La traînée engendrée par la résistance de l'air doit être inférieure à la traction de l'hélice, ainsi l'avion avance dans la masse d'air. Au décollage, la traction doit augmenter plus vite que la traînée et la portance doit être supérieure au poids ainsi l'avion peut décoller.
Les véhicules plus lourds que l'air réalisent généralement un vol avec une portance aérodynamique créée par le flux d'air sur une surface (généralement une aile) . Il existait trois types de base de véhicules plus lourds que l'air : les cerfs-volants, les planeurs et les avions. Les cerfs-volants sont des engins attachés et non motorisés. Les planeurs volent librement.
Le vol plus lourd que l'air est rendu possible grâce à un équilibre minutieux de quatre forces physiques : la portance, la traînée, le poids et la poussée . Pour voler, la portance d'un avion doit équilibrer son poids et sa poussée doit dépasser sa traînée. Un avion utilise ses ailes pour la portance et ses moteurs pour la poussée.
Il existe quatre forces qui agissent sur les objets qui volent. Il s'agit du poids, de la portance, de la poussée et de la traînée. Chacune d'entre elles joue un rôle essentiel pour maintenir un avion dans les airs et le faire avancer.
La force de traînée est donc celle qui s'oppose au mouvement de l'avion ; c'est la résistance à l'avancement. La force de portance, ou de sustentation, est celle qui maintient l'avion en l'air.
Les ailes sont courbées sur le dessus et plates en dessous. Elles sont aussi un peu inclinées. Ce qui veut dire qu'elles ne sont pas droites comme une planche. C'est grâce à leur forme que l'air du ciel peut voyager autour des ailes et faire soulever l'avion.
2 décrire les relations qui existent entre les quatre forces du vol : la portance, le poids, la traînée et la poussée, et qui rendent le vol possible.
En aviation, le calcul de l'itinéraire prend en compte plus de variables. C'est pour cela que les avions ne volent pas en ligne droite.
Le Starfighter. Cet appareil sophistiqué pour l'époque va vite se voir attribuer des surnoms aussi peu flatteurs que " cercueil volant" ou "faiseur de veuves".
Les avions, à l'atterrissage et au décollage, se placent toujours face au vent. Cette règle permet de réduire au minimum leur vitesse lorsqu'ils se posent et assure leur portance au moment de prendre leur envol. A la construction d'un aéroport, les pistes sont donc toujours installées en fonction des vents dominants !
Le taux d'accidents aériens s'établit en moyenne dans le monde à 1 accident par million d'heures de vol (soit 2 accidents par million de vols) avec des fortes disparités (0,7 accident par million d'heures de vol en Europe, 0,4 aux États-Unis, plus de 13 en Afrique).
Les avions de transport, militaires ou civils, ont volé à haute altitude pour franchir les obstacles naturels et s'affranchir des phénomènes météorologiques plus fréquents en basse atmosphère.
La raison principale, c'est pour consommer moins de carburant : Les avions de ligne volent en croisière entre 7.000 et 12.000 mètres d'altitude, car à cette hauteur, l'air est beaucoup moins dense et oppose moins de résistance à l'avion.
Un avion vole dans les airs en poussant et en tirant continuellement l’air ambiant vers le bas. En réponse à la force de déplacement de l’air vers le bas, l’air pousse l’avion vers le haut . La troisième loi du mouvement de Newton stipule que pour chaque action, il existe une réaction égale et opposée.
L' air se raréfiant de plus en plus en montant en altitude, la portance de l'avion diminue et pour compenser celle-ci, l'avion se devrait d'augmenter sa vitesse pour " rester en l'air " , ce qui altérerait ses capacités physiques .
En classe économique, le poids autorisé tourne presque toujours autour de 20 kilos. Mais sur un vol charter ou « Low-Cost », la limite peut être revue à la baisse (18 à 15 kg).
"Plonger le matin et prendre un avion dans l'après-midi est potentiellement dangereux, cela peut engendrer un AVC, ou encore un infarctus", prévient le Dr Pierantoni.
En nombre de crashs, c'est le 707/720 de Boeing qui l'emporte avec 105 catastrophes, devant le DC9 et le DC8 (62 chacun), le Boeing 727 (57) et le Boeing 737- 1/200 (48).
Le PC-12 a fait ses preuves en matière de fiabilité, avec plus de 1700 avions totalisant plus de sept millions d'heures de vol. Il a également un bilan de sécurité équivalant celui des jets d'affaires bimoteurs.
Premièrement, il existe des vents violents qui peuvent dévier les avions de leur trajectoire et les amener à consommer plus de carburant que nécessaire . Deuxièmement, les systèmes de contrôle du trafic aérien exigent que les avions suivent certaines routes afin d'éviter les collisions avec d'autres avions ou des obstacles au sol.
Itinéraires courbes
Ces itinéraires courbes sur de plus grandes étendues de terre offrent un voyage plus efficace et plus court que les itinéraires droits sur l'océan Pacifique. En optimisant les trajectoires de vol, les compagnies aériennes gagnent du temps, réduisent la consommation de carburant et, à terme, augmentent leur rentabilité.
Parce que le Pacifique est très large, et les États-Unis aussi. La distance entre New York et Hong Kong est de 12970km en passant par l'Ouest, et 13200km en passant par l'Est. C'est quasiment la même chose.
La rotation de la Terre n'a pas cet effet car les avions se déplacent par rapport à l'atmosphère, et l'atmosphère suit la rotation de la Terre en moyenne. En l'absence de vent, votre parcours dans l'air est identique, que vous alliez vers l'Est ou vers l'Ouest.
L'atterrissage
L'avion descend sur une pente finale stabilisée à la vitesse d'atterrissage. Près du sol le pilote « arrondit » c'est-à-dire qu'il cabre l'avion pour réduire la pente de descente afin de venir tangenter le sol. En même temps, il réduit complètement la puissance des moteurs.
Un avion vole grâce à l'écoulement de l'air autour de l'aile produisant des forces aérodynamiques : la portance, perpendiculaire au vent relatif, vers le haut. Cette force est engendrée par la différence de pression entre le dessus et le dessous de l'aile .