Dans pour qu'il y ait , ait s'écrit avec la terminaison t . On l'emploie par exemple dans : pour qu'il y ait le moins de mécontents possible , pour qu'il y ait quelqu'un qui réponde , pour qu'il y ait du monde qui vienne .
La réponse simple. On écrit « qu'il ait » ou « qu'il est » selon le verbe, le temps et le mode employés.
On écrit aie, aies ou ait quand il s'agit du verbe avoir au présent du subjonctif (les trois premières personnes). Il faudrait que j'aie toutes les réponses avant lundi. Je souhaite que tu n'aies que des réussites. L'avez-vous vu avant qu'il n'ait rencontré le directeur ?
T'ai est le pronom personnel te (t') accompagné du verbe avoir au présent de l'indicatif à la 1re personne du singulier. T'aie est également le pronom personnel te (t') accompagné du verbe avoir, mais au subjonctif présent à la 1re personne du singulier.
Étymologie de « quoi qu'il en ait »
Forme décalquée sur l'expression « malgré qu'il en ait », évitant un malgré que présumé fautif : voir malgré.
Les deux sont possibles selon le degré de réalité : « qui ait un sens », c'est hypothétique, un souhait, etc. « qui a un sens », c'est plus ancré dans la réalité, on sait que l'on va trouver cette activité ou qu'on la pratique déjà.
C'est le verbe "avoir" conjugué à la troisième personne au subjonctif présent (qu'il/elle/on ait). Exemple : "Qu'il ait raison ou non, cela m'est égal !" Remarquez, dans cet exemple, la présence d'un autre [è], qui s'écrit cette fois-ci "est", puisqu'il s'agit du verbe "être" !
Subjonctif présent, 2e personne du singulier : que tu aies. ait. avoir. Subjonctif présent, 3e personne du singulier : qu'il/qu'elle ait.
On écrit également « aie » quand il s'agit du verbe avoir à la deuxième personne du singulier de l'impératif présent. Exemple : N'aie pas peur, ce petit chien veut juste faire connaissance avec toi. Le meilleur de votre expression écrite.
La conjonction "après que" est suivie d'un indicatif et non pas d'un subjonctif : Le médecin est reparti après qu'il a examiné le patient. Les verbes "décider" et "espérer" sont suivis d'un indicatif même s'ils expriment une opinion.
Les verbes conjugués à la première personne du singulier se terminent par -ai au futur de l'indicatif et par -ais au conditionnel présent.
Par conséquent, le verbe avoir doit se conjuguer à la 1re personne du singulier du présent de l'indicatif, ce qui donne "ai". Bien sûr, la même règle s'applique quel que soit le sujet : "toi qui as", "lui qui a", etc. "Moi qui", "toi qui"... sont des tournures emphatiques.
"Qui plus est" est une locution signifiant "de plus" ou "en outre". On l'utilise pour surenchérir. La proposition qui suit "qui plus est" est toujours en relation avec celle qui la précède et l'accentue. Exemple : Il est désagréable.
L'Allemand Gutenberg inventa les caractères mobiles réalisés en plomb qui peuvent être reproduits et utilisés infiniment. C'est lui qui fut le premier à imprimer la Bible en Europe entre 1452 et 1456 avec des caractères mobiles. L'ouvrage a été imprimé en 180 exemplaires.
La phrase est-ce normal est une question, dans laquelle l'ordre du sujet ( ce ) et du verbe ( est ) est inversé. Dans une phrase qui ne serait pas sous forme de question, on aurait plutôt c'est normal .
Bonsoir. *Qu'il y a-t-il est une tournure du langage populaire parlé, incorrecte du point de vue de la syntaxe, même si elle se rencontre fréquemmentdans la presse et sur le Net. C'est tout aussi incorrect que si l'on disait, par exemple, *qu'il faut-il au lieu de que faut-il.
Le subjonctif est le mode du virtuel. Il permet d'exprimer une hypothèse, un fait incertain, un souhait, une action envisagée, une envie, une émotion ou toute forme d'incertitude. Ex : J'aimerais que tu viennes (souhait).
Le subjonctif présent (ou le présent du subjonctif) est un temps de verbe simple qui fait partie du mode subjonctif. Il sert à exprimer une action incertaine, non réalisée au moment de l'énonciation.
J'ai correspond au verbe avoir conjugué au présent, et que j'aie au verbe avoir conjugué au subjonctif.
Quelle (ou quelles au pluriel) est l'adjectif interrogatif ou exclamatif. Il s'accorde avec le nom qu'il accompagne (quel, quelle, quels, quelles). Par contre, on écrit qu'elle (ou qu'elles au pluriel) quand il s'agit de la conjonction que + le pronom sujet elle(s) PRONOMS SUJETS.
Les erreurs de conjugaison à ne pas reproduire
Attention à utiliser la terminaison correcte et à ne pas écrire que tu ais (cette forme n'existe pas du tout), ni que tu ai , ni encore que tu aie !
- Quels qu'aient été vos conseils, il n'en fera qu'à sa tête. - Quelles qu'aient été vos objections, il n'en fera qu'à sa tête. - Je ne veux pas entendre vos excuses, quelles qu'elles soient. QUELQUE prend le S du pluriel.
Rappelez-vous que « ait » est une forme du verbe « avoir », et « est » une forme du verbe « être ». Remplacez le mot qui pose problème (« ait » ou « est ») par « était », autre forme du verbe « être ». Le sens est conservé ? Écrivez « est ».
Il s'accorde en genre et en nombre avec le nom qu'il accompagne ; il s'écrit quel(s) ou quelle(s) : Quel beau temps ! Quelle agréable journée!