Mais attention le blob peut mourir de froid, de chaud, de dessiccation, peut être dévoré etc... Il est immortel au laboratoire où les conditions sont idéales.
Tout d'abord, il est possible de le tuer en le mettant brusquement en pleine lumière, en le congelant, ou en le privant d'oxygène pendant très longtemps. Il sert aussi de nourriture à des êtres vivants comme les limaces.
Comment endormir un blob ? Le placer sur un papier filtre très légèrement humide et le laisser à l'obscurité et attendre 3-4 jours (voir le tutoriel).
Le blob : ni dangereux ni immortel
Il n'est absolument pas toxique, et ne présente aucun danger pour nous. Le blob peut se déguster, cependant, il n'est pas très bon ni très digeste.
Tous les jours, on écarte les restes de repas de Blobi et Bolga avant de changer leur gelée (comptez quinze minutes). Le meilleur outil est… le couteau à beurre. Sauf qu'à chaque manipulation, on tranche un petit bout de la créature avec une pointe de culpabilité.
À maturité, il disparaît en se transformant en millions de spores qu'il envoie dans l'environnement pour se reproduire, mais très peu se développeront. Le blob a deux handicaps : il n'aime pas la lumière et a besoin d'humidité en permanence. Placé sur un papier, il se dessèche en trois jours et ressemble à un lichen.
Un organisme unicellulaire qui ne meurt pas
Lorsqu'il est coupé en deux, le blob ne meurt pas, il est même quasiment immortel. Quand il est endormi, il se régénère et ne vieillit pas. "Les enfants sont fous du blob. Tous les jours c'est "qu'est-ce qu'on fait avec le blob".
Questions extravagantes : Le blob est-il comestible ? Oui et non, il est pas très bon mais pas toxique en petite quantité.
Ni plante, ni animal, ni champignon !
Le Blob est aussi appelé Physarum polyséphalum. Etre unicellulaire, il n'a pas de nez, pas d'yeux et pas de bouche, et pas de jambes pourtant le blob respire, se nourrit et se déplace. Dépourvu de système nerveux, il ne ressent pas la douleur.
Il ne craint ni le feu, ni l'eau, peut être découpé en morceaux et peut se régénérer. Le blob présente aussi des caractéristiques des plantes, des animaux et des champignons. Les capacités de cet organisme sans cerveau étonnent.
Il est possible de le croiser sur notre territoire dans des forêts humides sur les écorces, dans la litière mais également dans le compost de votre jardin !
53 mètres et 9 centimètres : le record du monde du plus long blob battu à Châteauroux. Pendant toute une journée, des élèves du lycée Blaise Pascal de Châteauroux ont crée une spirale de blob, cet organisme vivant aux propriétés étonnantes. Avec un ruban de plus de 53.09 mètres de long, ils ont réussi leur pari !
En fait non pas vraiment une moisissure le noir ce sont des spores, dernière étapes de la transformation d'un plasmode,sa mort mais aussi sa renaissance future en diffusant ses Spores dans la nature par le vent etc...
Cet être unicellulaire étonne par ses surprenantes aptitudes. Alors même qu'il n'a ni bouche, ni estomac, ni yeux, il arrive parfaitement à détecter la présence de nourriture (des spores de champignons, bactéries et microbes) et à l'ingérer.
Cette forme est appelée plasmode car la cellule contient des milliers de noyaux nécessaires à son fonctionnement. Sa couleur est jaune en raison de la présence de pigments. Dans la nature, il se nourrit, entre autres, de bactéries ou de champignons.
Ce fut aussi étonnant de voir que le blob devient vert quand il mange un flocon bleu, il change par conséquent de couleur par rapport à ce qu'il mange. À voir si dans l'avenir, si nous fusionnons les deux souches, quel sera le comportement de la nouvelle souche.
Mais finalement… qu'est-ce qu'un blob ? Le blob, constitué d'une seule cellule géante, n'a pas de système nerveux ni de cerveau. Il ressemble à une mousse gélatineuse jaune et aime vivre dans les sous-bois, dont il apprécie l'humidité et l'obscurité.
De couleur jaune ou blanchâtre, le blob, Physarum polycephalum, a un aspect un peu filamenteux, ramifié, et visqueux ("blob", en anglais, signifie goutte, tache ou zone floue).
Les limaces et certains petits scarabées sont leurs seuls prédateurs car les blobs ne peuvent se sauver rapide- ment. Certaines tribus indigè- nes les mangent. Ils ont un goût de champignon.
Je ne suis qu'une cellule, pas de cerveau, pas de neurone, mais je résous des problèmes, je peux me déplacer d'un centimètre par heure, voire 4 si j'ai très faim et je peux quasiment mourir mais revivre en étant placé au micro-onde.
En laboratoire, le blob peut atteindre 10 mètres carrés d'envergure, et il existe des spécimens trois fois plus grands dans la nature ! Enfin, le blob est quasiment immortel : il peut entrer en dormance en se desséchant, et "ressusciter" à des heures plus propices.
Ainsi il est facile de le conserver. J'ai réalisé des tests sur la résistance des sclérotes au froid, les résultats sont étonnant ! Le blob USA n'a pas supporté le froid du congélateur à – 25°C alors que le blob Australien arrive à survivre jusqu'à 3 jours à cette température.
Cette plante aux petites fleurs cruciformes blanches dégage une forte odeur d'ail lorsqu'on frotte ses feuilles, d'où l'origine de son nom.
Cet animal respire par l'anus ! Le blob, l'extra-média.