Siddhartha Gautama (plus connu comme le Bouddha, vers 563-483 AEC) était, selon la légende, un prince hindou qui renonça à sa position et à sa richesse pour rechercher l'illumination comme un ascète spirituel, qui atteignit son but, et qui, en prêchant son chemin aux autres, fonda le bouddhisme en Inde aux 6éme-5ème ...
Histoire de Bouddha
Shakyamuni dit le Bouddha « l'éveillé » est un chef spirituel qui enseigne la méditation. Il vécut il y a environ 2500 ans en Inde. Il naît à Lumbinî (Népal) où on le nomme «Siddhartha gautama», celui qui atteint son but.
Yashodhara (glorieuse) est la cousine et l'épouse principale de Gautama, mère de son fils Rahula. Connue par les Jatakas (légendes de la vie du Bouddha), elle serait devenue du vivant de Gautama une ascète, une nonne prééminente et l'un des quatre arahants de son entourage possédant l'intuition absolue.
Il s'agit d'un homme appelé à l'origine Siddhartha Gautama qui a vécu dans ce qui est aujourd'hui le nord de l'Inde et du Népal il y a environ vingt-cinq siècles.
Le bouddhisme est, avec le jaïnisme, la seule religion traditionnelle non théiste. Le bouddhisme considère que tous les êtres sensibles deviendront inévitablement un jour un bouddha à l'égal de tous les bouddhas passés, présents et futurs. Or un bouddha n'est pas (un) Dieu. Selon le bouddhisme, Dieu n'existe pas.
Le bouddhisme fait son apparition en Inde vers 500 avant Jésus-Christ grâce à un prince du clan des Sakya, Siddhârtha Gautama, plus tard connu sous les noms de « Gautama le Bouddha » et de « Shakyamuni ». Il est considéré comme un réintroducteur et non comme un fondateur.
Bouddha couché
Certaines des statues les plus spectaculaires du Bouddha le représentent couché sur le côté, la tête reposant sur sa main droite. Cette posture rappelle le dernier moment de la vie physique du Bouddha, quand, à l'âge de 80 ans, il quitte ce monde et atteint le parinirvana, ou le « nirvana final ».
Dans la mythologie chinoise, l'estomac est le reflet de l'âme. Par conclusion, le gros ventre de Bouddha serait à l'origine de son gros cœur, de sa bienveillance et de son amour pour autrui. Ce Bouddha au gros ventre symboliserait donc l'abondance, la plénitude, la richesse et la prospérité.
Dans la sphère culturelle indienne, des savants musulmans ont reconnu, dans la figure de Dhû l-kifl, le Bouddha Gautama. Celui-ci est ainsi intégré à la liste des prophètes de l'islam.
“Celui qui est le maître de lui même est plus grand que celui qui est le maître du monde.” “Bonne est l'action qui n'amène aucun regret et dont le fruit est accueilli avec joie et sérénité. ” “Meilleur que mille mots privés de sens est un seul mot raisonnable, qui peut amener le calme chez celui qui l'écoute.”
Puisque le mariage bouddhiste est avant tout la relation elle-même, le fait de vivre ensemble heureux. Ainsi, si le choix est fait d'aller demander une bénédiction en temple, les moines la donnant ne créent pas le mariage, ils le reconnaissent, comme l'auraient fait leurs proches.
La vie des femmes dans l'ère culturelle bouddhiste traditionnelle est généralement divisée en trois temps : celui de l'enfance, celui de l'épouse, et celui de la mère de famille. Aux seuils de ces trois temps se trouvent la naissance, le mariage et la maternité.
Les vingt-huit bouddhas sont honorés lors des fêtes bouddhistes dans les pays où le theravada est prédominant, comme le Myanmar, le Laos ou la Thaïlande. Il s'agit de vingt-sept bouddhas du passé et du Bouddha Gautama qui vient à leur suite.
La divinité du Bouddha
Le Bouddha historique est perçu par l'école Jonangpa du Bouddhisme tibétain comme étant « absolu, omniprésent, connaissance suprême au-delà des limitations de la conscience ordinaire ».
C'est ce qui explique pourquoi de nombreuses représentations de Bouddha en méditation ont les yeux légèrement ouverts ! En effet, fermer les yeux est une façon de se réfugier en soi, de se couper du monde, ce qui n'apporte rien et ne fait que nous isoler.
Il existe plusieurs Bouddhas selon les traditions bouddhistes, mais ce terme est plus employé pour désigner le fondateur de la religion.
Une pointe au sommet de la tête du Bouddha représente la conscience réalisée (lingam, ou phallus). Son crâne recouvert de coquilles d'escargots symbolise l'hermaphrodite : l'être spirituel non identifié au genre.
Il est aussi possible d'avoir une statue de bouddha chez soi pour symboliser la prospérité, la richesse, la plénitude ainsi que la sagesse. Par ailleurs, avoir une statue de bouddha chez soi peut être aussi lié à une pratique spirituelle, à une communion avec l'illuminé, à partir de la méditation.
On ne pose jamais pour une photo devant une statue ou une peinture du Bouddha. Lui tourner le dos est est en effet considéré comme un manque de respect.
Quelles que soient les religions, les statues à l'effigie des divinités sont souvent réputées pour porter bonheur. Le bouddhisme ne déroge pas à cette règle. Pour les pratiquants de cette religion et de cette philosophie de vie, il est évident qu'une statue Bouddha délivre des ondes positives et apporte de la chance.
La réincarnation constitue un principe de continuité de la vie du bouddhiste après la mort. Ce prolongement de la vie et la réalisation du cycle karmique, dépend selon les bouddhistes des actions entreprises par le défunt au cours de sa vie.
Le bouddhisme et l'islam la condamnent, parce que l'alcool fait perdre la maîtrise de soi. La tradition sunnite considère que « l'alcool est la mère de tous les vices et c'est le vice le plus honteux » (Sounan Ibn-Majah, Hadith 3371).
Dans la tradition bouddhiste, pas de viande ! C'est une conséquence du principe de non-violence des bouddhistes, le tout premier principe moral. Il s'agit de ne pas attenter à la vie d'un autre être vivant sensible.