Surmonter la peur demande un travail sur soi, la volonté de repousser petit à petit ses limites et un jour, les abolir. Il est indispensable de s'entraîner. Pour ne pas avoir peur de se battre, la seule possibilité est de venir s'entraîner à la pratique, entre autres du krav maga.
L'une des raisons pour lesquelles la peur peut être si puissante, à tel point qu'elle inhibe notre capacité à combattre est qu'elle se cache dans l'obscurité. Inaperçue, dans les recoins de notre esprit, elle agit sans que nous le sachions. Donc, la première étape est de tenter de faire preuve de lucidité.
Se battre avec la bonne technique. Prenez une position de défense solide et équilibrée. Votre pied non dominant doit être devant vous. Relevez vos mains au niveau de votre cou et penchez votre corps en arrière pour mettre plus de distance entre vous et votre agresseur.
Rester positif en prenant du recul sur la situation et en se concentrant sur les aspects positifs de sa vie et sur chaque effort qui aide à surmonter sa peur ; Lâcher prise en évitant de vouloir contrôler à tout prix sa peur et en prenant conscience qu'il est impossible de tout prévoir ni d'avoir la main sur tout.
La plupart du temps, la première frappe se concentrera sur les sites de silos à missile, les bombardiers stratégiques, les sous-marins nucléaires lanceurs d'engins (SNLE), les postes de commandement et les entrepôts où se trouvent les armes dites « stratégiques ».
Traiter directement la peur
La seule façon de faire face à la peur est de l'aborder de front. Le déni est une tendance naturelle de la nature humaine. Se forcez à faire face à une situation de peur dans la vie renforcent l'estime et la confiance en soi.
Lors d'une bagarre, faites tout pour adopter un langage corporel de confiance afin de montrer à votre adversaire que vous ne vous laisserez pas intimider. Pendant que vous vous battez, utilisez uniquement des mouvements défensifs. Cela montrera à votre adversaire qu'il ne pourra pas avoir le dessus sur vous.
Pour être zen, il est nécessaire de créer autour de soi, un cadre, une atmosphère propices à la méditation et cela passe par la décoration de son environnement qui doit être harmonieuse et épurée pour apporter l'apaisement. Notre environnement quotidien joue sur nos humeurs, notre équilibre, notre sérénité.
Écartez vos pieds et gardez vos poignets au-dessus des yeux et devant le visage. Si la personne vous donne un coup de poing direct du bras arrière, déplacez vos mains vers vos oreilles et protégez-vous le visage avec vos coudes. Lancez un coup de genoux ou de coude pour lui faire mal.
Rapprochez le haut de votre front vers son nez et son visage. Un coup de tête peut facilement mettre votre adversaire KO ou casser les os de son visage. Assurez-vous de rentrer votre menton et de frapper avec le haut de votre tête. Visez la zone des yeux, du nez et de la bouche X Source de recherche .
Quand on arrête de se battre et qu'on accepte la situation qu'on est en train de vivre, on fait le premier pas pour la régler. Avec honnêteté, humilité et simplicité, on entre en contact avec la réalité et cela est la clef pour avancer.
On peut utiliser toutes les parties de notre corps pour frapper : le coude, les genoux, la paume de la main ou son tranchant, notre front également.
Yeux, gorge, genoux ou encore parties génitales, Franck Ropers vous dévoile les points les plus sensibles du corps humain. Un doigt dans l'œil entraîne une douleur importante, une difficulté de l'adversaire à se concentrer, et obstrue temporairement le champ visuel.
Selon la psychologue clinicienne, les anxieux le deviennent à la suite d'événements traumatiques ou encore à cause d'“un environnement insécurisant, instable, violent.” C'est le cas, par exemple, des enfants témoins ou victimes de violences.
La pantophobie, ou « peur de tout » est souvent associée à un état dépressif. Cette phobie, qui touche plutôt les hommes, est liée à un manque de confiance en soi et peut trouver sa source dans un traumatisme soudain et violent (deuil, accident).
Ne pas oser faire ou dire quelque chose parce qu'influencé par une peur. Parler souvent d'une même peur à quelqu'un d'autre. Y penser souvent. Regarder un film ou lire un livre où une peur est vécue par les personnages, dans laquelle vous embarquez complètement.
Elle inhibe nos premières réactions physiologiques. Le système nerveux sympathique prend alors le relais et accélère notre rythme cardiaque et notre souffle, afin que nous puissions faire face à la situation.