On ne le sait pas forcément, mais dans notre cœur se niche un système nerveux intracardiaque (SNI), une sorte de petit cerveau, jouant un rôle essentiel dans la modulation de cet organe.
- Il fonctionne souvent indépendamment du néocortex. - Il contrôle tout ce qui régit le bien-être psychologique du corps et une grande partie de la physiologie du corps : le fonctionnement du coeur, la tension artérielle, les hormones, le système digestif et même le système immunitaire.
Importance de la recherche sur le cerveau et le cœur
Par le passé, on considérait que le cœur réagissait constamment aux « ordres » envoyés par le cerveau sous forme de signaux neuronaux, mais de récentes recherches suggèrent que le cœur envoie en fait plus de signaux au cerveau que l'inverse.
Le cœur a la particularité d'être un système autonome, commandé par une activité mécanique et électrique qui lui est propre.
L'activité électrique du cœur consiste en des signaux électriques qui le font battre à un rythme régulier et à une fréquence normale. Le trajet de ces signaux commence avec une impulsion du nœud sinusal, ou sino-auriculaire (SA), situé dans l'oreillette droite.
Les palpitations peuvent avoir diverses origines et correspondre soit à une adaptation du cœur à une situation normale, soit à des battements anormaux du cœur. Par exemple, une accélération transitoire des battements cardiaques peut s'observer lors d'un effort soudain ou d'un moment de stress ou d'anxiété.
"Non, le cœur ne contient pas de mémoire", explique un neurobiologiste, mais une greffe peut agir sur l'état émotionnel.
Le cœur est alimenté en sang par les artères coronaires, qui bifurquent sur l'aorte.
Aujourd'hui, on est un peu revenu sur ce « matérialisme » biologique, et les connaissances les plus récentes montrent que le sentiment amoureux résulte d'une interaction complexe entre les cerveaux (le cerveau des instincts, celui des émotions et le cerveau logique) et le coeur.
Le cœur, organe de l'amour.
Le cerveau est l'organe des émotions : il donne naissance à la joie, la tristesse, la peur ou la colère.
ll est possible de vivre normalement sans posséder 90 % du volume de notre cerveau. C'est en tout le cas très étonnant d'un Français de 44 ans dont 90 % de la boîte crânienne ne contient quasiment que du liquide céphalo-rachidien.
Il existe au sein du cœur un certain nombre de structures neuronales organisées sous forme de plexus. Des circuits neuronaux locaux (interneurones) au sein de ganglions intracardiaques permettent l'intégration et le traitement d'informations nerveuses assurant la modulation de la fonction cardiaque.
On compterait environ 500 millions de neurones(1) dans notre intestin, constituant ainsi un système nerveux à part entière : le système nerveux entérique. Il s'agit du second système nerveux de l'organisme, d'où le nom de « deuxième cerveau ».
En effet, 100g de banane apportent 360 mg de potassium soit 18% de l'apport journalier recommandé. Et le potassium est très bon pour le système circulatoire ! Il assure un rôle important dans la contraction cardiaque et vasculaire, faisant ainsi baisser la pression sanguine.
Une étude2 a montré que la mûre et la framboise se classaient premiers et deuxièmes, parmi les fruits, pour contrer l'oxydation du cholestérol LDL, dont le taux élevé est un facteur de risque cardio-vasculaire.
Du thé vert. Une étude de 2006 a trouvé que la consommation de thé vert est associée à une réduction de la mortalité cardiovasculaire. Chez les femmes, celles qui buvaient plus de cinq tasses de thé vert par jour réduisaient de 31 % leur risque de décès cardiovasculaires.
La mémoire fugace des organes sensoriels
Reste que sur le très court terme, différentes mémoires sensorielles (visuelles, olfactives, tactiles, gustatives, auditives) sont gérées par les organes sensoriels.
Après une transplantation cardiaque, cette adaptation à l'effort se manifeste aussi, mais plus lentement. Il faut donc accorder de l'importance et du temps à l'échauffement. Une préférence est accordée aux sports d'endurance, tels que la marche, la course à pied, le vélo, le ski de fond et la natation.
La greffe cardiaque sert à traiter l'insuffisance cardiaque sévère et terminale. Cette insuffisance cardiaque peut être due à des dommages au cœur causés par : une maladie coronarienne, comme une crise cardiaque; une hypertension artérielle sévère non traitée (maladie cardiaque hypertensive);
D'après leurs conclusions, un patient qui prend un médicament à base de diclofénac, comme c'est le cas du Voltarène, a 20 % plus de risques de faire une crise cardiaque, un accident vasculaire cérébral (AVC) ou d'avoir de l'arythmie qu'un patient qui prend du paracétamol ou de l'ibuprofène.
Infarctus du myocarde (IDM)
Le fenugrec et le nopal contre les maladies cardiovasculaires.