On lit, dans le Dictionnaire de l'Académie française, à l'article Quoi : « Aux tournures familières “C'est quoi ?”, “Tu veux quoi ?”, on préfèrera les tournures “Qu'est-ce ?”, “Que veux-tu ?”. » Cela devrait aller sans dire, mais il semble cependant bon de le rappeler.
On écrit « est-ce que » pour poser une question. La phrase se termine par un point d'interrogation. L'expression « est-ce que » relève du langage familier et est donc à employer plutôt à l'oral. Elle comporte toujours un trait d'union entre le verbe « est » et « ce ».
La locution «tant bien même» en est un ardent exemple. La véritable formule étant «quand bien même». Aussi ne faut-il pas dire comme le précise l'Académie: «Tant bien même il réussirait, nous ne saurions l'approuver» mais «Quand bien même il réussirait, nous ne saurions l'approuver».
L'écoute, la pratique et l'état d'esprit sont les 3 piliers les plus importants pour apprendre à parler français couramment. L'écoute te permet de mémoriser plein d'informations de manière inconsciente. Ensuite, il faut bien sûr passer à la pratique, mais avec sérénité et positivité. Pas de stress.
Définition "quand même"
adv. Adverbe qui marque l'opposition entre deux choses liées ou entre deux aspects d'une même chose. Cependant, mais, néanmoins, toutefois.
Utilisez s'est quand vous avez affaire à un verbe pronominal au passé composé : il s'est levé. La forme c'est est constituée du pronom démonstratif ce élidé et du verbe être à la 3e personne du singulier : ce + est = c'est. On peut remplacer c'est par cela est. Ex. : C'est une bonne nouvelle.
La réponse simple On écrit toujours « est-ce que ».
📌 On peut remplacer “qu'est-ce que” par “quoi” ou « que ».
Règle : « C'est » peut être remplacé par « cela / cette chose / ce truc / cette notion, etc. / … est. » Exemples : C'est difficile. → Cela est difficile.
Bénéficier de, entraîner, éprouver, exercer, jouer, jouir de, se heurter à, mystifier, obtenir, porter, remporter, se procurer, recevoir, être tenu de. Attention, n'oubliez pas de respecter le temps de conjugaison de la phrase.
L'essentiel
On écrit toujours « c'est toi qui es ». C'est parce que le sujet de la phrase est « toi ». « Toi » = « tu », et on conjugue « tu es ».
« Ait » et « est » se prononcent de la même façon, ce qui peut occasionner des erreurs regrettables. Rappelez-vous que « ait » est une forme du verbe « avoir », et « est » une forme du verbe « être ». Remplacez le mot qui pose problème (« ait » ou « est ») par « était », autre forme du verbe « être ».
La conjugaison eut avec un t
La forme conjuguée eut correspond au passé simple, un temps de la conjugaison qui est rarement employé. On le trouve surtout dans les textes littéraires : romans, contes, etc. Pour le reconnaître, notez que le passé simple s'emploie sans l'auxiliaire avoir : il eut .
C'est est utilisé devant un nom, un pronom ou un adjectif pour présenter, indiquer, montrer (contraction de cela + est). C'est une belle voiture ! - Qui a fait ça ? - C'est moi ! Ces est un adjectif démonstratif pluriel ADJECTIFS DEMONSTRATIFS.
5. C'est, ce devait être, ce pouvait être, etc., s'emploient pour désigner quelqu'un, quelque chose, pour mettre un mot en relief : Tout cela, c'est faux. C'est nous les gagnants.
La forme s'est fait toujours partie d'un verbe conjugué à la forme pronominale (pronom complément + être + participe passé); c'est pourquoi s'est est toujours précédé d'un sujet, qui peut être un nom ou un pronom, et suivi d'un participe passé.
Dans pour que tu aies , aies s'écrit avec un e et un s . Cette terminaison -es , c'est celle du subjonctif présent, avec le sujet tu . On emploie cette tournure dans des phrases comme : pour que tu aies le temps , pour que tu aies l'info , pour que tu l'aies en tête , pour que tu n'aies pas froid .
Dans il vous est demandé , le mot demandé est précédé de l'auxiliaire être . Il s'agit donc du participe passé du verbe, qui s'écrit avec -é à la fin.
Aie confiance en toi ou ais confiance en toi ? On orthographie "aie confiance en toi". Il s'agit de la deuxième personne du singulier de l'impératif présent.
Par conséquent, le verbe avoir doit se conjuguer à la 1re personne du singulier du présent de l'indicatif, ce qui donne "ai". Bien sûr, la même règle s'applique quel que soit le sujet : "toi qui as", "lui qui a", etc.
Toi qui. L'accord se fait à la deuxième personne, comme avec tu : toi qui aimes Mozart (et non *toi qui aime).
Le mot « il y a » : -il peut être supprimé en changeant la phrase et en utilisant un verbe plus précis. Dans cette pièce, il y avait un coffre. Dans cette pièce, se trouvait un coffre. Dans cette pièce, un coffre était posé.
Pas de doute, on écrit toujours « qu'il ait » ou « qu'elle ait ». La forme conjuguée du verbe avoir « aie » existe, mais correspond ou bien au mode subjonctif à la première personne du singulier du subjonctif (« que j'aie »), ou bien au mode impératif à la deuxième personne du singulier (« aie ! »).