On estime que la pression artérielle est optimale lorsque la valeur de la pression systolique est inférieure à 120 mmHg et que celle de la pression diastolique est inférieure à 80 mmHg.
Xavier Girerd, cardiologue au groupe hospitalier de la Pitié-Salpêtrière : "Il vaut mieux avoir un chiffre de tension le plus proche possible de 12/7. C'est une pression artérielle qui va conduire à avoir une espérance de vie sans maladie cardiovasculaire.
La valeur normale de la pression artérielle est de 120/80*. Le chiffre le plus élevé est la pression maximale, lorsque le cœur se contracte pour se vider. C'est la pression systolique. Le chiffre le moins élevé est la pression minimale, lorsque le cœur se relâche pour se remplir.
Idéalement, le sang circule avec une tension maximale de 120 sur 80 mmHg. La tension est considérée comme normale jusqu'à une valeur de 129/84, et normale haute jusqu'à une valeur de 139/89.
La tension artérielle moyenne au repos chez les hommes de 20 à 29 ans était de 108/69 mmHg, comparativement à 124/72 mmHg chez les hommes de 70 à 79 ans. La tension artérielle moyenne au repos des femmes de 20 à 29 ans était de 102/69 mmHg, comparativement à 126/70 mmHg chez les femmes de 70 à 79 ans.
La pression artérielle des participants ayant consommé l'eau à forte teneur en calcium et magnésium a diminué de façon significative et ce, dès la deuxième semaine de traitement. À la fin de l'étude, deux semaines plus tard, la pression artérielle moyenne de ce groupe était passée de 156,8/91,7 à 150,4/89,1.
Chez les patients victimes d'une hémorragie intracérébrale, la pression artérielle devrait être surveillée, traitée et maîtrisée de manière vigoureuse [niveau de preuve A] pour maintenir une pression artérielle cible constamment inférieure à 130/80 mm Hg [niveau de preuve B].
La tension artérielle moyenne au repos des femmes de 20 à 29 ans était de 99/65 mm Hg, comparativement à 128/70 mm Hg chez les femmes de 70 à 79 ans.
L'hypotension est une tension artérielle plus basse que la normale. On considère généralement qu'une tension (ou pression) normale, au repos, est comprise entre 90/60 mmHg et 130/80 mmHg. En dessous de 90 mmHg de pression systolique ou de 60 mmHg de pression diastolique, on est donc en présence d'une hypotension.
Comment faire contrôler sa tension artérielle ? Que vous mesuriez à la maison ou au cabinet d'un médecin, votre tension artérielle doit être prise dans les deux bras simultanément, si possible. Une différence de tension artérielle inférieure à 5 mmHg entre le bras gauche et le bras droit est considérée comme normale.
Qu'est-ce qu'une tension normale ? On considère qu'une tension normale doit se situer à 12 ou 13 pour le premier chiffre, et 8 pour le second. Si l'on prend en compte la fourchette haute, l'hypertension légère commence à partir de 14/9. Quant à l'hypotension, elle commence à partir de 10/6.
Pour la plupart des gens, on considère que la pression est trop élevée et nécessite un traitement lorsqu'elle demeure au-dessus de la barre des 140/90 mm Hg.
La tension artérielle est normale quand la PAS est entre 120 et 129 mmHg et/ou la PAD entre 80 et 84 mmHg. La tension artérielle est normale haute quand la PAS est entre 130 et 139 mmHg et/ou la PAD entre 85 et 89 mmHg.
La tension artérielle est reflétée par ces 2 valeurs : une tension normale se situe entre 90/60 mmHg et 130/80 mmHg. Ce qui correspond à 90/130 mmHg de pression systolique et 60/80 mmHg de pression diastolique. Sous ce seuil, on est en état d'hypotension.
Le stress est une réponse normale de l'organisme face à une situation déstabilisante : angoisse, douleur, colère, joie… Autant d'émotions auxquelles votre corps va répondre par un ensemble de réactions biologiques. Entre autres effets, votre tension augmente, et votre rythme cardiaque s'accélère.
Une tension artérielle trop basse, c'est-à-dire correspondant à une baisse de la tension artérielle en dessous 90 mm Hg pour le maxima, est appelée hypotension. On parle d'hypotension orthostatique lorsque la tension chute de plus de 2 mmHg au passage de la position couchée à la position debout.
Les causes d'une chute de tension sont multiples. La déshydratation en est la principale. En effet, si le volume sanguin n'est pas suffisant, la pression artérielle chute. La fièvre et les infections peuvent aussi faire baisser la tension.
Le matin et le soir, répétez la manœuvre 3 fois de suite, à une ou deux minutes d'intervalle. Il ne sert à rien de mesurer votre pression artérielle dans d'autres moments de la journée. Ces mesures supplémentaires compliqueraient inutilement l'analyse de votre médecin.
Une grande fatigue, des vertiges, une sensation de malaise sont parfois les signes d'une tension basse : ce qu'on appelle une hypotension. Le plus souvent dite orthostatique, car liée à la position debout. Ce n'est pas dangereux et n'a rien d'anormal.
CHICAGO, 15 avril (APM-Reuters) - Dans l'hypertension, c'est bien la pression systolique qui est la plus importante, quel que soit l'âge, car c'est elle qui est corrélée au risque d'avoir un événement cardiovasculaire, confirme une étude française.
Si l'hypertension artérielle est liée à un phéochromocytome, les symptômes peuvent comprendre des céphalées graves, l'anxiété, la conscience d'un rythme cardiaque rapide ou irrégulier (palpitations), une transpiration excessive, des tremblements et une pâleur.
Une tension basse ne doit pas inquiéter outre mesure. C'est le cas de nombreuses jeunes femmes, dont la tension se situe autour de 10 ou 11 pour le chiffre supérieur (tension systolique), parfois encore un peu moins. L'inconvénient d'une "petite tension" est le risque de vertiges, d'étourdissements, voire de malaises.
Les personnes qui consomment en quantité des boissons contenant de la caféine ont une tension artérielle basse. Cette corrélation récemment découverte ne vaut toutefois que pour les non-fumeurs, comme le montre l'étude réalisée par l'équipe de la Prof.
L'AVC silencieux, ou l'absence de symptômes. Sourire asymétrique, faiblesse d'un côté du visage ou du corps, difficultés à s'exprimer… En règle générale, les signes de l'AVC sont relativement faciles à reconnaître. Mais il arrive que cette pathologie ne provoque aucun symptôme : on parle alors d'AVC silencieux.
L'insuffisance cardiaque : en présence d'une hypertension, le cœur travaille davantage pour envoyer le sang dans toutes les artères du corps. Au bout d'un certain temps, il devient moins performant et se fatigue. Le besoin du cœur en oxygène devient plus important.