Petite adolescence. Si certains bébés pleurent lorsqu'ils sont dans les bras de leur père (ou dans n'importe quels bras autres que ceux de leur mère), c'est surtout vers l'âge de deux ans qu'on voit apparaître cette peur du père. On appelle cette adorable phase « la petite adolescence », ou « terrible two ».
Quel que soit le rapport qu'entretient l'enfant avec son père, il est donc rare (même si « l'élève a dépassé le maître ») qu'aucun sentiment ne soit ressenti. Cependant, certaines personnes ont bel et bien grandi sans amour paternel et déclarent ne pas ressentir la moindre affection pour leur père.
De 0 à 8 mois : l'enfant ressent une angoisse de séparation (peur des étrangers ou peur de l'abandon) et a peur des chutes et des bruits. De 8 mois à 1 an : l'enfant ressent une peur des bruits (aspirateur ou téléphone). De 1 à 2 ans : l'enfant ressent une peur des monstres et du noir.
De nombreuses raisons poussent un père à rejeter ses enfants. Les principaux sont : Problèmes psychologiques tels que l'alcoolisme, la dépression ou un trouble mental. Mauvaise relation avec la mère de l'enfant ou divorce.
Un parent toxique critique et se moque de son enfant
Il dira des phrases comme : « c'est bien mais tu aurais pu… ». Ce comportement finira par faire perdre à l'enfant sa confiance en lui. Il ne se sentira jamais à la hauteur de ce qu'on lui demandera, parce qu'il n'a pas assez été encouragé.
"Un parent toxique, c'est un parent qui a été dominateur, critique, méprisant, manipulateur ou plus simplement démissionnaire et incapable d'offrir le moindre soutien à son enfant. Ces parents ne sont pas forcément coupables de sévices ou d'abus sexuels", définit au préalable la psychothérapeute.
Pourquoi est-ce qu'on a honte de nos parents ? La honte est un sentiment lié au rapport aux autres et à l'image, à l'idée, à l'estime que l'on a de soi. La honte est toujours liée au regard ou au jugement des autres, réel ou imaginaire. Et à l'adolescence, ce regard est particulièrement important.
Un parent narcissique est un parent affecté d'un fort narcissisme ou d'un trouble de la personnalité narcissique. Typiquement, les parents narcissiques sont exclusivement proches de leurs enfants et de façon possessive, et ils peuvent être particulièrement envieux, et se sentir menacés par leur indépendance croissante.
Un bon père est présent aux côtés de son enfant pour tisser des liens privilégiés et partager des moments de complicité : faire des câlins, donner le bain... Il le rassure, le protège et le réconforte tout en l'aidant à devenir autonome. Il pose des limites et des interdits de manière positive.
La génétique. Avoir un parent anxieux augmente les chances qu'un enfant soit anxieux. Certains tout-petits héritent d'un tempérament anxieux. Cela signifie donc que leur anxiété peut être plus intense que la moyenne et qu'il est plus difficile pour eux de se calmer.
« Le fait que cette peur persiste à l'âge adulte peut avoir plusieurs explications », nous explique le psychiatre Nicolas Neveux. « Une réminiscence de l'enfance, un événement traumatique, ou simplement un trop-plein d'anxiété qui cherche à s'extérioriser…
La peur est comme l'excitation, mais sans la respiration. Le fait de bien respirer va donc atténuer les sensations et sentiments qui nous font perdre le contrôle. Le plus : Faire un pas de côté pour prendre de la distance est un petit rituel, une démarche psycho-corporelle très forte.
Si votre père est en colère ou violent, vous devez éviter de vous disputer avec lui ou de le raisonner. Dans ce genre de situation, la meilleure des choses à faire est de rester silencieux(se) et de ne parler que s'il s'adresse directement à vous.
Pour discuter avec ton père, écoute-le…
Écouter comme jamais tu n'as écouté. Être attentive à ce qu'il raconte. Se mettre dans ses pompes. Essayer, tout du moins.
Une petite fille a besoin de voir ses parents s'aimer et se désirer; indispensable pour qu'elle puisse à son tour aimer et être aimée. Grâce à son père qui lui aura montré la voie, elle vivra une relation d'amour et de désir, à l'instar de celle de ses parents.
Ils ne ressentent aucune empathie. Ils exigent toujours de l'attention. Ils ne sont jamais satisfaits, en veulent de plus en plus. Comme ce sont des gens assez compliqués, vivre avec un narcissique est souvent épuisant, surtout pour ceux qui sont émotionnellement dépendants ou qui ont des problèmes d'estime de soi.
Généralement ce comportement arrive quand quelque chose le contrarie, ou qu'il est jaloux. C'est un homme un peu alcoolique par moment, ayant eu une vie pas facile, mais est ce une raison pour nous faire souffrir comme cela. Ces insultes font beaucoup de mal, il ne s'excuse jamais.
Si dès 4 ans, l'enfant ne comprend pas que le corps nourricier et sécurisant de sa mère appartient à une autre personne, il n'acquiert pas cette notion. On retrouve là l'une des prémices de la perversion narcissique, avec des individus qui puisent indéfiniment dans la vitalité de l'autre.
Sentiment d'identité et d'individualité
Un parent manipulateur pervers narcissique se projette sur son enfant, il ne l'accepte pas tel qu'il est. Son enfant n'a d'intérêt que s'il peut en faire un objet de jouissance. S'il ne correspond pas à l'image souhaitée. Il sera rejeté, brimé, humilié...
À une extrémité se trouve la honte saine, qui permet la socialisation et l'intégration de limites propices à la vie en société. À l'autre extrémité se trouve la honte toxique, qui condamne la personne à vivre avec un sentiment d'infériorité ou d'inadéquation (Zupancic et Kreidler, 1998).
Un renégat (occitan : renegat ; espagnol : renegado et italien : rinnegato ; littéralement en français un « renié ») est une personne qui renie ses opinions, sa religion, sa patrie ou son parti.
La honte de la famille est particulièrement prégnante à l'adolescence, où la personnalité se construit et où le regard extérieur revêt une grande importance. Elle apparaît dès lors que les particularités de notre famille passent la barrière du milieu familial pour être exposées au regard et au jugement d'autrui.