Une pièce de viande ou de volaille, même issue d'un animal abattu rituellement, comporte encore du sang, et doit en être débarrassée avant d'être cuisinée. Ce processus doit être réalisé dans les trois jours suivant l'abattage, sans quoi le sang se fige.
Se dit d'un aliment, en particulier de la viande, conforme aux prescriptions rituelles du judaïsme, ainsi que du lieu où il est vendu. (Pour la viande, une des principales prescriptions est l'ablation du nerf sciatique de l'animal et l'élimination du sang qui peut rester après l'abattage.)
L' alimentation cacher suit des règles bien définies. Voici les principales règles de la cacheroute. Le mot cacher signifie tout simplement « apte » ou « conforme ». Manger cacher pour un Juif, c'est suivre un commandement de Dieu (une Mitsva), et absorber une nourriture divine.
L'interdit du mélange lacté/carné
Cet interdit se rapproche également de celui d'abattre le même jour une mère et son petit, rejoignant ainsi l'interdiction de cruauté envers les animaux. Enfin, une interprétation plus récente est d'ordre symbolique : le refus de mélanger la vie (le lait) et la mort (la viande).
Un interdit central de la cacherout
Elles établissent notamment les règles pour préparer la viande, de façon à éviter la consommation de sang, et imposent la séparation entre viande et produits laitiers.
Les non-juifs, idolâtres pour les juifs, font des libations de vin à leurs divinités. C'est dans un contexte non religieux mais purement social et politique que les rabbanim de l'époque inventèrent le vin dit « cacher » et l'inscrivirent dans leur loi orale.
Selon les lois de la cacherout, et notamment le passage du Lévitique, chapitre 11, verset 9, qui indique les espèces aquatiques autorisées, seuls peuvent être consommés les poissons « pourvus de nageoires et d'écailles ». Ainsi, les crustacés et fruits de mer ne sont pas autorisées par la Torah.
L'interdiction du fromage est due à la double précaution de faire ajouter par un Juif au lait casher de la présure d'origine animale (extraite de l'estomac des ruminants) dont il est établi qu'elle provient d'animaux casher ; de nos jours, la présure casher est obtenue par reconstitution de conditions dans lesquelles ...
Grâce à la « clé sabbat », les juifs pratiquants peuvent utiliser des portes électriques sans enfreindre les règles de leur religion. de plus, Quand les juifs ne peuvent pas utiliser l'électricité ? Pendant le Shabbat il est interdit de produire ou de transformer de la matière ou de l'énergie.
Judaïsme : le pur et l'impur
Par exemple, les mammifères ruminants purs doivent avoir le sabot fendu [2][2]Le texte énumère dix animaux purs : le bœuf, le mouton, la… ; dans le cas contraire, ils sont réputés impurs.
Le sacrificateur rituel (juif ou musulman) place immédiatement le couteau sous la gorge de l'animal et tout en prononçant des phrases rituelles, procède à une saignée franche et efficace, sans anesthésie ou étourdissement préalable. Un étourdissement peut être provoqué après la saignée.
Le mot « galtt » ou la lettre « m » en dit plus sur la viande s'il est placé près du symbole kasher. Quant à la lettre « f » qu'on remarque le plus souvent dans les produits des magasins, cela signifie que la nourriture renferme des ingrédients à base de poisson.
La viande halal correspond à l'abattage de l'animal par le musulman, tandis que la viande kasher correspond à l'abattage de l'animal par le juif. Certaines personnes pensent que kasher signifie tué par un couteau, mais cela signifie en fait tué par une prière.
Les juifs ont un mode de vie, une religion appelée le judaïsme. Cette religion tire ses principes dans la torah. Et cette livre sacré mentionne que le lapin n'est pas cachère. Donc, ceux pratiquent le judaïsme ne doivent pas manger de la viande du lapin.
Concernant les poissons, il n'y a pas de cachérisation, contrairement à la viande. Un poisson est ou n'est pas cacher : "Parmi tout ce qui est dans les eaux, tout ce qui n'a ni nageoires ni écailles, vous ne mangerez pas, ce sera impur pour vous." (Deutéronome, XIV, 9-10).
Ainsi, les crustacés et fruits de mer ne sont pas autorisées par la Torah. L'esturgeon, la raie, l'anguille, le congre, etc.
Le shabbat ou chabbat (hébreu : שבת, « cessation, abstention » ; en yiddish שבת ou, rarement, שאַבעס, shabbes) est le jour de repos assigné au septième jour de la semaine Biblique, le samedi, qui commence dès la tombée de la nuit du vendredi soir.
Shabbat shalom (שַׁבָּת שָׁלוֹם) est un salut commun utilisé à Shabbat, ou pour souhaiter « un bon shabbat » par anticipation -- cf. « bon week-end », du moins dans les régions sous influence sépharade, mizrahite ou israélienne.
Il est interdit de consommer ensemble viande et produits lactés.
L'abstention de consommer le ligament de la hanche étant une loi biblique, tout manquement à celle-ci entraîne une peine de flagellation ; par ailleurs, une viande cuite sans retrait du ligament est interdite à la consommation si son goût est perçu.
Crustacés. La consommation des crustacés est prohibée par le judaïsme ; de même, plusieurs peuples refusent (ou refusaient) de manger les crabes, en Europe, en Afrique, etc.
1 – Les Falafels
Imaginez un pain pita ouvert façon sandwich et garni de boulettes de pois chiches (les falafels), de crudités et d'une sauce à base de tahiné (la pâte de sésame). C'est la version orientale du pain bagnat et c'est à tomber par terre tellement c'est bon.
Aliments non-permis :
Porc, reptiles, amphibiens et insectes. Fruits de mer (homard, crabe, crevettes, pétoncles, huitres, moules) et mammifères marin.
Parce que l'esturgeon, une espèce en voie de disparition dont les œufs sont récoltés pour produire du caviar, n'est pas un poisson casher.