Le cododo diminue le stress du bébé, mais cela dépend du niveau. Une étude a sondé des parents à ce sujet: les enfants ayant bénéficié d'un des deux aménagements de sommeil de type cododo présentaient un niveau d'anxiété moindre à l'âge préscolaire, comparativement à ceux ayant fait du cododo moins de six mois.
Cododo dans le lit des parents : bonne idée, mais pas avant 1 an. D'après les spécialistes de l'enfance, le sommeil partagé au sein du lit conjugal ne doit pas se faire avant les 1 an du bambin. La pratique comporte plusieurs dangers pour sa santé et peut même causer son décès.
Idéalement, la séparation avec votre bébé doit se faire en douceur, à partir de l'âge de 6 mois. Même si votre bébé dort dans la pièce d'à côté, veillez à toujours garder un œil (ou une oreille) sur lui.
Il est tout à fait possible de mettre deux lits enfants dans une même chambre. Certains optent même pour un grand lit commun et propose aux petits enfants de faire du cododo. Partager un même lit est rassurant et si confortable, vous ne vous sentez jamais effrayé par l'obscurité de la nuit.
À partir de quel âge arrêter le lit cododo ? Il est recommandé d'arrêter d'utiliser le lit cododo vers l'âge de 6 mois. A ce stade, le bébé devient trop grand et trop actif pour dormir dans un lit cododo sans prendre le risque de tomber.
Des études sont arrivées à la conclusion que le partage du lit est le principal facteur de risque de mort subite du nourrisson, surtout les 6 premiers mois.
Outre le fait que dormir avec un enfant devient vite inconfortable, que lui-même peut-être gêné par nos ronflements, avoir trop chaud, bref, que le sommeil de chacun s'en trouve altéré, cela peut aussi avoir des conséquences plus graves sur le long terme.
Il n'y a pas de règle imposée. C'est selon la taille du logement, les moyens et les ressentis de chacun. Parfois, dès le retour de la maternité, bébé dort seul, les parents espérant que loin de l'odeur maternelle, il se réveillera moins. Un nouveau-né ne réclame pas sa chambre de lui-même.
Imaginez deux frères ou deux sœurs qui dorment blottis l'un contre l'autre, mignon n'est-ce pas ? Et pourtant, les experts déconseillent le cododo et s'accordent à dire que chaque membre de la fratrie devrait avoir son propre lit.
Mieux vaut attendre que votre bébé fasse ses nuits avant de le mettre dans la même chambre que son frère ou sa sœur. Si ce n'est pas possible, avertissez votre plus vieux que le bébé va pleurer et se réveiller la nuit, mais que vous serez là pour vous en occuper.
Le principal objectif étant que votre enfant apprenne à s'endormir seul, pour pouvoir le faire aussi en pleine nuit en cas d'éveil, et surtout pour retrouver confiance dans son sommeil. Votre rôle est de lui apprendre à réussir son endormissement, et non de l'endormir vous-même.
Pourquoi la proximité bébé-parents est préférable les premiers mois. Pour une première naissance notamment, ce contact rapproché d'avec leur enfant peut rassurer les parents. D'ailleurs, l'OMS préconise de garder le bébé dans la chambre parentale les six premiers mois afin de prévenir la mort inattendue du nourrisson.
Mais, en général, les experts conseillent une heure de couchage entre 19h00 et 20h30 maximum entre 6 mois et 3 ans. Cela lui permettra de faire des nuits longues et reposantes, mais aussi de prendre des habitudes d'hygiène du sommeil qui lui seront très utiles tout au long de sa vie.
En moyenne, l'écart d'âge des frères et sœurs au sein des familles se situe entre 3 ans et 7 ans. Cependant, si vous vous sentez prêt avant cet écart ou au-delà des 7 ans, il n'y a aucune raison de culpabiliser.
Jaitin propose deux types d'inceste fraternel : un inceste fraternel primaire et un inceste fraternel secondaire : « L'inceste fraternel primaire est une union sexuelle entre consanguins de la même génération (frère et sœur), qui peuvent avoir la même mère et le même père ou bien un des parents en commun.
fraternel, fraternelle
1. Qui se rapporte à des frères et à des sœurs, au lien qui les unit : L'amour fraternel.
Ainsi, l'âge conditionne l'organisation des chambres plus que le sexe des enfants. Par exemple, mieux vaut mettre les deux plus jeunes enfants (un frère avec sa sœur) dans la même chambre et laisser la chambre individuelle à la grande sœur de 13 ans, plutôt que de vouloir faire cohabiter les deux filles.
Les pédiatres préconisent de créer à chaque enfant un petit coin d'intimité. Ce coin peut contenir son lit, ses jouets ou encore quelques affiches. Il créera une véritable séparation au sein de la même pièce. L'aménagement de la chambre doit également permettre à chacun de dormir sans être dérangé.
Conclusion : le rituel du coucher jusqu'à quel âge ? Le rituel du coucher ne doit pas être abandonné avec l'âge. Il doit suivre une personne tout au long de sa vie. En effet, les règles que nous venons de vous préconiser pour l'endormissement des nouveau-nés sont exactement les mêmes que pour les adultes.
Considérant que les enfants de 2 à 5 ans se réveillent généralement autour de 6 h 30 et qu'ils fréquentent un service de garde, il est important de coucher les enfants de 2 et 3 ans vers 19 h et les plus grands de 4 et 5 ans vers 19 h 30. Ils devraient alors s'endormir rapidement, 20 à 30 minutes plus tard.
Pour l'enfant, le moment du coucher est souvent vécu comme une séparation d'avec ses parents. Il peut alors ressentir un peu d'anxiété et ne pas vouloir dormir seul dans son lit. Il est cependant important que le tout-petit apprenne à gérer cette anxiété et comprenne qu'il est capable de dormir seul.
Si certains médecins considèrent que les bébés et parents doivent dormir ensemble, d'autres sont plus méfiants à ce sujet. En effet, dormir avec son bébé implique le risque de bouger et peut-être… d'étouffer son enfant. Une étude a également établi un lien entre la mort subite de nourrissons et le partage du lit.
Pour les encourager à se sentir heureux à dormir dans leur propre chambre, laissez-les jouer sur leur lit un peu, afin qu'ils commencent à créer de bonnes associations avec celui-ci. Expliquez qu'ils vont dormir dans leur propre lit, afin qu'ils sachent à quoi s'attendre quand arrive l'heure du coucher.
Phase de préparation – Dans la journée, instaurer une promenade 2 fois par jour pour fatiguer l'enfant et surtout l'exposer à la lumière du jour. On y associe des horaires de siestes et de repas très réguliers, en évitant toute sieste après 17 heures – Le soir, on propose un renforcement des rituels de coucher.