La pluie est polydisperse : la taille des gouttes varie du dixième de millimètres à quelques millimètres (en moyenne 1 à 2 mm ). Aucune goutte ne dépasse 3 mm , au-delà elles se pulvérisent.
«Pour qu'une précipitation soit enregistrée, il faut qu'on reçoive 0,2 mm de pluie. C'est minime.
La pluie se compose de gouttes allant de 0.5 mm pour les plus petites à 6 mm pour les plus grandes. Au-delà, elles explosent pendant la chute et forment ainsi des gouttes plus petites. La quantité de pluie tombée se mesure en mm (millimètre). Un mm représente un litre d'eau tombé par mètre carré.
1mm d'eau correspond à un volume de 1 litre par mètre carré . Ainsi une bonne pluie de 10 mm représente un faible niveau dans votre pluviomètre mais 10 L d'eau par m2 soit 100 000 Litres d'eau par hectare!
L'unité utilisée est le millimètre de précipitation par mètre carré. En supposant une répartition homogène des précipitations sur cette surface, 1 millimètre de pluie représente 1 litre d'eau par mètre carré.
Ainsi, une probabilité de 30 % correspond à quelques précipitations isolées, et 40 %, à des précipitations dispersées. Des probabilités de 60 %, par exemple, pointent plus vers des précipitations plus étendues. Au-delà de 70 %, les précipitations sont encore plus étendues et plus fréquentes.
On parle de fortes précipitations quand une averse donne lieu à de fortes quantités d'eau de pluie en peu de temps. Par définition, il faut au moins 5 litres de pluie par mètre carré en l'espace de 5 minutes ou 17 litres en une heure pour parler de fortes précipitations.
Une pluie continue gardera une intensité constante généralement faible ou modérée. Les averses sont plus instables et souvent plus intenses.
La nuit, le sol se refroidit, l'air se stabilise dans les couches inférieures et l'activité orageuse cesse. L'été, la fréquence des orages est plus importante, car la différence de température entre le jour et la nuit est plus élevée.
En été une bonne pluie peut être considérée comme un arrosage à partir de 10 mm (10 litres par m²).
1 mm de pluie correspond à 1 litre d'eau sur une surface d'1 mètre carré (c'est à dire 1000 ml sur 10 000 cm2). 1 / Si la partie réceptrice du pluviomètre fait 10 x 10 cm, soit 100 cm2, elle recevra 100 fois (10 000 / 100) moins d'eau sur cette surface, soit 1 litre / 100 = 10 millilitres pour ce même millimètre.
Les pluies n'ont donc pas le temps de s'infiltrer correctement dans la terre. Ce phénomène est accentué par la sécheresse avec un sol qui agit comme une croute imperméable et l'eau va converger vers les points bas ou dans les cours d'eau environnants.
Cet histogramme donne une pluviométrie annuelle moyenne pondérée par la surface sur la France métropolitaine de 879mm par an et une médiane de 835mm, c'est-à-dire que 50% du territoire est plus arrosé que cette valeur, et 50% moins.
lorsque la probabilité de précipitations est inférieure à 50 %, les averses qui se développent sont éparses dans la région et très peu probables en un point précis ; lorsque la probabilité de précipitations est supérieure à 50 %, les averses deviennent de plus en plus probables en chaque point.
Une ligne rouge avec des demi-cercles sur un côté représente des fronts chauds. Le côté où se trouvent les demi-cercles représente la direction prise par le front chaud. Les fronts stationnaires, il s'agit d'une frontière immobile entre deux masses d'air différentes.
Le "mm" correspond en volume, à une hauteur d'eau de 1 mm sur une surface plane de 1 m² (soit 1L). Les pays anglo-saxons utilisent parfois l'inch (le pouce). 1 inch correspond à 25,4 mm de précipitations et la résolution la plus courante est le centième de inch (0,254mm).
Selon des chercheurs américains, le son d'une averse, d'un orage et des vagues arrivent à déclencher un mécanisme de détente et d'endormissement chez certaines personnes. Notre cerveau assimile ces bruits comme des sons rassurants et s'en sert pour en bloquer d'autres plus perturbateurs.
Le bruit de la pluie est un grand classique des CD de relaxation. La sensation de bien-être procuré par le son de la pluie sur un toit vient du sentiment de sécurité induit par le fait d'être à l'abri de celle-ci et bien au chaud.
Lorsqu'une goutte de pluie tombe au sol, elle piège des bulles d'air qui éclatent en émettant des aérosols. Ces derniers emportent des particules du sol qui donnent l'odeur caractéristique d'un début d'averse. Après une chaude journée, les premières gouttes de pluie sont parfois les bienvenues.
« À des températures vraiment basses, comme -40 degrés Fahrenheit et Celsius (le point auquel les échelles de température sont les mêmes ), il y a si peu d'humidité dans l'air qu'il devient extrêmement improbable que de la neige se forme. L'air est si froid qu'il est peu probable qu'il monte.
« Un orage n'est pas forcément accompagné de fortes pluies. Cela peut être deux éléments distincts. L'averse, pour rappel, est une pluie intense, qui dure un peu moins d'une heure.
Il s'agit de précipitations solides qui tombent d'un nuage et atteignent le sol lorsque la température de l'air est négative ou voisine de 0 °C.
On dit ainsi "tomber des cordes" ou "tomber des hallebardes". Mais aussi "tomber comme à Gravelotte".
bruine n.f. Petite pluie fine, qui tombe par gouttes imperceptibles. bruiner v. impers.
Observer la virga pour savoir s'il va pleuvoir
Ce qu'il faut observer, conseille Guillaume Séchet, météorologiste et créateur du site Meteovilles.com, c'est le rideau gris appelé « virga » que l'on aperçoit sous les nuages. La virga est composée de gouttelettes de pluie ou de minuscules cristaux de glace.