Est-il dangereux de visiter Tchernobyl ? En théorie, ne passer que quelques heures dans la zone d'exclusion est sans danger.
« Le principal problème posé par les incendies est l'exposition des pompiers aux radiations. C'est pour eux que le danger est le plus important. » Le plus grand risque est lié à la dose inhalée, à cause de la pénétration des radionucléides dans les poumons.
En effet, les éléments radioactifs les plus dangereux ne devraient atteindre leur demi-vie que dans 900 ans et il faudrait théoriquement 48 000 ans pour que le reste de la radiation s'épuise.
La ville de Tchernobyl est encore « habitée » mais d'une manière bien particulière puisque les enfants et les femmes enceintes ou en âge de procréer n'y sont pas autorisés. Officiellement, un millier d'habitants peuplent le no man's land. Officieusement, elle en compte trois ou quatre fois plus.
Une position géographique stratégique
De son côté, un expert russe en sécurité a expliqué à Reuters que la prise de Tchernobyl était un message envoyé à l'OTAN afin qu'elle n'intervienne pas militairement.
Si toutefois on atteint un abri, il faut retirer ses vêtements, ses chaussures et passer à l'eau la totalité de son corps pour bien retirer toutes les particules radioactives. En cas d'alerte nucléaire, le gouvernement français recommande de : Se mettre rapidement à l'abri dans un bâtiment en dur.
Trouvez un bâtiment avec des murs de briques solide.
Ce bâtiment peut vous servir d'abris. Ce type de construction est capable de résister aux dommages et de rester toujours debout. Privilégiez ceux avec un sous-sol. Cela augmente la sécurité et peut vous garder caché si vous devez rester loin de la rue.
Pompiers de Tchernobyl : où sont-ils enterrés ? Le lieutenant Vladimir Pravik et ses hommes, qui sont intervenus sur le site de Tchernobyl, ont été enterrés dans un cimetière de Moscou, avec d'infinies précautions.
"Tchernobyl est une bombe à retardement", assure Jean Geronimo, historien spécialiste de la Russie à l'université de Grenoble. Si les Russes ont pris le contrôle de la centrale nucléaire, c'est aussi "pour éviter des actes de sabotage.
L'accident survenu le 26 avril1986 à la centrale nucléaire de Tchernobyl, en Ukraine, a donné lieu au plus grand rejet radioactif non contrôlé de l'histoire. Des explosions de vapeur et d'hydrogène à la tranche 4 de la centrale ont mené à une rupture de la cuve du réacteur et à un incendie qui a duré 10 jours.
L'accident de Tchernobyl a ainsi touché des zones localisées et très éparses dans l'est de la France, tant en plaine (plaine d'Alsace et Vallée du Rhône) qu'en montagne (Alpes du Sud, Corse, Jura et Vosges).
Le passage du nuage de Tchernobyl en France
Le Sud-Est et la Corse sont les premiers touchés. Le 1er mai, les trois quarts de la France se trouvent sous le nuage. Le 2 mai, une dépression repoussera le nuage vers l'intérieur du continent. Ce passage du nuage a été largement minimisé.
Les conséquences sanitaires provoquées par cette exposition sont difficiles à évaluer avec certitude. Le nombre de cancers de la thyroïde a été multiplié par cent chez les enfants du sud de la Biélorussie ; cette épidémie est clairement reliée à l'exposition importante à l'iode 131 en 1986.
Puis, les animaux domestiques présents depuis le début de l'accident se sont adaptés et ont évolué pour être plus résistants. Enfin, toujours d'après German Orizaola, "l'absence d'humains à l'intérieur de la zone d'exclusion pourrait favoriser de nombreuses espèces, en particulier les grands mammifères".
Les radiations illuminent le ciel nocturne de lumières rouges et bleues. La poussière radioactive mortelle se répand partout. Sur le lieu même de l'explosion, au cœur du réacteur, les ouvriers encore vivants tentent de sauver ce qu'ils peuvent. Ils évacuent les blessés, coupent les alimentations, réactivent les pompes.
En France ,officiellement, Tchernobyl n'a aucune conséquence sanitaire. Mais une enquête épidémiologique italienne, présenté en 2013 à Ajaccio, montre que la catastrophe nucléaire serait responsable d'une forte augmentation des maladies thyroïdiennes chez les hommes.
Anatoli Stepanovitch Diatlov (en russe : Анатолий Степанович Дятлов, 3 mars 1931 – 13 décembre 1995 ) était l'ingénieur en chef adjoint de la centrale nucléaire de Tchernobyl la nuit de la catastrophe, le 26 avril 1986 .
L'Ukraine n'a plus d'armes de destruction massive actuellement. L'arsenal nucléaire de l'Ukraine s'est constitué lorsqu'elle se retrouva indépendante à la suite de la dislocation de l'URSS en décembre 1991.
"Il semble que [Poutine] menace toute nation qui pourrait chercher à soutenir l'Ukraine, a déclaré Julie Bishop, ancienne ministre des affaires étrangère australiennes à la chaîne américaine ABC. La capture de Tchernobyl n'a de sens que si Poutine essaie d'avertir le monde que la Russie est une puissance nucléaire."
- 26 avr 1986 - URSS - Le réacteur numéro 4 de la centrale soviétique de Tchernobyl (Ukraine) explose au cours d'un test de sûreté, causant la plus grande catastrophe du nucléaire civil et faisant plus de 25.000 morts (estimations officieuses).
Le sarcophage protecteur a coûté 1,5 milliard d'euros, et a été financé en partie par la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) et la communauté internationale.
Cependant une guerre risque belle et bien de se produire en France. Les causes exactes sont encore incertaines. Beaucoup de personnes commencent à évoquer un soulèvement pour le printemps 2022 ! Peut-être qu'il y aura un rapport avec la crise sanitaire de 2020 liée au Covid 19 et ses confinements.
L'Islande : le pays le plus sûr
L'Islande est, selon le classement Global Peace Index 2021, le pays le plus susceptible de rester pacifique au milieu d'une guerre mondiale. En raison de sa situation géographique (extrême nord de l'Europe, au milieu de l'océan Atlantique) et en raison de sa tradition pacifiste.
Le sous-marin Le Redoutable à Cherbourg serait suffisamment sécurisé. A Paris existe un lieu construit durant la guerre froide et qui possède 14 abris : Radio France ! Ils seraient accessibles par des galeries situées sous le bâtiment. L'Elysée dispose aussi d'un abri de 250 m2 sous le palais.