À faible altitude, la pression atmosphérique baisse de 1 hPa chaque fois que l'on s'élève de 8 mètres, et la température baisse d'environ 1 °C chaque fois que l'on s'élève de 150 m (valeur ISA : perte de 6,5 °C par kilomètre, soit 1 °C pour 154 m ou 505 pieds).
Dans des conditions météorologiques comparables, les températures les plus élevées sont mesurées au niveau de la mer, la pression de l'atmosphère étant la plus haute au niveau de la mer. Plus on s'élève en altitude, plus la température diminue, parce que la pression diminue.
Variations de la température avec l'altitude
- Dans la troposphère (sous nos latitudes : du sol à 11000 m ), la température de l'atmosphère diminue de 6,5°C par km. Cette variation de la température en fonction de l'altitude est appelée gradient de température atmosphérique standard.
En règle générale, la pression atmosphérique diminue de moitié à environ 5 500 mètres et la température moyenne de l'atmosphère diminue de 6,5 °C par 1 000 mètres.
Elle se caractérise par une diminution de la température assez linéaire, de l'ordre de 6.5°C pour 1000 mètres ainsi que par une diminution de pression très importante avec l'altitude. La troposphère est la partie de l'atmosphère la plus turbulente.
A 2500 mètres, sur un versant exposé au sud et à l'abri des rayons solaires, le mercure peut monter facilement au-dessus de 25°C. De même, l'écart des températures entre la journée et la nuit est plus important en montagne qu'en plaine parce que l'air y est plus sec.
A la montagne il fait plus froid en haute altitude qu'en basse. Tout est question de pression atmosphérique. Plus on s'élève, plus la pression de l'air diminue. Si la pression est plus faible, alors l'air se dilate pour conserver le même volume, ce qui va lui coûter de la chaleur, donc il se refroidit.
Une question de pression
En fait, c'est la pression atmosphérique qui décide de la température d'ébullition de l'eau, car le poids de l'air "presse" sur la vapeur. Ainsi, pour chaque pallier de 300 mètres d'altitude, l'eau bout environ un degré plus bas.
En effet, à 11 000 mètres d'altitude la température extérieure est d'environ -60°C alors que dans le train d'atterrissage, elle varie entre -18 et -12°C d'après une étude américaine publiée en 2002.
La pression atmosphérique diminue avec l'altitude. Plus on s'élève dans l'atmosphère, moins il y a d'air au-dessus et donc moins le poids est grand. Il y a moins d'air au-dessus du niveau de 12 km qu'au-dessus du niveau de 5 km. La pression est donc plus grande au niveau de 5 km qu'à 12 km.
La température de l'atmosphère varie en fonction de la position sur le globe, de l'altitude et du moment (saison, heure de la journée, conditions locales de météorologie, etc.) ; elle est le résultat des différents échanges d'énergie qui affectent tous les corps.
Lorsqu'on fournit de la chaleur à une substance, ses particules s'agitent davantage et sa température augmente. Ainsi, plus l'agitation est importante, plus la température d'une substance est élevée. Au contraire, plus l'agitation est faible, plus la température est basse.
Salut, Calcul grossier : la température moyenne annuelle en france est d'à peu près 13°C, on va supposer à une altitude de 200m. En prenant un gradient de température de -6,5°C/1000m, ça donne une moyenne de 0°C à 2200m.
En altitude la température baisse d'environ 6°C tous les 1000 m. Ainsi à 4000 m, il faut s'attendre à une température voisine de zéro même en plein été.
L'hémisphère Nord est incliné vers le Soleil durant l'été. Il fait donc plus chaud l'été, car les rayons arrivent plus perpendiculairement sur nos régions que durant l'hiver. En hiver le sol reçoit moins d'énergie du Soleil dans l'hémisphère Nord, car : les rayons du Soleil sont moins concentrés à la surface.
L'air insufflé dans la cabine est donc recyclé en moyenne toutes les 2 à 4 minutes. Le système HEPA extrait donc de l'air extérieur et le mélange à de l'air recyclé, « propre » puisque débarrassé de ses particules indésirables... Voilà qui explique pourquoi l'air circulant dans l'avion est froid.
A 400 km d'altitude de la terre, la température peut varier de +120°C à -150°C en quelques minutes.
Les conditions climatiques sur l'Everest sont extrêmes. En janvier, mois le plus froid, la température au sommet est en moyenne de −36 °C et le ressenti peut être de −60 °C . En juillet, mois le plus chaud, la température moyenne est de −19 °C et il gèle en permanence. De juin à septembre, l'Everest subit la mousson.
Au lieu de cuire des pâtes dans une eau à 100 °C elles cuisent à 95, 90 °C. Elle serait à 85 °C au sommet du Mont-Blanc et à 72 °C au sommet de l'Everest.
La température d'ébullition est la température maximale que peut atteindre le liqude sous une pression donnée. Si la pression est inférieure à la pression atmosphérique "normale", la température d'ébullition de l'eau ,par exemple, sera inférieure à 100°C. Elle sera par contre plus élevée sous une pression plus forte.
L'eau ne bout pas toujours à 100 degrés. Cela dépend notamment de la pression atmosphérique et des éléments qu'on lui ajoute. Ainsi, en montagne, elle bout à une température inférieure (et donc plus rapidement) car la pression est moindre, à l'inverse de l'eau dans une cocotte minute.
Pourtant c'est un niveau qui a, lui aussi, toute son importance pour la compréhension des phénomènes météorologiques. Au-dessus de nos régions, on peut dire que la moyenne des températures à cet altitude est d'environ -13/-14°C en hiver et légèrement inférieure à 0°C en été.
Le haut d'une pièce est toujours plus chaud que le bas parce que tout simplement, l'air chaud est moins dense que l'air froid. Comme l'air chaud s'élève, il fait tomber l'air froid plus lourd que lui et on retrouve ainsi une température sensiblement inférieure au sol.
Le rayonnement tellurique , par ciel dégagé , se produit des la tombée du jour , et la quantité maximale de rayonnement émise par la terre est atteinte au lever du soleil , donc c 'est a ce moment précis que les T les plus froides sont relevées.