Pour mieux gérer un enfant têtu, vous devez lui poser un ultimatum. Il prendra en compte le fait qu'il doit vous écouter, c'est aussi une façon pour qu'il prenne ses responsabilités. D'ailleurs, tant que ses demandes sont raisonnables et sans dangers, vous pouvez le laisser faire.
Entrez en contact avec eux sans les forcer :
Pensez à leur proposer par exemple à faire des activités ensemble, ou vous aider dans les tâches en proposant une récompense comme sortir jouer, voir un film ou faire du shopping.
1. Qui montre un attachement obstiné à ses opinions, à ses décisions : Enfant têtu.
Un enfant caractériel lutte pour le respect. Si vous le lui offrez, il n'a pas besoin de se battre pour protéger sa position. Cela l'aide de se sentir compris. Si vous voyez les choses de son point de vue et pensez qu'il a tort, vous pouvez toujours lui offrir votre empathie et essayer de faire un compromis.
Apprendre aux enfants têtus à s'exprimer et à gérer leur stress de façon saine est la clé pour une réelle discipline. Disciplinez un enfant têtu en restant calme, en l'écoutant, en le comprenant et en lui montrant un exemple de comportement acceptable.
Pour mieux gérer un enfant têtu, vous devez lui poser un ultimatum. Il prendra en compte le fait qu'il doit vous écouter, c'est aussi une façon pour qu'il prenne ses responsabilités. D'ailleurs, tant que ses demandes sont raisonnables et sans dangers, vous pouvez le laisser faire.
Proposez-lui de danser, de jouer ou de chanter par exemple. Son ressenti et sa frustration disparaissent aussi vite qu'ils sont apparus. Même si cela n'est pas évident, essayez surtout de rester calme. Vous énerver ne fait qu'envenimer la situation et la crise de colère imminente.
Défendez votre position calmement et, si la personne n'est pas d'accord ou ne répond pas, laissez lui le temps de réfléchir à ce que vous avez dit. Il/elle reviendra vers vous plus tard. Pour apaiser le conflit, essayez plutôt la voie de la gentillesse.
On propose généralement, dans les livres et les formations sur l'opposition, des systèmes de récompense ou l'utilisation des mesures punitives afin de « casser » leur comportement.
En fait, un enfant au comportement dominateur aura du mal à gérer ses émotions. Alors, la meilleure chose à faire est de le laisser faire tout seul. Par exemple, vous pourriez l'isoler dans sa chambre, en lui assurant : « Quand tu seras calmé, je serai là. » Il s'agit d'une solution qui convient mieux aux deux parties.
Lisa Damour : Les comportements les plus risqués sont ceux qui peuvent avoir des conséquences sur le long terme, notamment l'expérimentation de drogues ou d'alcool, les rapports sexuels non protégés ou les comportements physiquement imprudents.
Il faut donc réagir rapidement après son geste pour lui dire que ce comportement est inacceptable et ensuite l'encourager à exprimer ses frustrations avec des mots. Si un enfant frappe ses parents, il tente peut-être de les repousser pour exprimer son besoin de s'individualiser.
Expliquez à votre enfant qu'il y a des limites à ne surtout pas dépasser et dites les choses clairement. Prenez le temps avant toute chose d'anticiper ce genre de comportement. Instaurez ainsi des punitions que vous allez appliquer selon les cas qui se présentent et qui seront connus de votre ado.
On dit souvent, à propos des enfants qui poussent à bout, que l'enfant cherche la limite : il teste la limite. On peut dire en fait que l'enfant qui pousse à bout cherche à savoir ce qu'il y a au bout. Il n'est pas sûr de ce qu'il y a au bout.
La frustration, la fatigue et la faim sont les causes principales des accès de colère. L'enfant peut crier, pleurer, se débattre, se rouler par terre, jeter des choses et taper des pieds pendant un accès de colère.
Le traitement repose sur la psychothérapie individuelle associée à une thérapie familiale (incluant la personne ayant la charge de l'enfant). Parfois, des médicaments peuvent être utilisés pour réduire l'irritabilité.
Rester calme. Faire de l'ignorance intentionnelle (ne pas lui accorder d'attention, ne pas le regarder, ne pas lui parler, bref, il fait sa crise sans spectateurs). Vous pourriez aussi opter pour l'amener dans un endroit calme pour qu'il fasse sa crise. Attendre qu'il soit redevenu calme avant d'aller le revoir.
Donner le plus d'attention positive possible. Relever les bons coups de l'enfant, souligner les efforts qu'il faits, lui dire que vous êtes fière de lui lorsque son comportement est adéquat. Éviter de dire « non ». Pour un enfant opposant, le « non » sert souvent de déclencheur de crise.
Si les crises de colère occasionnelles ne signifient pas forcément que votre enfant a un problème, il faut s'inquiéter lorsque sa colère est fréquente et s'accompagne de comportements agressifs et violents.
« (Enfant) qui a une intelligence normale mais qui présente des troubles du comportement le plus souvent caractérisés par l'agressivité, l'instabilité excessive et un blocage dans la communication avec autrui [1][1]Définition donnée par le Centre National de Ressources…. »
Il faut laisser son partenaire punir sans intervenir et surtout ne jamais se contredire devant l'enfant. Les limites doivent être fixées à deux afin que l'enfant soit puni de la même manière à chaque punition. Enfin, il ne faut pas culpabiliser.
Bien sûr, il y a pléthore de punitions à notre disposition pour répondre à l'insolence d'un élève : on peut le coller, faire un rapport, l'exclure de cours, le faire exclure une journée ou deux du collège.