Les intelligences artificielles impacteront fortement le monde du travail. Des emplois vont disparaître, mais d'autres seront créés pour les remplacer. Les emplois peu ou très qualifiés ont jusqu'à présent été moins vulnérables à l'automatisation.
Une démocratisation qui s'accélère en 2023. De plus en plus performante et accessible, l'intelligence artificielle va passer du statut d'innovation de pointe à technologie de masse. Jusqu'à très récemment, l'IA était encore dominée par des géants comme Google, Microsoft et Amazon.
R: Il est peu probable que l'IA remplace complètement les emplois humains. Au lieu de cela, elle a le potentiel de devenir un outil pour améliorer le travail humain et permettre une collaboration homme-machine efficace.
L'IA est en plein essor et a le potentiel de transformer le monde. Il peut être utilisé pour automatiser des tâches, créer de nouveaux produits et faire le travail des humains. L'IA a la capacité de créer des produits plus sûrs, plus efficaces et plus créatifs.
L'intelligence artificielle permet d'automatiser ce processus afin de répondre à tout moment aux questions, et ce, de la manière la plus rapide qu'il soit. Si jamais la machine intelligente ne peut pas répondre, elle sait à qui rediriger l'appel ou les messages afin que le consommateur soit satisfait.
"GPT-4 est un grand modèle multimédia, moins doué que les humains dans de nombreux scénarios de la vie réelle, mais aussi performant que les humains dans de nombreux contextes professionnels et académiques", a indiqué OpenAI dans un communiqué.
Aujourd'hui, seul l'Intelligence Artificielle faible existe, par opposition à l'IA forte qui est une machine dotée de conscience, de sensibilité et d'esprit. En effet, l'IA faible se contente de reproduire un comportement humain sans conscience.
Les États-Unis sont les leaders incontestés du développement de l'IA, avec les grandes entreprises technologiques ayant leur siège social qui mènent la charge. Elles ont dépensé 248,9 milliards de dollars dans ce domaine.
L'enjeu central de la stratégie européenne en la matière pourrait être résumé ainsi : développer l'intelligence artificielle, ainsi que ses potentialités sociales et économiques, tout en encadrant les risques qu'elle fait peser sur les droits fondamentaux des êtres humains.
1. Biais : L'IA peut être biaisée en raison de données ou d'algorithmes incorrects, entraînant des décisions discriminatoires et injustes. 2. Emploi : L'IA peut remplacer les travailleurs humains dans certaines industries, ce qui peut entraîner une augmentation du chômage et des inégalités économiques.
L'entreprise a aussi demandé à l'IA quels sont les métiers qu'elle peut remplacer. Les professions citées en réponse sont celles de représentant de service client, rédacteur technique, traducteur et interprète, ou encore commis à la saisie de données.
Dans tous ces domaines la machine devient un outil inestimable, mais elle ne remplacera jamais totalement l'être humain qui restera juge des résultats et des performances. De plus, on constate qu'il s'agit en général de systèmes « fermés », comportant un périmètre de solutions ou d'informations bornés.
Mauvaise compréhension du contexte et des spécificités
De même pour les images, l'IA peut avoir du mal à saisir le contexte d'un visuel ou à comprendre son sens global, ce qui peut entraîner des erreurs dans les détails ou la composition de l'image générée.
Selon Avivah Litan, analyste chez Gartner, certains des plus grands risques de l'IA générative concernent la confiance et la sécurité et incluent les hallucinations, les deepfakes, la confidentialité des données, les questions de droits d'auteur et les problèmes de cybersécurité.
Le GTP-3 a été décrit comme la percée la plus importante et la plus utile en matière d'intelligence artificielle depuis des années. Il semble être – bien qu'il soit encore dans sa version bêta – le modèle d'intelligence artificielle le plus puissant actuellement disponible.
Selon une étude de l'Institut de technologie du Massachusetts, le « Green Future Index 2023 », l'Islande, la Finlande et la Norvège sont les pays les mieux préparés à un avenir durable et à faible émission de dioxyde de carbone (CO2).
Dans la géographie mondiale de l'intelligence artificielle, ce sont les États-Unis qui dominent largement la recherche et le développement.
Roulement de tambour, le pays le plus intelligent du monde est... le Japon, grâce à ses bons résultats dans les trois catégories (5e sur le niveau scolaire et 6e sur les prix Nobel et le QI).
L'IA améliore notre vie en nous aidant à économiser du temps et de l'énergie sur des tâches quotidiennes que nous devons effectuer à plusieurs reprises. Elle nous fait gagner du temps pour nous permettre de faire d'autres choses qui rendent la vie meilleure.
Les métiers manuels échappent à l'IA
Cette menace de l'IA concerne aussi certains secteurs d'activité comme la banque et les assurances, la santé, les métiers de développement web, de rédaction, de communication et même de graphisme comme le prouvent certains robots capables de générer des images à partir de mots clés.
L'un des plus importants enjeux de l'intelligence artificielle se situe dans la recherche. Médecine, astronomie et nouvelles technologies au sens large pourraient tirer profit de l'automatisation de leurs processus.
Piratage de voitures autonomes ou de drones militaires, attaques phishing ciblées, infox fabriquées de toutes pièces ou manipulation de marchés financiers...«L'expansion des capacités des technologies basées sur l'IA s'accompagne d'une augmentation de leur potentiel d'exploitation criminelle», avertit Lewis Griffin, ...
L'intelligence artificielle dite « faible » est celle qui existe aujourd'hui. C'est un algorithme d'automatisation des tâches — plus rapidement et plus efficacement qu'un cerveau humain n'est censé le faire. Ce type d'IA n'a aucune sensibilité, ni aucune conscience, ni aucune capacité de raisonnement.