En début de phrase, il est rarement suivi d'une virgule, mais ce n'est pas interdit. En tant que « charnière temporelle », sur le modèle d'ensuite, il y a droit 3. « […] puis peut porter un accent tonique, être suivi d'une pause dans l'oral et d'une virgule dans l'écrit […] » (Grevisse, loc.
Il est préférable de ne pas faire suivre d'une virgule le mot puis placé en tête de phrase : Elle était très inquiète. Puis elle a fondu en larmes en apprenant la nouvelle.
Plutôt que de démarrer votre présentation de manière classique, nous vous conseillons de débuter par une accroche pour éveiller l'intérêt de votre public. Il peut s'agir d'une question, une citation, une anecdote… (voir des exemples d'accroches).
Quand l'adverbe figurant en début de phrase est un mot isolé, court ou long, il n'y a pas de règle absolue. En principe, on emploie la virgule si la phrase est d'une certaine longueur ou si l'on désire créer un effet d'insistance.
Par exemple, on évitera de commencer un roman par la conjonction mais, à moins de vouloir donner au lecteur l'impression d'atterrir au beau milieu d'une conversation ou d'une méditation. Il y a un autre écueil à éviter.
« Quel est ton cours favori ? » 👉 Ces déterminants peuvent être un attribut du sujet dans une subordonnée complétive interrogative indirecte. En d'autres termes, ils ne seront pas situés au début de la phrase ! 👉 Même dans ce cas-là, la règle reste la même.
« Non, mais… » : On reste dans la négation, mais on ouvre la discussion sur autre chose. Non seulement les interlocuteurs perçoivent cette volonté d'être constructif, mais en se forçant à entamer sa phrase de cette manière on s'oblige à garder l'esprit ouvert.
Les mots de liaison de chronologie sont essentiels pour organiser temporellement un texte. 📝 Par exemple, dans un récit, "d'abord", peut introduire le début de l'intrigue, suivi par "ensuite" pour détailler les développements successifs, et enfin "enfin" pour conclure l'histoire.
par exemple, comme, ainsi, c'est ainsi que, c'est le cas de, notamment, entre autres, en particulier, à l'image de, comme l'illustre, comme le souligne, tel que... LIAISON alors, ainsi, aussi, d'ailleurs, en fait, en effet, de surcroît, de même, également, puis, ensuite, de plus, en outre...
Certains exemples incluent « tout d'abord », « en premier lieu », « pour commencer », « il convient de noter que », « dans un premier temps », et « en guise d'introduction ». Ces connecteurs apportent cohérence et clarté à ton écriture en établissant des transitions fluides entre les parties de ton texte.
Une phrase est dite simple lorsqu'elle ne contient qu'un seul verbe conjugué. Exemple : Je vais au concert ce soir. Lorsqu'une phrase contient plusieurs verbes conjugués, elle est complexe. Exemple : Je vais au concert ce soir et je rentrerai tard.
Et puis, introduit un deuxième ou un énième terme d'une énumération : Je veux une robe, un chemisier et puis des chaussures.
Puis est un adverbe que l'on emploie pour introduire un nouvel élément (l'action suivante) et marquer une succession dans un récit. Il est suivi d'une phrase (sujet - verbe - compléments) ou d'un nom. Exemples : Monsieur Granget a mis de l'ordre dans ses dossiers, puis il a quitté le bureau.
Adverbe. (Adverbe de temps) Permet l'enchaînement chronologique d'évènements. Il leur dit quelques mots, puis il sortit.
Ces deux adverbes ont le même sens. La seule différence est que puis est toujours au début d'une phrase ou d'une proposition, alors que la place de ensuite peut varier.
Les connecteurs temporels les plus courants :
d'abord, premièrement, puis, ensuite, après, alors, et, enfin, quand, depuis, depuis que, pendant, avant que, après que, dès lors, comme, en même temps que, bientôt d'ailleurs, soudain, tout à coup, jamais, jusqu'au bout ...
palilalie n.f. Trouble acquis de l'émission du langage, qui réalise une répétition incoercible, parfois itérative, de syllabes, de mots, de courtes phrases, et comporte une tachyphémie avec fréquente aphonie terminale dans sa forme majeure.
Placé au début d'une phrase courte, or peut s'employer sans virgule : Or il se trouve que j'ai raison.
– Voilà ! : Pour conclure un propos, « voilà » est bien léger, voire effronté ! On veillera au moins à le compléter : « Voilà ce que je voulais vous dire. » Sinon, on conclura par « J'en ai terminé », « C'est tout pour moi » ou encore « Je vous remercie de votre attention ».
- La phrase déclarative permet de donner une opinion ou de raconter un événement. - La phrase interrogative permet de poser une question. - La phrase impérative permet de donner un ordre ou un conseil. Dans le test suivant, vous devez dire le type de phrase dont il s'agit.
« Mais », « ou », « et », « donc », « or », « ni », « car » : voilà quelles sont, en langue française, les conjonctions de coordination.
Synonyme : après, après coup, après quoi, ensuite, plus tard, postérieurement, par la suite, ultérieurement.