🔍 Une proposition subordonnée est souvent introduite par : Une conjonction de subordination (comme "que", "si", "quand", "parce que", etc.)
Une proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif simple : qui, que, quoi, dont, où, ou composé : lequel, auquel, duquel… Le chat [que l'on m'a donné] est un bon chasseur de souris. Elle complète un nom ou un pronom appelé antécédent et dont elle est une expansion.
La nature d'une proposition subordonnée
La proposition subordonnée conjonctive est introduite par une conjonction de subordination (que, quand, comme, si, etc.) ou par une locution conjonctive de subordination (parce que, bien que, pour que, etc.). Ex. : Les pêcheurs attendent pour sortir [que la tempête se calme].
La proposition principale se trouve généralement avant la subordonnée : Je vous recontacterai (principale) dès que la décision sera prise (subordonnée). Mais elle peut se placer après la subordonnée : Dès que la décision sera prise (subordonnée), je vous recontacterai (principale).
Une proposition est un groupe de mots ayant pour noyau un verbe dont le sujet est exprimé ou sous-entendu. Une phrase contient donc autant de propositions que de verbes dont le sujet est exprimé ou sous-entendu. Si une phrase ne contient qu'une seule proposition, il s'agit d'une phrase simple.
Il en existe beaucoup d'autres : attendu, avant, avec, concernant, contre, dans, de, depuis, derrière, dès, devant, durant, entre, envers, excepté, hormis, hors, malgré, moyennant, outre, par, parmi, passé, pendant, plein, pour, près, proche, selon, sous, suivant, supposé, sur, touchant, vu, etc.
Une proposition subordonnée est une proposition qui dépend d'une proposition principale. Elle se rattache à la proposition principale pour apporter une précision en lien avec celle-ci.
Une proposition : elle consiste en un ensemble de mots organisés autour d'un verbe conjugué. Proposition subordonnée : Cela veut dire que cet ensemble de mots dépend d'un autre élément de la phrase ( la proposition principale) . Remarque : « être subordonné à quelqu'un » signifie lui obéir, être sous ses ordres.
- Une proposition est composée d'un verbe, en général conjugué, qui peut être accompagné d'un sujet et de compléments. Ex. [Il ne viendra pas] : [il prépare son exposé]. : propositions indépendantes juxtaposées. ou ● coordonnées (=reliées par une conjonction de coordination ou un adverbe de liaison).
c) Modes : Ces propositions subordonnées peuvent être à différents modes : - à l'indicatif quand l'action qu'elle exprime est considérée comme certaine. - au subjonctif quand la subordonnée est sujet, ou qu'elle exprime le doute ou la réussite. - au conditionnel lorsque l'action qu'elle évoque est irréelle.
La proposition subordonnée complétive conjonctive est introduite par la conjonction que. Elle complète un verbe ou une expression verbale, par exemple : un verbe de déclaration (dire, préciser…) un verbe de connaissance, de constatation ou d'opinion (savoir, croire, apprendre…)
La proposition subordonnée relative est introduite par un pronom relatif : qui : La fenêtre qui donne sur la rue est ouverte. que : Le volet que tu as repeint est sec. dont : L'homme dont je t'ai parlé arrive.
Dans une proposition subordonnée relative, « que » est un pronom relatif et peut être remplacé par un nom. Il fait partie du groupe nominal. Dans une proposition subordonnée conjonctive, « que » est une conjonction de subordination et ne peut pas être remplacé. Il fait partie du groupe verbal.
"Quand" est une conjonction de subordination qui introduit une proposition subordonnée conjonctive. On peut remplacer une proposition subordonnée conjonctive complément circonstanciel de temps par un groupe nominal complément circonstanciel de temps.
Proposition indépendante : Elle ne dépend d'aucune autre proposition et aucune ne dépend d'elle. Proposition principale : Une autre proposition dépend d'elle. Ex : Je mange parce que j'ai faim. Propositionsubordonnée : Elle dépend d'une autre proposition.
L'herbe est sèche, pas parce qu'il a fait chaud, mais parce que je ne l'ai pas arrosée. Dans l'exemple, "pas parce qu'il a fait chaud" est une proposition subordonnée circonstancielle de cause qui rejette une cause.
En syntaxe traditionnelle, la proposition subordonnée, appelée aussi dépendante, est une proposition sans autonomie grammaticale, ayant un sens insuffisant, qui remplit dans une phrase complexe une fonction analogue à celle d'un terme à fonction syntaxique dans une phrase simple.
Mais connaissez-vous Adam ? Adam part pour Anvers avec cent sous, entre derrière chez Decontre. Cette drôle de phrase-là que l'on entend moins fréquemment regroupe un certain nombre de prépositions : à , dans, par, pour, en, vers, avec, sans, sous, entre, derrière, chez, de, contre...
Préposition. Élision de la préposition de devant une voyelle ou un h muet.
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination.
Sa fonction est donc d'être complément du nom.
La proposition subordonnée relative complément du nom apporte une information sur le nom « antécédent ». On peut la remplacer par un complément du nom. Exemple : J'ai mangé le gâteau [qui est au chocolat].
Conséquence. La subordonnée circonstancielle de conséquence exprime ce qui résulte de quelque chose. Conjonctions de subordination et locutions conjonctives : si bien que, de sorte que, de façon que, au point que, si/tant/tellement… que + indicatif.
EXERCICE . Les subordonnées relatives permettent de compléter un nom, de donner des informations supplémentaires sans commencer une nouvelle phrase. Une complétive suit très rarement un nom, elle complète le plus souvent un verbe; elle est COD de ce verbe.