Oui, il est possible de ne pas aimer son père et/ou sa mère. Ou plus exactement, il suffit parfois d'un événement, d'une blessure symbolique de trop, pour que, par désespoir, l'amour que l'on éprouve pour un parent, se transforme en haine.
L'éloignement familial se produit lorsqu'une personne se distancie intentionnellement d'un membre de sa famille en raison d'une relation négative, ou perçue comme telle. Selon des études, au moins 27 % des adultes vivent une situation d'éloignement familial causée par eux ou un autre membre de la famille.
Par définition on ne peut pas "s'obliger" à aimer, l'amour est un sentiment qu'on éprouve ou pas ! Il n'y a pas d'obligation à aimer ses parents, par contre, nous sommes dans obligation de respecter ceux qui nous ont donné la vie et qui nous ont élevé.
Non seulement le parent peut avoir l'impression de ne plus aimer son enfant, mais il n'est pas rare qu'il commence même à détester être en sa présence.
Une relation est dite toxique, lorsqu'elle engendre une souffrance pour la personne au sein de celle-ci. Il peut s'agir d'une souffrance physique ou psychique, prenant un caractère envahissant et qui va handicaper le quotidien de la personne issue de cette famille.
Ou des mères dévorantes, qui vivent au travers de leur enfant tout ce qu'elles-mêmes n'ont pas vécu… et le condamnent à refouler ses propres désirs pour combler les leurs. Amour absent, insuffisant ou, au contraire, envahissant, étouffant, l'amour déséquilibré d'une mère peut plomber une vie entière.
"Être une bonne mère, c'est être une mère suffisamment bonne”, disait Donald Winnicott, éminent pédiatre et psychanalyste anglais (1896-1971). Une mère sachant répondre aux besoins et désirs de son enfant, sans les ignorer... ni les devancer. Il faut le clamer haut et fort, la mère parfaite n'existe pas.
Un épuisement profond, physique et émotionnel, qui n'est pas ou peu soulagé par un repos. Une distanciation progressive avec les enfants. Le parent ressent de moins en moins d'affect pour ses enfants et agit au quotidien comme un automate.
À partir de 3 ou 4 ans, un enfant peut vivre une passion exclusive vis-à-vis de son parent du sexe opposé. Il s'agit d'une étape normale du développement des enfants appelée le complexe d'Œdipe. Cette passion pour le parent de l'autre sexe amène d'ailleurs souvent le tout-petit à exclure l'autre parent.
Pour supporter son conjoint plus facilement, il faut refaire quotidiennement le choix conscient de partager sa vie avec lui. Régulièrement, rappelez-vous pourquoi vous avez choisi de vivre avec cette personne. Remémorez-vous ses qualités, vos moments de complicité, et tout ce qu'il vous apporte au quotidien.
Non, il n'est pas obligé d'aimer sa mère du point de vue du devoir, si celle-ci lui nuit et ne lui porte elle-même aucun amour. Mais de là à dire qu'on peut réellement ne ressentir strictement aucun amour pour sa mère, quel que soit son comportement, il est plus compliqué d'y répondre.
Cet état de dépendance à l'égard de l'autre est symptomatique d'un manque de confiance en soi : « Celui qui a été suffisamment soutenu et valorisé par ses parents n'aura pas besoin des autres pour se construire, affirme Maud Lehanne.
Les liens familiaux sont les plus solides que nous ayons dans notre vie. C'est pourquoi, lorsqu'il nous faut les rompre, nous pouvons en garder de profondes cicatrices. Après tout, votre famille est censée être toujours présente pour vous. Ce sont ceux qui ne doivent vous vouloir que du bien.
Autre piste de réflexion, votre colère peut également provenir d'une trop grande satisfaction de vos désirs. En effet, si votre mère a tenté de combler toutes vos envies, vous pouvez vous en sentir encore dépendante. Dans les deux cas, vous essayez de vous détacher d'une force maternelle étouffante.
La toxicité de la mère comme origine de cette décision. Quand un adulte décide de couper les ponts avec sa mère, c'est souvent qu'il y a un manque de solidité dans les fondations de la relation mère-enfant. Cette faiblesse est parfois due au comportement toxique de la mère vis-à-vis de son enfant.
des vertiges, des maux de tête ou des palpitations liées à l'anxiété des tensions musculaires, voire des douleurs dorsales. des troubles alimentaires liés au stress (perte de poids importante, anorexie, boulimie, etc.) des douleurs gastriques (ulcères à l'estomac, troubles digestifs, etc)
Etre au bout du rouleau signifie ne plus avoir de ressources, tant physiquement que psychiquement. Ce n'est pas un état qui s'installe d'un seul coup. Il arrive progressivement, nous fait sentir une fatigue, un stress et un ras-le-bol de plus en plus présents, avant d'arriver au stade où on n'en peut vraiment plus.
Maman renvoie à la sphère privée, à l'affectif
Pensons à l'expression C'est l'heure des mamans. À l'école élémentaire, l'enfant gagne en autonomie et le mot s'efface au profit de mère. La différence entre la sphère privée et la sphère publique est cette fois bien claire.
Locution nominale
Personne que l'on considère comme sa mère sans avoir de lien biologique avec elle.
Se remettre en question. Ecouter ses enfants. Etre capable de s'excuser si on est allé trop loin. Ce qui implique d'avoir conscience que l'on n'est pas des parents parfaits, mais que l'on tente d'être des parents suffisamment bons.