Mettre en oeuvre des soins de confort fait partie intégrante de la prise en charge : il s'agit de respecter la dignité de la personne en s'inscrivant dans une démarche éthique. Connaître des techniques de soins esthétiques : coiffure, maquillage, manucure, épilations …
Soyez présent : Offrez votre soutien en étant présent, en écoutant et en montrant que vous vous souciez. La simple présence peut parfois être réconfortante. Il est essentiel de respecter les sentiments de la personne âgée et de reconnaître que redonner le moral peut prendre du temps.
Repenser les villes, les modes d'habitat, adapter les transports. Les conseils de développement encouragent le maintien des personnes âgées à domicile par un aménagement adapté à leurs modes de vie, concrétisé par une charte « vieillir près de chez soi », garantie par les pouvoirs locaux.
Incitez la personne âgée à participer à la vie familiale, à avoir des contacts avec ses voisins, ses commerçants, à garder le lien avec ses amis ou à développer une vie associative. Si sa santé le permet, encouragez-là à faire du bénévolat, par exemple auprès d'enfants en difficultés scolaires.
Parlez lentement et sur un ton doux. Limitez les distractions. Examinez l'environnement de la personne et adaptez-le pour éviter des situations similaires. Afin de l'aider à se calmer, essayez une activité relaxante.
Voici les principaux facteurs sous-jacents à ces troubles de la marche : Affaiblissement musculaire : les muscles perdent en masse et en force avec le temps. Cette atrophie musculaire est la conséquence d'une diminution de l'activité physique, mais également de certaines pathologies ou de la prise de médicaments.
Ce qu'on recommande généralement ? Les activités d'endurance douce (marche, vélo) pour améliorer les capacités cardiorespiratoires, la natation et les gymnastiques douces (yoga, taï-chi-chuan ou qi gong, aquagym…). Sans forcer et en faisant selon ses capacités.
Pour savoir comment gérer une personne âgée difficile, il faut avant tout sortir du cadre et ne pas le prendre à titre personnel en tant qu'aidant. En effet, les raisons sont souvent extérieures. Faites preuve de patience et de bienveillance, privilégiez la communication pour apaiser les tensions.
Si la personne âgée présente des troubles cognitifs, il existe des stratégies : Parlez d'une seule chose à la fois, adoptez une voix calme et chaleureuse, utilisez le langage du corps, soyez patient. Il faut aussi savoir réagir à ce que dit votre interlocuteur, posez-lui des questions.
Parler lentement et articuler clairement. Utiliser des phrases courtes, simples, positives et concrètes. Poser une question à la fois, donner une consigne à la fois. Laisser suffisamment de temps pour répondre à la demande.
Maintenir un lien social
L'Observatoire des séniors souligne que 39 % des plus de 75 ans n'ont personne avec qui échanger. Cet isolement peut avoir de nombreuses répercussions sur leur santé physique, mentale et sociale. Développer le lien social permet aussi d'améliorer la qualité de vie et de vivre plus longtemps.
Non, respecter les aînés n'est pas un signe d'arriération, mais plutôt un signe de respect et de considération pour ceux qui ont plus d'expérience de vie et qui ont souvent gagné à notre éducation et notre développement en tant que personne.
Certains facteurs qui influencent la qualité de vie liée à la santé, tels que l'altération mentale, l'incapacité, la douleur chronique, la dépendance aux soignants et l'isolement social, peuvent apparaître évidents aux personnes et à leurs médecins.
Les pratiques de méditation et de pleine conscience peuvent aider à calmer l'esprit. Parlez à votre médecin avant de modifier la dose d'un médicament ou de l'arrêter. Même si vos médicaments peuvent être à l'origine de votre agitation, les arrêter peut être dangereux.
1) Il faut en premier lieu que le senior soit en position assise sur le sol. 2) Ensuite, accroupissez-vous en face de lui et demandez-lui de se tenir à vos épaules ou de passer ses bras autour de votre cou. Vous-même, attrapez-le par la taille ou la ceinture.
Assurer leur rétablissement psychologique en évitant qu'ils ne plongent de nouveau dans la dépression (un facteur de risque du syndrome de glissement) Proposer un sport afin de les rééduquer à l'effort. En effet, la pratique d'une activité physique favorise l'appétit. Elle prévient donc la dénutrition.