Il n'y a pas de traitement pour l'infection à HPV. Dans 90 % des cas environ, notre système immunitaire l'élimine spontanément. La plupart des personnes ayant une infection à HPV n'ont aucun symptôme et ne sauront jamais qu'elles sont ou ont été infectées.
Il n'existe aucun médicament qui guérit le VPH, mais on peut se faire vacciner contre certaines souches du virus. L'usage régulier de condoms peut réduire, mais non éliminer le risque de contracter ou de transmettre le VPH lors des relations sexuelles.
La plupart des infections à VPH sont asymptomatiques et disparaissent sans traitement en moins de deux ans.
Il existe également quelques molécules ayant démontré une certaine efficacité dans le traitement des dermatoses causées par les papillomavirus. Il y a d'abord l'azithromycine, un antibiotique qui semblerait avoir une certaine action antivirale. Il est utilisé dans les cas de papillomatose orale et cutanée.
Dans la majorité des cas, l'infection à papillomavirus ne provoque aucune maladie. Mais lorsqu'elle persiste dans le temps et qu'elle est due à un papillomavirus à haut risque cancérigène, comme les HPV 16 et 18, elle peut, dans un petit nombre de cas, aboutir à un cancer(1,2).
En cas d'infection à HPV, vous pouvez continuer à avoir des rapports sexuels. L'infection à HPV est très fréquente et le plus souvent transitoire. La plupart du temps, le système immunitaire permet d'éliminer spontanément ces virus et les infections sont sans conséquence.
Condylomes (symptômes d'infections par les VPH à faible risque de cancer) Les condylomes sont des verrues qui se manifestent sous forme de petites bosses sur la peau ou les muqueuses : des organes génitaux (pénis, scrotum, vulve, vagin, anus); parfois, de la gorge.
Le temps qui s'écoule entre la contagion et l'apparition des symptômes peut varier de plusieurs semaines à plusieurs années. Il existe différents symptômes en fonction des différentes souches du papillomavirus.
Il existe des facteurs qui contribuent à la persistance de l'infection HPV notamment le tabac, les partenaires multiples, une faible défense immunitaires, une infection par d'autres maladies sexuellement transmissibles. Dans plus de 80 % le virus disparaît par les défenses de l'organisme et n'entraine aucune séquelle.
Éviter tout contact de la bouche et des doigts avec les verrues et avec les lésions précancéreuses. La vaccination contre le HPV est un moyen de prévention efficace. Il existe des vaccins contre les types de HPV les plus courants et les plus dangereux.
Les conséquences d'une infection peuvent, selon le type de papillomavirus, aller des verrues génitales aux cancers. Plus de 99 % des cancers du col de l'utérus sont provoqués par une infection chronique par papillomavirus.
Les papillomavirus sont très contagieux, ils se transmettent par contact peau à peau lors des relations sexuelles, même sans pénétration. Ainsi, le préservatif ne protège que partiellement contre cette IST. Dans la plupart des cas, l'infection va disparaitre spontanément.
L'utilisation du préservatif est recommandée car, même s'il est d'une efficacité limitée pour HPV, il em- pêche la transmission d'infections sexuellement trans- missibles plus virulente telles que le virus du SIDA.
Très fréquents : rougeur, douleur, gonflement au point d'injection, maux de tête. Fréquents : nausées, douleur des extrémités, fièvre. Vomissements, vertiges, fatigue, frissons, malaise, douleur musculaire ou articulaire, ganglions, réaction allergique.
Toutefois, il est possible de détecter des verrues anogénitales, qui sont la conséquence la plus répandue d'une infection à VPH chez les hommes. Les verrues anogénitales sont diagnostiquées à l'occasion d'une inspection visuelle au cours d'un examen physique fait par un professionnel de la santé.
Le papillomavirus
Cette huile essentielle d'eucalyptus trouvera une alliée de premier choix auprès d'une molécule aromatique particulièrement anti-virale, à savoir le 1,8 cinéole. Et l'huile essentielle de Niaouli qui la contient est traditionnellement utilisée pour traiter le HPV.
Les localisations du papillomavirus peuvent être multiples, et lorsque celui-ci se loge au niveau du col de l'utérus, il peut être repéré par un frottis, mais pas à l'œil nu. D'où l'importance de réaliser un frottis régulièrement chez son gynécologue.
Est-ce que la femme peut transmettre les papillomavirus (HPV) à l'homme ? Oui, ces virus sont sexuellement transmissibles, dans les deux sens !
Les HPV : différents niveau de risque
Néanmoins, il n'est pas possible de détecter le HPV via une prise de sang, un frottis vaginal (à ne pas confondre avec un frottis du col de l'utérus), un frottis anal, un frottis de la gorge ou un test urinaire.
L'infection par le papillomavirus est très courante et la probabilité pour une femme d'en être touchée est de 60 à 70 % durant le début de sa vie sexuelle. Le pic de l'infection se situe entre l'âge de 25 ans et redescend vers l'âge de 35 ans.
Les cellules peuvent évoluer progressivement vers un stade de cancer. On considère qu'il faut 10 à 15 ans pour que l'infection persistante puisse évoluer vers un cancer.
En se transmettant lors des relations sexuelles, les papillomavirus peuvent toucher la vulve, le vagin, le col de l'utérus, l'anus, le pénis, mais aussi la bouche et la gorge. Toutes les pratiques sexuelles sont concernées et les hommes sont susceptibles d'attraper le virus autant que les femmes.
La négativation du test HPV est un critère de guérison, mais la patiente reste à risque et devra être dépistée tout au long de sa vie. opérées ayant un test HPV positif 3 à 6 mois après la conisation, faisant de ce test un indicateur du risque à court ou à moyen terme.
Certaines études ont conclu que la consommation régulière de Shiitake améliore l'immunité en produisant une prolifération et une activation cellulaire accrues et une production accrue de sIgA, qui lie les antigènes pathogènes et les empêche de se déposer dans la muqueuse.