Au XVe siècle, lorsque Gutenberg imprime la Bible, les autorités religieuses affirment que c'est Dieu lui-même qui a dicté les textes à des prophètes, à commencer par Moïse pour le Pentateuque, soit les cinq premiers rouleaux de l'Ancien Testament qui correspond à la Torah juive.
D'après la religion chrétienne, l'auteur de la Bible, c'est Dieu lui-même. Selon le texte, la Bible est directement inspirée de Dieu, plus précisément de l'Esprit saint.
La Tradition attribue les cinq premiers livres à Moïse, le livre des Psaumes à David ou tel autre encore au prophète Isaïe ou à Jérémie. On sait aujourd'hui que la composition de la Bible a été longue et complexe, faite d'emprunts à des traditions orales, à des chroniques royales ou encore à des écoles de pensée.
Alors que la Bible comptait de nombreux écrivains humains , ce livre n'a qu'un seul auteur ultime : Dieu lui-même!
Trop souvent, on parle indistinctement de Bible et de Parole de Dieu. Or, la Bible n'est pas spontanément Parole de Dieu : elle le devient. L'enjeu est important. Dieu se révèle comme Parole incarnée, comme Parole adressée, comme une Bonne Nouvelle qui nous concerne et nous implique.
Comme l'indique la notice de la Bibliothèque nationale de France (BNF) consacrée au Codex Vaticanus , il s'agit du « plus ancien manuscrit (grec) complet conservé de l'Ancien Testament, et une grande partie du Nouveau Testament, datant sans doute du IVème siècle, et conservé à la Vaticane depuis 1475.
La Bible, dans son ensemble, se présente avant tout comme un récit ordonné dans le temps, qui commence à la création du monde et relate les relations entre Dieu et les hommes.
Ils peuvent donc demander : “Qu'y avait-il avant Dieu ?” Mais le Dieu éternel n'est pas un effet. Il n'y a jamais eu de temps où il ne fut pas. L'existence de Dieu ne dérive de rien d'autre que de lui-même, et elle ne dépend de rien d'autre que de lui-même.
Les Hébreux ont écrit la Bible hébraïque pour conserver leurs traditions au moment où leurs royaumes étaient envahis. Ce livre raconte leur histoire, à laquelle se mêlent des légendes et des règles religieuses ou morales.
Chrétiens. « Le Nouveau Testament, lui, a été écrit en grec par des chrétiens, certainement quelques dizaines d'années après la mort de Jésus. Il en est le personnage principal. Le Nouveau Testament contient plusieurs textes : les Évangiles, les Actes des Apôtres, les Épîtres et l'Apocalypse.
La Bible hébraïque : « Le mot Torah est formé à partir d'une racine hébraïque yarah qui signifie "enseigner". Torah désigne d'abord les cinq premiers livres de la Bible ou Pentateuque, mais aussi le rouleau de parchemin sur lequel est copié le texte de la Torah, et par extension, tous les écrits sacrés du judaïsme.
1 Le terme, utilisé par les Chrétiens, et venu du pluriel du grec biblion (« livre »), désigne l'ensemble des livres saints du judéo-christianisme (Ancien et Nouveau Testaments), considérés comme ayant été inspirés à leurs auteurs par l'esprit de Dieu (« Dieu parle bien de Dieu », dit Pascal dans les Pensées).
La majorité d'entre eux s'accordent toutefois pour situer son écriture entre les VIII e et II e siècle av. J. -C. , et celle du Nouveau Testament entre le milieu du I er et le début du II e siècle. Le plus ancien objet où figure un fragment biblique est l'amulette de Ketef Hinnom, datée vers 600 av.
La Bible est la parole de Dieu.
La Bible est une compilation de livres sacrés écrits par des historiens et des prophètes d'autrefois. Ces auteurs racontent les relations qui existaient entre Dieu et son peuple pendant plus de quatre mille ans. Leurs paroles inspirées sont ce que nous appelons aujourd'hui la Bible.
Principe fondateur dans les religions monothéistes, Dieu est l'être suprême, unique, transcendant, universel, créateur de toutes choses, doté d'une perfection absolue, constituant le principe de salut pour l'humanité et qui se révèle dans le déroulement de l'histoire.
N'écrivez pas que vous êtes « dans le secret des Dieux », mais que vous êtes « dans le secret des dieux ». « Dieu » ne prend une majuscule que s'il s'agit de celui, unique, que vénèrent les religions monothéistes. Les divinités païennes doivent, elles, se contenter de la minuscule.
La Bible n'est pas principalement un livre de lois, bien qu'elle contienne des sections con- sacrées aux lois de Dieu. Elle est surtout une série d'écrits dont le but est de mettre Dieu en relation avec sa création humaine.
Les interprétations étant possibles on se retrouve avec des différences. Ensuite il y a les problèmes linguistiques. Chaque traduction de la bible peut modifier de près ou de loin certaines notions. Le grec est notamment rempli de mots polysémiques et la bible de métaphores, cela peut générer plusieurs versions.
Les historiens, depuis que l'histoire s'est constituée en science, à savoir au milieu du 19è siècle, ne considèrent pas la Bible comme un récit historique. Cela vaut aussi bien pour le premier Testament que pour le Second.
La terre était informe et vide : il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme, et l'esprit de Dieu se mouvait au-dessus des eaux.
Étymologie. (Date à préciser) Du latin deus , de l'indo-européen commun * di- (« briller, soleil, jour, dieu »). Apparenté au grec ancien Ζεύς , Zeús (« Zeus »).
Avant l'acte créateur de Dieu, le monde n'est pas un chaos aqueux, mais une étendue désertique : « Telle est la naissance du ciel et de la terre lors de leur création.
On peut comparer la Bible à une vaste bibliothèque. L'Ancien Testament est composé de 39 livres dans la tradition juive, et 46 pour les chrétiens (avec de petites différences selon les confessions). Le Nouveau Testament, lui, compte 27 livres. Lecture en 3 min.
Par exemple, en Actes 13.35, la parole du psalmiste est attribuée à Dieu (voir Ps 16.10). Ce même phénomène se retrouve en Hébreux 1.6-12, 10.30 ou 13.5 (voir aussi Matthieu 19.5). Ainsi, lorsque la Bible se réfère à l'Écriture, elle cite non pas un texte teinté d'inspiration, mais les paroles mêmes de Dieu.