Le voyage dans le temps est un des grands thèmes de la science-fiction, au point d’être considéré comme un genre à part entière. L’idée d’aller revivre le passé ou de découvrir à l’avance le futur est un rêve humain causé par le fait que l’être humain avance dans le temps de manière permanente, mais irréversible.
« Le voyage dans le futur est donc possible, en principe, sans limitation autre que celle de notre technologie », écrit-il dans Voyager dans le temps (éd. du Seuil). En effet, selon la théorie de la relativité, chaque individu possède son temps propre.
L'humain ayant voyagé le plus loin dans le temps à ce jour est Sergueï Krikaliov : il a bondi vers le futur de… 1/48e de seconde. Cette avance sur les autres humains résulte des 803 jours que ce cosmonaute a passés à bord de Mir et de l'iss (la Station spatiale internationale).
Un voyage dans le temps sans paradoxe est théoriquement possible, selon la modélisation mathématique de deux physiciens de l'Université du Queensland publiée dans la revue Classical and Quantum Gravity. Germain Tobar et Fabio Costa étudient la possibilité de voyager dans le temps.
Selon une étude parue dans Classical and Quantum Gravity, un voyage dans le temps sans paradoxe est mathématiquement possible. La question du voyage dans le temps fait encore débat chez les physiciens.
Partant de la Terre, un vaisseau déforme l'espace-temps dans son sillage, à mesure qu'il progresse vers sa destination à vitesse subluminique. Au cours de ce voyage, il laisse derrière lui un tube où l'espace-temps est déformé.
Selon Albert Einstein, temps, espace et matière ne peuvent exister l'un sans l'autre. Plus encore, elle inverse l'ordre habituel de causalité : ce ne sont plus le temps et l'espace qui sont le cadre des phénomènes mettant en jeu la matière, mais les corps qui influent principalement sur le temps et l'espace.
Pour voyager dans le temps, il est nécessaire de voyager plus rapidement que la vitesse de la lumière, comme dans le cas des cordes cosmiques, des trous de ver et des métriques d'Alcubierre.
TARDIS aura la forme de deux boîtes aux angles arrondis : l'une pour avancer dans le temps et l'autre pour le remonter.
Pour cela, il doit dépasser la vitesse de la lumière. En un sens (unique), nous voyageons tous dans le temps. Sans que nous n'ayons rien à faire, nous sommes transportés vers le futur au rythme d'une seconde par seconde.
C'est le portail pour se transporter de multivers en multivers. Quand le moment vous semble opportun, traversez ce portail. Vous atterrissez alors sur une autre planète, semblable à la Terre, ou peut-être un je-ne-sais-quoi de différent : un air plus pur, des couleurs plus lumineuses, des odeurs plus présentes…
Voyager peut te permettre de découvrir une nouvelle ville, une nouvelle région, un nouveau pays avec sa culture, ses traditions, sa population et ses modes de vie. Plus tu seras en contact avec la culture locale, meilleure sera ton immersion : dépaysement garanti !
« Le 'temps de l'horloge' mesurable n'est pas le même que le temps perçu par l'esprit humain », explique le chercheur dans cette étude. Ce décalage vient du fait que, pendant que notre corps vieillit, notre cerveau traite de moins en moins vite les images mentales. Notre cerveau obtient et traite moins vite les images.
Pour la plupart d'entre nous, le manque de temps est dû à une impression d'urgence engendrée par les différentes pressions que nous ressentons dans les sphères de notre vie. Nous vivons désormais davantage dans le futur que dans le présent, et rêvons à chaque instant de notre vie à venir.
Rechercher la nouveauté Plus nous sommes dans la routine, moins notre cerveau est sollicité. Rechercher de nouvelles stimulations demande à notre cerveau davantage d'efforts pour traiter les informations, ce qui a tendance à avoir pour effet de ralentir notre perception du temps.
L'espace-temps contiendrait en somme l'intégralité de l'histoire de la réalité, chaque événement passé, présent ou futur y occupant, depuis toujours et pour toujours, une place bien déterminée. Le passé existerait donc encore, tout comme le futur existe déjà, mais ailleurs que là où nous sommes présents.
Le physicien américain Lee Smolin, dans son livre La renaissance du temps, étend cette vision à la cosmologie. Selon lui, le temps est réel et le monde n'est pas déterminé d'avance, il peut créer, apprendre, évoluer. Et notre libre arbitre peut y devenir plus qu'une illusion.
Le changement de temps se produit en raison du mouvement (comme une personne qui marche, une secousse ou même une explosion). Bien que l'idée du temps en tant que progression puisse être quelque peu évidente, la date à laquelle le "temps a commencé" est plutôt débattue, car il existe des opinions contradictoires.
Cependant à 20 000 km d'altitude, ils ne subissent que le quart de l'attraction gravitationnelle terrestre ce qui au contraire accélère leur vieillissement et augmente leurs journées de 45 microsecondes. La différence totale entre une journée sur Terre et une journée à bord du satellite est de 38 microsecondes !
Une autre caractéristique est l'effet d'entraînement sur l'espace-temps. En effet, l'influence du trou noir sur la géométrie de l'espace-temps est très forte. La rotation de l'astre doit se répercuter sur cette géométrie, donc également sur le mouvement des corps passant à proximité.
La notion d'espace-temps émerge au XVIII e siècle, notamment avec Jean d'Alembert ( 1717 - 1783 ) dont l'article « Dimension » de l'Encyclopédie est — semble-t-il — la première publication à proposer de considérer le temps comme une quatrième coordonnée.