Se réfugier chez soi, cela permet de se ressourcer, d'apprendre à être bien avec soi-même et de profiter des petits plaisirs de la vie. « Nos cellules et nos organes ont besoin de repos pour se régénérer. Un certain degré de plaisir est nécessaire.
La lumière artificielle et l'absence de lumière du soleil perturbent le rythme interne, augmentant les risques de problèmes de santé tels que l'obésité, le diabète et la dépression, rappelle le site du Time.
Symptôme quasi constant dans la dépression, la clinophilie est alors liée à un manque d'élan vital, qui empêche de faire des choses, et de sortir de chez soi. La clinophilie peut aussi être causée par les psychoses, notamment la schizophrénie ou les psychoses paranoïaques.
Vous pouvez alors être sujet à des crises d'angoisse ou faire de la tachycardie. Ces symptômes peuvent apparaitre au moment du départ de votre lieu de confinement. Mais ils peuvent également survenir lorsque vous pensez à quitter votre domicile ou que vous vous projetez mentalement au moment de votre départ.
Pour prendre soin de sa santé mentale
Selon des études, être souvent à l'extérieur permet de combattre l'anxiété, le stress, la dépression, l'irritabilité, l'insomnie et les céphalées. La nature a le pouvoir de stimuler les niveaux d'endorphine et de dopamine tout en réduisant le cortisol, l'hormone du stress.
Non ! N'en déplaise à certains gourous du développement personnel adeptes du challenge à tout prix, être dans sa zone de confort n'est pas un problème en soi. Dans un parcours professionnel, il y a des moments pendant lesquels on a justement besoin d'un cadre rassurant et reposant. Rien de grave là-dedans !
Vous augmenterez votre confiance en vous : Sortir de votre zone de confort et poser les gestes nécessaires pour atteindre vos objectifs a des effets positifs sur la confiance en vous, c'est-à-dire sur la perception que vous avez de vous-même. que vous en ressortirez grandit.
Ce besoin impérieux de bouger peut être le symptôme de maladies psychiatriques sous-jacentes. Il peut être associé à de l'irritabilité, à de l'agressivité, voire à des tentatives de suicide donnant lieu à un traitement neuroleptique, majorant ainsi les symptômes de l'akathisie.
Le verdict est sans appel : les personnes, "à faible niveau d'études", qui passent plus de 9 heures par nuit au lit doublent leurs risques de développer la maladie d'Alzheimer ou d'autres troubles neurodégénératifs par rapport au groupe témoin.
Burn-out ; Anxiété, troubles anxieux (agoraphobie, troubles obsessionnels compulsifs (TOC)…). Dépression, perturbations importantes de l'humeur, tendance à la tristesse et au pessimisme, manque d'envie et de motivation pour accomplir les tâches du quotidien, incitent la personne à vouloir rester au lit.
La solitude n'est pas une maladie, mais plutôt le symptôme d'une difficulté à s'adapter à son environnement. Cela peut parfois résulter d'un problème de santé mentale préexistant. Dépression, anxiété, troubles du sommeil ou bipolarité, peuvent se manifester également par un sentiment profond de solitude.
La personne se sent triste, vidée, sans espoir ; un abattement et une perte d'intérêt et de plaisir pour des activités du quotidien et aussi pour les activités habituellement agréables.
L'anhédonie est l'un des symptômes les plus fréquents de la dépression. Il s'agit de l'incapacité à ressentir du plaisir, l'impression « d'être là sans être là », de « se sentir vide ». L'anhédonie est encore aujourd'hui très difficile à traiter, la prescription d'antidépresseurs ne suffit pas toujours à la corriger.
Une personne casanière est une personne qui aime rester chez soi, il s'agit d'un état d'esprit. La personne casanière se sent bien chez elle, elle y trouve tout son confort et son univers sans avoir besoin de voir l'extérieur. Cependant, être casanier peut nuire aux relations sociales.
La solitude est souvent associée à des problèmes de santé, tels que la dépression, la démence, l'obésité, etc. Cependant, le lien est souvent complexe. Par exemple, l'obésité peut être la cause de la solitude, mais le scénario inverse est également possible : la solitude peut conduire à une « boulimie émotionnelle ».
Toutefois, il faut faire attention, car rester couché trop longtemps peut paradoxalement développer la fatigue et l'état d'épuisement. De plus, rester couché peut même engendrer des insomnies par la suite et il devient alors très difficile de réguler son sommeil et de lutter contre la fatigue.
La clinophilie est le fait de rester au lit, la journée, allongé, pendant des heures, tout en étant éveillé. C'est un symptôme de dépression ou d'entrée dans la schizophrénie. La clinophilie est une forme de repli sur soi fréquent dans certaines maladies.
✔ Des signes physiques : douleurs ou tensions musculaires, troubles digestifs, maux de tête, crispations articulaires, eczéma, acné, insomnie, sommeil perturbé…
Les complications physiques de l'anxiété
L'anxiété peut également participer à l'apparition de certaines pathologies chroniques : hypertension artérielle, maladies cardiovasculaires, cancers, diabète… Elle peut aussi engendrer des troubles digestifs, comme le syndrome de l'intestin irritable.
(Psychiatrie) Trouble mental caractérisé par une perte de la volonté et une grande difficulté à se décider, à agir (perte de l'initiative).
Si les zones de confort existent, c'est pour permettre de "chercher refuge lorsque notre état de stress devient trop important". Plutôt que de chercher à les dépasser ou en sortir, il faudrait, au contraire, faire les choses en douceur et se rapprocher progressivement de sa "zone proximale de développement".
Découvrir qui l'on est
Rester dans sa zone de confort revient souvent à faire la même chose que les autres. Vous vous conformez aux normes et à la pression qui y est liée. Par contre, en vous autorisant l'exploration d'un nouveau territoire, vous vous offrez la chance de découvrir qui vous êtes vraiment.
En résumé, sortir de sa zone de confort est un moyen efficace d'apprendre, de grandir et d'atteindre nos rêves 🌈. Pour y parvenir, il est important de définir ses objectifs, de prendre des risques calculés, d'adopter un état d'esprit de croissance, de s'entourer de soutien et de se donner le temps nécessaire.