Les sueurs nocturnes sont plus fréquentes qu'on ne le pense, elles sont souvent associées à des troubles du sommeil et touche 35% de la population (hommes et femmes). Elles surviennent souvent à cause du stress mais les raisons peuvent être des causes plus graves.
D'une manière générale, les sueurs nocturnes sont la conséquence d'une stimulation du système nerveux sympathique, c'est-à-dire de l'un des systèmes nerveux autonomes de l'organisme. C'est l'excitation de ce système nerveux qui est à l'origine de la sudation.
Que ce soit chez l'homme ou chez la femme, la sudation nocturne peut être induite par un dérèglement de la thyroïde (hyperthyroïdie en particulier), le syndrome d'apnée du sommeil, un cancer (lymphome, leucémie…), un trouble de l'hypothalamus (zone du cerveau responsable de la régulation de la température du corps), ...
Consulter son médecin et réaliser des examens
Si vos sueurs nocturnes persistent plusieurs jours sans cause apparente et que votre transpiration nocturne à une odeur forte, prenez le temps de consulter votre médecin afin de rechercher les causes.
Hyperhidrose. Le diagnostic médical le plus courant en cas de transpiration excessive est l'hyperhidrose, un dysfonctionnement du système nerveux central. Des millions de personnes souffrent de cette maladie, qui affecte généralement les mains, les pieds, les aisselles et le visage.
Sueurs nocturnes et les cancers
Certains cancers tels que la leucémie ou le lymphome provoquent de la transpiration excessive la nuit. Ce type de cancer affecte les cellules de l'immunité : les lymphocytes, aussi appelés globules blancs.
Il explique que le corps dispose d'une certaine immunité à ce variant. "Ce mélange entre l'activation du système immunitaire et les légères différences dans le virus pourrait donner lieu à une maladie un peu différente, les sueurs nocturnes étant assez étrangement une caractéristique", détaille-t-il.
Le rôle principal de la transpiration est donc de maintenir la transpiration corporelle constante, mais ce n'est pas son seul bienfait. En effet, la sueur permet également l'élimination des déchets métaboliques et contribue à l'équilibre des micro-organismes et bonnes bactéries présents sur la peau (microbiote).
La plante phare pour réguler les sueurs nocturnes reste l'actée à grappes noires, bien que d'autres plantes comme le gattilier, le kudzu ou l'onagre par exemple soient aussi intéressantes à utiliser pour leur action hormonale.
Un système d'autorégulation thermique, pas une dépense calorique. La sueur, constituée en grande partie d'eau, ne traduit pas une dépense de calories. Le fait de transpirer n'entraîne qu'une perte de poids ponctuelle, compensée par l'hydratation et la réhydratation que nécessite notre entraînement.
La ménopause est la période de la vie d'une femme où les règles ( menstruations ) s'arrêtent définitivement. Elle intervient généralement entre 45 et 55 ans et en général aux alentours de 50 ans. La ménopause est un phénomène naturel.
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Elle dure environ 5 ans avant l'interruption définitive des règles, et peut parfois déjà donner quelques bouffées de chaleur, de la fatigue, une irritabilité, ou des troubles du sommeil.
L'hypoglycémie est un des problèmes les plus fréquents chez les diabétiques. Cette réaction induite par une diminution brutale du taux de sucre dans le sang se manifeste notamment par une transpiration abondante, en plusdes palpitations, de la sensation de faiblesse et des tremblements.
Diarrhée et Covid-19 : symptôme d'Omicron, durée, traitement
Santé Publique France rapporte un retour des troubles digestifs tels que nausées, vomissements et diarrhée chez les cas positifs aux nouveaux variants Omicron BA.4 et BA.5 par rapport aux premiers cas Omicron (BA1 et BA2).
Pendant la vague du variant Omicron, qui a commencé en novembre 2021, les personnes qui avaient reçu au moins deux doses de vaccin ont signalé des symptômes plus légers, dont les plus fréquents étaient un écoulement nasal, des maux de tête, des éternuements et des maux de gorge.
Le diabète de type 1, généralement appelé simplement diabète, était déjà identifié comme une affection associée à une « urine sucrée »: une glycémie élevée (hyperglycémie) conduit à la libération de sucre en excès dans l'urine, d'où provient l'expression « urine sucrée ».
Les femmes prennent en moyenne 2 à 2,5kg à la ménopause. Cette prise de poids s'observe particulièrement durant la période de transition entre périménopause et ménopause qui dure environ 3 ans. Durant cette période, les kilos ont tendance à s'accumuler dans la région abdominale.
Le diagnostic de la ménopause est très simple : vous n'avez plus été réglée depuis plus d'un an. Dans votre corps, vos ovaires ont libéré leurs derniers ovules et ne sécrètent plus d'hormones féminines. Ce diagnostic doit évidemment être confirmé par votre gynécologue qui fera avec vous les examens nécessaires.
Les femmes ménopausées souffrent ainsi plus souvent de raideurs, de gonflements et de douleurs articulaires en particulier au niveau des doigts et des poignets. Peuvent aussi être touchés dans une moindre mesure, les genoux, les lombaires, les épaules, et plus rarement les hanches, les pieds et les chevilles.
Règles irrégulières
Avant le début de la ménopause, le cycle menstruel commence à montrer des signes de perturbation. Il peut devenir beaucoup plus long ou plus court que d'habitude, et disparaître de temps en temps. Les saignements peuvent être plus abondants ou plus légers.