En effet, la peau du saumon permet de protéger la chair lors de la cuisson. Puisqu'il s'agit d'un poisson à cuisson lente, il est préférable de conserver la peau pour que la chair ne cuise pas trop vite. Ce qui la rendrait sèche. Qui plus est, une fois dorée, la peau du saumon est délicieuse et croustillante.
Généralement, les viscères, le gras et la peau sont les sites privilégiés des contaminants. Il est donc recommandé de ne pas les consommer. Même si la peau du poisson est bien cuite et croustillante, il vaut mieux s'abstenir de la manger.
VRAI Car c'est du muscle ! Non seulement sa consistance ferme est dépourvue de saveur, mais le muscle concentre les toxines. Mieux vaut découper ces petites parties avant consommation, et ne pas les confondre avec les hématomes sans gravité que l'on trouve parfois sur la chair des saumons sauvages.
On cuit souvent le saumon au court-bouillon, mais il peut aussi être poêlé, braisé, rôti ou cuit à la broche. Avant de poêler le saumon, vous pouvez le faire mariner. Il est par ailleurs excellent en quiche ou en terrine. Le saumon se cuisine également en papillotes.
Les oméga 3 contenus dans le saumon n'ont pas uniquement pour effet de protéger notre cœur. Ils possèdent également des effets anti-inflammatoires, très utiles pour nous aider à traiter certaines maladies comme l'asthme, le psoriasis, l'arthrite rhumatoïde, et les maladies inflammatoires de l'intestin.
Des polluants dans les filets roses
Ce ne sont pas les vertus nutritionnelles du saumon qui étaient en cause, mais la présence de polluants dans la chair du poisson: PCB et dioxines seraient bien cachés dans les filets roses.
Si vous avez du cholestérol, préférez effectivement le poisson à la viande rouge. Idéalement, il est conseillé d'en manger deux à trois fois par semaine et de privilégier les poissons gras. Le saumon, le thon, le maquereau ou encore les sardines et les anchois sont les bienvenus dans vos menus !
La texture dépend de la quantité de gras qui se trouve dans la partie du saumon. Plus la pièce contient du gras, plus sa texture est moelleuse et fondante en bouche. Ainsi, les parties du centre et du corps sont les plus moelleuses et fondantes en bouche.
Déposer le filet sur une planche à découper en plaçant la queue (partie la plus étroite) devant vous. Glisser un couteau bien aiguisé entre la peau et la chair à l'extrémité de la queue. Cette incision permettra de détacher une languette de peau que vous pourrez saisir fermement au moment d'enlever entièrement la peau.
Par précaution, il vaut mieux les congeler avant de les consommer cru, au minimum 24h à -20°C. En procédant ainsi, on tue en principe les parasites (y compris les œufs) – attention, ce n'est pas garanti à 100% mais cela réduit considérablement les risques d'attraper une parasitose.
Enlever la peau avant de le cuire
Et pourtant elle est bien utile pour cuire votre poisson. En effet, la peau du saumon permet de protéger la chair lors de la cuisson.
Non. La peau de poisson n'a pas de valeurs nutritionnelles spécifiques intéressantes, en dehors de la gélatine (un agent gélifiant contenant 98% de protéines) qu'elle contient et qui lui confère un aspect visqueux ... C'est la chair du poisson qui est riche en oméga 3.
Les espèces les plus contaminées par le mercure sont le marlin, le requin, le thon rouge, le maquereau roi et l'espadon ; ils figurent parmi les poissons à éviter ou à ne consommer qu'occasionnellement.
Les poissons sauvages
Ne plus consommer de thon rouge, de requin et de poisson de grands fonds (comme le flétan, le grenadier ou l'empereur). Eviter les espèces suivantes : bar, cabillaud, carrelet, crevette, églefin, espadon, limande, lotte, merlu, raie, saumon de l'Atlantique, sole, thon (albacore, germon, obèse).
Enlever la peau du saumon en versant de l'eau chaude dessus. Découper le saumon en 2 pour obtenir 2 pavés et faire des entailles régulières en diagonale dessus.
Mais en faisant cela, nous nous privons d'une grande partie de leurs minéraux, vitamines et fibres. C'est d'ailleurs le cas de manière générale pour tous les fruits dont on peut manger la peau. "Cependant, ce conseil ne vaut que dans le cas d'une alimentation bio !
Nos préférées : la citronnelle pour sa fraîcheur, le gingembre pour sa subtilité, le safran pour sa richesse, la cannelle pour son originalité, le piment d'Espelette et le paprika fumé pour leur caractère affirmé.
« On met le saumon du côté peau. On laisse monter la chaleur doucement sans tourner le poisson pour que la peau devienne croustillante, sans toutefois la brûler. On retourne seulement une fois, on laisse cuire du côté chair peu longtemps et c'est tout. »
La question se tranche par le goût. Un saumon sauvage, plus sportif, va avoir une chair moins grasse, plus sèche. « Elle est très différente de la chair d'un poisson d'élevage, et peut dérouter », prévient Sophie. De plus, les espèces de saumon sont multiples, avec de grandes différences de goûts et de textures.
Choisir son saumon frais entier
Si votre saumon présente des tâches noires sur la chair, c'est qu'il a subi des injections pour le colorer en rouge. Ce n'est pas toxique, mais pas recommandé non plus. Sophie Fernandez ajoute que si votre poisson sent la viande, il faut fuir.
A Rungis, le filet de saumon a vu son prix s'envoler, notamment depuis le mois d'avril. En cause, à la fois le prix des aliments utilisés par les salmoniculteurs mais aussi une forte mortalité supérieure à la normale dans les élevages et des stocks congelés au plus bas.
Écosse ou Norvège, quelle différence ? Tout est une question de goût... Si vous cherchez un poisson maigre, légèrement rosé et ferme, tournez-vous vers les saumons élevés en Norvège. Si, à l'inverse, vous préférez un saumon plus orangé, plus gras et à la chair tendre et beurrée, le saumon d'Écosse est fait pour vous.
Voici la liste des aliments qu'il est conseillé d'éviter, en cas d'hypercholestérolémie: beurre, crème fraîche, lait entier et demi écrémé, concentré. viandes grasses : mouton, agneau, oie, bœuf, poule, abats. charcuterie.
Adopter l'huile d'olive, de colza ou de lin, également source de bons acides gras. Consommer quotidiennement des fruits et des légumes, frais et de saison si possible. Boire chaque jour deux grands verres de jus de radis noir, de céleri... Grignoter des graines de courge dans la journée ou à l'apéritif.
Le poisson gras et l'huile de poisson : riches en oméga 3
On le sait, ces acides gras contribuent à réduire le cholestérol LDL au profit du cholestérol HDL. Ils éliminent donc le mauvais cholestérol, tout en préservant le bon (5). Le thon, le saumon, le hareng, le maquereau et la sardine en sont de parfaits exemples.