque aiguë, l'embolie pulmonaire et une infection pulmonaire survenant sur un poumon déjà malade (asthme, bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), etc.)
L'hyperventilation se traduit par une respiration rapide et saccadée. Elle se manifeste généralement pendant un épisode de stress, avec l'angoisse de manquer d'air. La fréquence respiratoire devient alors plus élevée qu'en temps normal, avec de nombreuses inspirations et expirations à la minute.
La seule action qui permet de nettoyer vos poumons c'est d'arrêter du fumer et d'attendre que vos micro-cils évacuent les mucosités pour dégager les voies respiratoires. 10 à 15 ans après la dernière cigarette, là alors l'espérance de vie reviendra à l'identique des personnes n'ayant jamais fumé.
En psychologie, le souffle court est une sensation désagréable souvent ressentie cas d'anxiété, de peur ou de trouble psychosomatique. Il fait partie des symptômes physiques de l'angoisse et peut facilement être confondu avec d'autres maladies comme l'asthme ou un problème respiratoire.
La spasmophilie est une trop grande sensibilité émotionnelle qui se manifeste par une crise subite, regroupant un ensemble de symptômes (vertiges, contracture des doigts, par exemple) qui inquiètent celle ou celui qui en est victime. Pour les psychiatres, la spasmophilie est une manifestation des troubles anxieux.
L'hypercapnie apparaît lorsque la ventilation alvéolaire baisse ou ne parvient pas à augmenter suffisamment en réponse à une augmentation de la production de dioxyde de carbone.