L'aspirine va donc favoriser le développement des racines au niveau des boutures. Placez quelques cachets (non effervescents) dans un verre et ajoutez un peu d'eau. Remuez jusqu'à obtenir une pâte blanchâtre. Trempez-y la base des boutures pendant quelques heures pour qu'elles puissent absorber la substance.
On ajoute une aspirine à concentration régulière à un verre d'eau et l'on fait enraciner la bouture dedans. On ajoute une aspirine à concentration régulière à un verre d'eau et l'on y fait tremper la bouture pendant 1 heure avant de le repiquer dans du terreau.
Mélangez du thé et de l'aspirine
Si vous lui associez l'acide salicylique de l'aspirine pour renforcer les mécanismes de défense des plantes, vous obtiendrez un étonnant duo pour nourrir vos plants. Il vous suffira pour cela de procéder 1 fois par mois à un arrosage avec un bol de thé additionné d'1 cachet d'aspirine.
Si le grain ne tient pas de lui-même, placez une petite ligature en raphia. Placez ensuite votre bouture en terre et maintenez le substrat humide. En germant, le grain d'avoine produit de l'auxine qui semble profiter aux tissus de croissance de la bouture et favoriser, ainsi, la formation des racines adventives.
La principale hormone de bouturage naturelle est l'auxine. Selon son emplacement dans la plante, sa concentration et le type de végétal, cette hormone naturelle agit à différents niveaux : elle peut favoriser la croissance des fruits, des légumes, des racines ou encourager l'élongation des feuilles…
Les grains d'avoine
Les graines d'avoine peuvent être une bonne alternative à l'hormone de bouturage. Néanmoins, pour rendre le produit efficace, choisissez des graines à leur première phase de germination. À cette étape, les grains vont sécréter de l'auxine au niveau l'apex du coléoptile.
En effet, un excès d'apport de ces hormones peut brûler les tissus à la base des boutures et les empêcher de produire des racines. Au mieux votre plante présentera des malformations et au pire elle mourra précocement. Il faut donc utiliser avec parcimonie ces produits (on compte 0,10 g par tige à bouturer).
Dans un verre transparent, disposez la bouture dans l'eau – si possible, placez aussi un morceau de charbon de bois pour éviter le pourrissement des racines à venir ; sinon changez l'eau régulièrement. À l'apparition des premières racines, surveillez bien les boutures.
Prenez quelques brindilles de saule (ou d'osier) que vous faites tremper 24 heures et voilà une hormone de bouturage qui ne coûte rien, et ça marche !
Bien nourries vos plantes sont plus fortes et ça se voit. Le choix du terreau est également une étape importante dans l'enracinement de la plante que ce soit en pot ou directement dans le sol. Il permet une bonne aération des racines, une rétention d'eau nécessaire à sa survie et un bon ancrage des racines.
C'est en effet grâce à l'acide salicylique présent dans l'aspirine que les mauvaises bactéries responsables de la mort de vos fleurs ne peuvent plus se propager dans l'eau du vase.
Le curcuma : qui est un excellent anti-inflammatoire et antioxydant. La vitamine E : très antioxydante, qu'on trouvera dans l'huile de bourrache par exemple. L'ail : un fluidifiant sanguin naturel, un antibactérien puissant et qui permet de réduire le cholestérol.
Dilué avec de l'eau, les restes de vin rouges fortifient vos plantes d'intérieur anémiées. Elle retrouve rapidement leur vigueur et les floraisons sont plus abondantes, parfumées et colorées. Utiliser un peu de cette eau rougie une fois par mois à partir du printemps et jusqu'au début de l'automne.
Pour faire des boutures sans mettre d'hormones de synthèse, prenez des branchettes de saule pleureur est faites-les tremper 12 heures. Et voila votre solution d'hormones de bouturage naturelle est prête. Pratiquer comme à votre habitude pour faire vos boutures, trempez et plantez.
Le terreau de bouturage est souvent composé en partie de perlite, qui présente les caractéristiques suivantes : C'est un sable silicieux d'origine volcanique. Il contient des éléments indispensables aux végétaux. Il peut s'agir entre autres de potassium, de magnésie, d'oxyde de sodium.
Pour stimuler la production d'hormone de croissance, il est intéressant de faire le plein de zinc et magnésium. Ce dernier favorise la relaxation musculaire ainsi qu'un sommeil réparateur. Quant au sommeil réparateur, on le sait, il permet d'amplifier la production d'hormone de croissance.
Les mois de mars, avril et mai, quand les plantes d'intérieur commencent à sortir de leur léthargie hivernale sous l'influence des jours de plus en plus longs, sont particulièrement propices au bouturage, mais on peut continuer de faire des boutures jusqu'au début de l'automne.
Les figuier, grenadier, actinidia (kiwi) et vigne sont également faciles à multiplier par bouturage. Pour les autres arbres fruitiers, pommiers, pruniers, cerisiers, poiriers, le résultat n'est pas garanti mais ça ne coûte rien d'essayer. Et si ça marche, vous aurez fait de belles économies.
Comment savoir si le bouturage a marché ? Les boutures ne prennent pas à tous les coups. Vous aurez réussi si, après 3 à 4 semaines, vous observez de nouvelles pousses au niveau des yeux.
A bouturer, au printemps
Antémis, aster, géraniums, fuchsias, dahlias, capucine, clématite, glycine... La période s'y prête relativement bien avant les fortes chaleurs de l'été et au démarrage de la végétation.
Elles sont elles aussi sensibles au froid. Pour les protéger, vous pouvez les placer sous un châssis ou tunnel l'hiver ou encore sous un film. Cela les mettra à l'abri des variations de températures et du froid. Astuce maison : vous pouvez couper une bouteille en plastique et la poser sur vos boutures.
Le bouturage dans l'eau est aussi possible pour de nombreuses plantes d'extérieur : aucuba, bégonia, bignone, datura, fuchsia, géranium, hortensia, impatiens, laurier-rose, lierre, lilas, menthe, potentille, sauge...
Pourquoi? C'est que les racines qui se forment dans l'eau s'acclimatent à un milieu aquatique. Quand vous transférez la bouture en pleine terre, les racines aquatiques, incapables de s'ajuster au changement, meurent et la pauvre bouture doit recommencer à zéro, développant des racines terrestres.