Au sens propre, qui n'est pas très loin du sens figuré, qui est utilisé pour l'expression, au sens propre, « plus de peur que de mal » ça veut dire qu'il y a plus de peur, tu as plus d'émotions négatives liées à un danger que de mal, c'est-à-dire que de douleur réelle.
De peur que, locution prépositionnelle qui indique la volonté d'éviter que quelque chose se produise. Exemple : De peur que la police retrouve sa trace, le criminel a changé d'identité puis s'est installé dans un autre pays.
Quand le sujet de la principale est une personne (douée de volonté), on emploie afin de, afin que ou pour, pour que, qui expriment dans ce cas l'intention, la volonté d'obtenir un résultat ou d'atteindre un but : elle est allée à la bibliothèque afin d'emprunter (ou pour emprunter) les livres dont elle a besoin.
Selon les cas, on peut aussi remplacer afin que par d'autres synonymes : pour , pour que , dans le but de , dans l'objectif de , de façon à , de manière à , dans l'intention de , en vue de .
Afin de et afin que ne peuvent cependant pas toujours remplacer pour et pour que pour introduire un complément exprimant un but. Appartenant à la langue soutenue, afin de et afin que indiquent non seulement un résultat, mais marquent aussi une intention.
Les locutions de sorte que et de telle sorte que signifient « de (telle) manière que, si bien que ». Elles sont suivies de l'indicatif ou du conditionnel quand elles expriment la conséquence : Il avait tardé à partir, de sorte qu'il était très pressé.
"Je crains /je craignais qu'il ne vienne." Soit la subordonnée est antérieure à la principale, et on utilise le subjonctif passé : "Je crains /je craignais qu'il ne soit venu."
– Je pense que/je crois que/je trouve que cette décision est… Lorsque ces verbes sont dans une phrase affirmative, ils sont suivis de l'indicatif. Je pense que cette entreprise est très bien! En revanche, quand ils sont dans une phrase négative, ils sont suivis du subjonctif.
Lorsqu'on utilise des verbes d'opinion (“croire”, “penser”, “trouver”…) à la forme affirmative, il faut employer l'indicatif. Je crois qu'il est capable de faire ça. En revanche, lorsque ces mêmes verbes sont employés à la forme négative, le subjonctif est nécessaire.
- au subjonctif: quand le fait est simplement envisagé ou souhaité (Son envie est que tu fasses ce spectacle. Le plus important est que nous gagnions ce soir). - au conditionnel: quand le fait dépend d'une condition - exprimée ou non (La vérité est que tu aurais intérêt à le faire).
“Comment allez-vous?” et “Comment vas-tu?” appartiennent au langage soutenu.
Marque une opposition. Synonyme : néanmoins, pourtant, toutefois.
adjurer, mendier, prier, quémander, revendiquer, solliciter, souhaiter, vouloir.
Il faut écrire : Après que chacun a gagné sa place, le cours commence. Si la locution « avant que » est suivie du subjonctif, « après que » entraîne nécessairement l'indicatif, ici au passé composé.
Mode verbal après si. Bien que le verbe ne puisse être employé au conditionnel lorsque si exprime une condition, tant le conditionnel que le futur sont admis dans le cas où si véhicule une idée de concession. Le conditionnel est aussi correct lorsque si introduit une interrogation indirecte.
Après « bien que », le verbe est au subjonctif. On n'écrit donc pas « bien que je n'ai pas le permis », mais « bien que je n'aie pas le permis ». Phrase correcte.
Sans avoir égard à ; en dépit de, malgré.
Malgré ce qui vient d'être dit. Synonyme : cependant, enfin, mais, du moins, pourtant, seulement, toutefois.
15 MANIÈRES de dire OUI en Français!! Ouais, si, ok, bien sûr, tout à fait…
Bonjour madame / Bonjour monsieur
Ces deux dernières expressions sont spéciales dans le sens qu'elles sont les formulations les plus formelles pour saluer une personne. Le fait d'ajouter “madame” ou “monsieur” témoigne d'un certain respect, d'un certain bon ton. — Bonjour madame. — Bonjour monsieur.
Très bien, c'est entendu, je suis d'accord, nous sommes d'accord, pas d'objection, il n'y a aucun inconvénient à cela, je n'y vois aucun inconvénient, cela ne pose aucune difficulté, cela me convient, cela nous convient, pas de difficulté (particulière).
Le gérondif est un mode impersonnel formé par la préposition “en” suivie du participe présent du verbe, par exemple : en dormant.