Les patients psychotiques vieillis cumulent les représentations sociales négatives, les préjugés et le rejet liés à la psychose, c'est-à-dire à la folie avec un effet de discrimination sensible sur leur lieu de vie personnel ou en Ehpad, de la part des autres résidents, des familles, du personnel qui déclare : « Nous ...
Une personne présentant un trouble psychotique peut, par exemple, être convaincue d'être épiée ou suivie, entendre des voix ou avoir l'impression que d'autres personnes manipulent ses pensées. Elle fait difficilement la différence entre ce qu'elle perçoit et ce qui est réel.
Essaie de ne pas pousser la personne.
Respecte son rythme, et si les choses sont trop intenses, suggère de faire une pause. Fais comprendre à la personne que tu es là pour elle si elle veut en parler plus tard. Tu peux lui rappeler ses forces, qu'il y a de l'espoir et que tu es là pour la soutenir.
Ainsi, une personne peut entendre des choses qui ne sont pas réelles (hallucinations auditives), voir des choses qui ne sont pas réelles (hallucinations visuelles), avoir de fausses croyances sans lien avec le monde réel (délire) ou avoir des idées embrouillées. Ce sont tous des symptômes d'une psychose.
À cela peut s'ajouter une diminution ou une augmentation de l'appétit avec perte ou prise de poids, des troubles du sommeil, de la fatigue, un sentiment de dévalorisation ou de culpabilité, une baisse des facultés de mémoire et de concentration, et des pensées de mort.
Cela permet de distinguer trois types de vieillissement : pathologique, normal ou usuel, et réussi [10].
Selon plusieurs études, la sénescence commencerait quelque part entre la vingtaine et la trentaine. En Nouvelle-Zélande, des scientifiques ont observé l'organisme de 954 personnes d'âges différents. Ils ont estimé que les premiers signes d'altération des organes apparaissaient en moyenne à l'âge de 26 ans.
Les symptômes psychotiques et la maladie bipolaire sont des formes plus graves de mauvaise santé mentale. Les premiers sont caractérisés par une pensée désordonnée dans laquelle la personne n'est pas en contact avec la réalité.
Un épisode psychotique se soigne. Il est même possible d'en guérir.
Transmettez-lui un message d'espoir en lui disant qu'on peut l'aider et que les choses peuvent aller mieux. Si la personne refuse de discuter avec vous, ne l'obligez pas à se confier. Indiquez-lui plutôt qu'elle pourra vous parler plus tard si elle le désire.
La décompensation psychotique, rupture de l'équilibre psychique chez un individu, se caractérise principalement par le fait que cette personne "sort du réel" : elle peut alors présenter ce qu'on des bouffées délirantes, des épisodes délirants très brusques.
Qu'est-ce que la dépression psychotique ? La dépression psychotique représente un état dépressif, accompagné de manifestations délirantes ou hallucinatoires. Ces troubles affectent les croyances, les pensées et les perceptions.
Pendant de nombreuses années, les troubles psychiques ont été classées en névroses (les maladies sans modification de la personnalité et dont le patient est conscient) et en psychoses (celles où la personnalité est modifiée et où le patient n'est pas toujours conscient de son trouble).
La schizophrénie fait partie des psychoses. Contrairement aux idées reçues, elle n'est pas un dédoublement de la personnalité. Le schizophrène ne se prend pas pour un autre, mais il perçoit la réalité d'une manière très différente de ceux qui l'entourent.
Elle se traduit par une dévalorisation éprouvée par le sujet. La « tri-bi-angulation » détermine la psychose blanche. Elle rejoint les concepts œdipiens où le sujet fuira le mauvais objet, ou s'ajustera au bon réfléchissant le mauvais. L'ambivalence est irréalisable.
Il peut s'agir d'anxiolytiques, d'antidépresseurs et/ou d'antipsychotiques (neuroleptiques). Ces derniers ont pour objectif de diminuer l'excès de dopamine de l'organisme en cause pendant un épisode délirant. Un équilibre dans les dosages est important pour maintenir la vie affective et sociale du patient.
L' anxiété est une composante de la psychose confusionnelle inhibée, mais elle est secondaire à la difficulté de faire face à l'afflux d'informations.
Des recherches démontrent que les causes sont liées à plusieurs facteurs : facteurs biologiques (perturbations de certains neurotransmetteurs), facteurs génétiques, responsables d'un dérèglement clinique et facteurs environnementaux.
Causes et facteurs de risque des psychoses
Les causes de la psychose sont généralement plurifactorielles. Une psychose peut être liée à une perturbation des neurotransmetteurs du cerveau, notamment la sérotonine et la dopamine. Cette perturbation peut aussi avoir une origine génétique partielle.
Agressivité à l'égard de l'entourage. Une certaine agressivité est fréquente entre enfants et parents, notamment à l'adolescence, elle fait partie des processus de maturation et de développement. En cas de troubles psychiatriques (états borderline, schizophrénie, addictions…) une forte agressivité peut se faire jour.
L'hérédité : Ce que nous sommes dépend beaucoup de nos gènes; ces gènes viennent de nos parents, et nous n'avons aucune influence sur eux. Comme certains enfants ont le cancer (pour des raisons indépendantes de leur volonté), d'autres présentent un risque plus élevé d'avoir un problème de santé mentale.
Pourquoi certaines zones vieillissent-elles plus vite que d'autres ? Certaines parties de notre corps vieillissent précocement. Il s'agit principalement du contour des yeux et de la bouche, du cou, du décolleté, et du dessus des mains.
Les zones qui vieillissent le moins sont : le dos, les épaules, les mollets ou les chevilles.
Ainsi, chez l'homme, les cellules de l'estomac, des muscles et des poumons, vieillissent 20% plus vite que celles de la prostate ou de la rate.