Pour muscler le dos de son cheval, il faut donc d'abord muscler ses abdominaux. Vous l'avez compris, quand il y a contraction des abdominaux il y a fléchissement de la hanche. Il y donc ramener des postérieurs “sous la masse”.
Travail sur les pentes : La marche en main ou en selle en montant et descendant des côtes permet de renforcer le dos et les postérieurs. Travail avec des barres : L'utilisation de barres au sol à la longe ou en selle est un moyen stimulant de faire travailler les muscles de la ligne du dos.
Exercices pour muscler le dos du cheval monté
On l'a vu au niveau biomécanique la descente d'encolure est le travail le plus propice au développement de la musculature du dos de votre cheval. Si vous avez pris le temps d'éduquer votre cheval à la descente d'encolure en longe cela sera plus simple de l'obtenir en selle.
Soyez très progressif et très lent. Si votre cheval recule bien, en restant calme et droit, augmentez la distance jusqu'à reculer sur une vingtaine de mètres. Pour augmenter tension et flexion du dos, vous pouvez demander à votre cheval de reculer en descente d'encolure. Pour vous aider : peignez vos rênes.
Pour cela, prenez le pommeau à une main, ou à deux mains si vous pouvez être aidée et donc travailler en étant longée, et tirez très fort le bassin vers l'avant en tenant le pommeau. De ce fait, le corps se durcit un peu et vous parviendrez à mieux descendre dans la selle.
Les sauts au pas sont extraordinaires pour muscler l'arrière main de votre cheval. Par rapport aux sauts au trot ou au galop, les sauts au pas ont cet avantage de nécessiter beaucoup plus de force à cause de l'absence de vitesse à l'abord.
Pour muscler le dos de son cheval, il faut donc d'abord muscler ses abdominaux. Vous l'avez compris, quand il y a contraction des abdominaux il y a fléchissement de la hanche. Il y donc ramener des postérieurs “sous la masse”.
Il ressemble davantage au dessin. Il a de la masse musculaire, car ses efforts sont davantage « explosifs » : intense, mais sur une durée « courte » (quelques minutes). On se rapproche de la morphologie du gymnaste humain.
La première règle pour mettre, ou remettre, un cheval en condition physique est de fractionner le travail. C'est à dire alterner entre les temps d'efforts et les temps de récupération. Au cours d'une même séance, on peut demander 3 ou 4 séries d'efforts entrecoupés de temps de pause rênes longues.
Quand vous mettez des jambes, le cheval se pousse vers l'avant et vous sentez qu'il se pousse de l'arrière vers l'avant, que toute cette force vient dans la bouche du cheval qui se tend alors sur ses rênes pour céder et s'arrondir. Et le cheval est ainsi dans un équilibre horizontal.
Son dos se creuse et il manque d'engagement (un cheval qui engage étant un cheval dont l'arrière remonte, dont le dos est soutenu sans être crispé), Les performances de votre cheval sont en baisse, Le cheval manifeste des signes de défense lorsqu'il est monté : ruades, saut de mouton...
Pour cela, le cheval va devoir arrondir son encolure en venant pousser sa nuque par dessus son bout du nez. En étirant ainsi sa tige vertébrale, dans la décontraction, il va induire la décontraction de son dos, et le remonter.
Les transitions (entre allures et au sein d'une allure) sont excellentes pour muscler un cheval, en particulier les transitions rapprochées. C'est également un super moyen de dynamiser un cheval froid à la jambe.
Des muscles toniques et galbés grâce à l'équitation
Les muscles du dos et du bassin sont particulièrement sollicités, puisqu'ils communiquent directement avec votre monture et ses allures. Les jambes ne sont pas en reste, notamment les mollets et les adducteurs, qui travaillent continuellement à vous garder en selle.
Cet exercice consiste à passer 4 barres au sol et à enchaîner avec une volte avant de passer sur la barre suivante. L'exercice peut être réalisé au trot, puis au galop. L'objectif est de pouvoir de plus en plus resserrer la courbe au fur et à mesure des passages, tout en gardant un tracé droit pour passer les barres.
Prenez un peu de contact sur la rêne intérieure, sans tirer, et attendez que votre cheval cède en jouant dans vos doigts. Dès qu'il y a un mouvement vers le bas, relâcher sans perdre le contact et accompagnez le mouvement avec vos mains.
Il s'agit simplement d'effectuer un cercle au trot ou au galop et de laisser filer ses rênes sur un quart ou une moitié du cercle. Le cheval devant chercher à étendre son encolure vers le bas pour conserver le contact avec la main. La qualité du contact y est primordiale. Il doit être franc, mais souple !
Faire monter le dos du cheval, c'est donc faire travailler sa ceinture scapulaire de façon à ce que sa colonne vertébrale remonte entre ses épaules. Pour cela, il faut une impulsion qui vienne des postérieurs et se transmette à l'avant-main via un dos souple, tonique et exempt de tensions.
Exercice #1 – Galoper en extérieur et en dénivelé !
Le fait de galoper sur des amplitudes plus importantes qu'en carrière va permettre d'augmenter le travail des muscles de l'embrassée qui devront aller chercher plus loin, et des muscles de la propulsion qui devront pousser le corps du cheval à plus grande vitesse.
Le départ au galop en équilibre favorise au contraire l'équilibre sur les hanches, ce qui permet de la redresser. Comme c'est une attitude difficile à tenir pour un cheval, la laisser galoper plus de 5/6 foulées (même moins au début) sera impossible sans qu'elle ne se remettre sur les épaules.
Il permet d'améliorer son équilibre et sa souplesse, mais aussi de développer ses allures et sa musculature. En définitive, travailler son cheval à la longe présente de nombreux intérêts, tant pour le cavalier que pour sa monture.
Stephen Clarke conseille l'épaule en dedans, base du travail latéral, comme outil pour améliorer la rectitude d'un cheval. « Étant donné que l'on cherche toujours à redresser un cheval en plaçant les épaules devant les hanches plutôt que le contraire, l'épaule en dedans me paraît être une clé indispensable ».
tu règles pour que le cheval soit libre, pas encapuchonné, mais pas tro lache. tu verras que lorsqu'il marche ou trotte, il actionne lui même son mors, comme si monté, toi tu joues dans tes doigts, et du coup, ça lui fait baisser la tête et bien travailler le dos.