Transformer l'échec en réussite : la marche à suivre
Nier l'échec, c'est le considérer non pas comme une étape, mais comme une finalité indésirable. Constater l'échec, l'accepter, l'analyser pour en rechercher les causes : telles sont les phases qui vous permettront de repenser votre projet de façon plus intelligente.
En tirer les bons enseignements
En cas d'échec sentimental, ne mettez pas tous les torts sur l'autre, mais reconnaissez aussi vos manques et vos erreurs. Sur le terrain professionnel ou étudiant, cernez bien les raisons qui vous ont fait échouer. Et tenez-en compte pour ne pas recommencer.
L'échec est l'état ou la condition qui fait que l'objectif désiré ou prévu n'est pas atteint, et peut être vu comme l'opposé de succès, mais cela peut aussi désigner un sentiment qui surgit lorsque l'on regrette quelque chose, au même titre que le regret.
1 – Faire de son mieux pour rester motivé.
La meilleure solution contre la peur de l'échec est sûrement la détermination, l'entêtement et l'envie de continuer. L'échec n'est qu'une étape dans la réussite d'un projet. L'important est d'apprendre de ses échecs et non de les laisser nous arrêter et d'abandonner.
VIDÉO - Il y a encore pire que l'échec : échouer après avoir réussi !
Évaluer nos propres comportements et croyances. Nous devons être honnêtes avec nous-mêmes et prendre le temps de réfléchir à nos comportements et croyances qui ont pu contribuer à nos échecs. Ce travail d'introspection va devenir votre meilleur allié pour reprendre confiance.
Plusieurs facteurs peuvent causer l'échec d'une entreprise comme sa gestion, son produit ou même son environnement ou son marché. Les plus fréquents sont d'origine commerciale, financière, juridique ou judiciaire, d'autres sont liés à l'organisation ou les circonstances et les risques fournisseurs.
Les échecs nous donnent la possibilité de rebondir, d'apprendre de nos erreurs, et nous aident à apprécier le succès. L'échec peut faire peur, pourtant, comme le rappelait Winston Churchill, « la recette du succès, ne serait-ce pas finalement d'aller d'échec en échec sans jamais rien perdre de son enthousiasme ? ».
Les joueurs positionnels auront donc tendance à se tourner vers d4 comme premier coup aux échecs. D'ailleurs très souvent le second coup des blancs est c4. Les blancs perdent donc un temps de développement pour renforcer encore un peu plus le contrôle du centre de l'échiquier.
« Quel est votre plus grand échec ? » : c'est la question qui nous fait peur lors d'un entretien d'embauche ! Pendant l'entretien d'embauche, le recruteur évalue notre compatibilité avec l'entreprise. Pour cela, il s'intéresse à nos qualités, nos défauts, nos réussites, notre motivation, mais aussi à nos échecs.
Une personne souffrant d'atychiphobie envisage si intensément la possibilité d'un échec qu'elle refuse de prendre le risque. Elle peut, subconsciemment, diminuer ses capacités et se convaincre qu'il est inutile de continuer.
Le Roi est considéré comme la pièce la plus importante du jeu d'échec bien que la plus vulnérable. Sans sa Dame pour le protéger, le Maître du jeu est hautement vulnérable.
Un grave échec passé, une image de soi biaisée et dégradée ou encore un traumatisme, peuvent être à l'origine de la peur de l'échec. Cette dernière entraîne alors de nouveaux troubles. La plupart du temps, la crainte est l'expression de nombreuses névroses qui s'imbriquent de manière complexe.
La défense sicilienne aux échecs est une ouverture choisie par les noirs après que les blancs, au premier coup, aient avancé leur pion devant le Roi de deux cases. C'est la défense favorite de grands champions comme Bobby Fischer, Garry Kasparov et du plus fort joueur français de tous les temps Maxime Vachier-Lagrave.
La grande technique de stratégie est donc de repérer les mauvais Fous et d'essayer d'échanger notre mauvais Fou contre une pièce adverse et d'empêcher notre adversaire d'échanger son mauvais Fou. C'est une stratégie extrêmement importante à maîtriser lorsqu'on souhaite bien jouer aux échecs !
Il s'agit d'Abraham Lincoln.
L'épanouissement professionnel n'est plus la condition sine qua non pour réussir sa vie. Elle n'est plus qu'un composant parmi d'autres : l'indépendance, la liberté, la paix intérieure... Et surtout bien en dessous du désir fort de vivre des expériences.
"Cette peur est bien réelle et légitime, il s'agit d'une prise de conscience de la solitude, affirme notre spécialiste. La peur de vous retrouver seule vous paralyse mais il ne s'agit parfois que d'un fantasme. Une fois la décision prise, la réalité est souvent plus facile à affronter que ce l'on avait imaginé.
Cela peut avoir trait à la relation aux autres avec des schémas relationnels qui semblent se répéter sans fin. Une situation de vie dont on n'arrive pas à sortir. Cela peut aussi arriver vis à vis de soi-même. C'est alors un profond sentiment d'incompréhension quant à ses propres réactions, ses émotions.