Les causes de la claustrophobie sont difficiles à cerner car elles dépendent de l'histoire de chacun : un traumatisme à la naissance ou dans l'enfance par exemple, ou une agression dans un espace confiné comme le métro.
Pour un claustrophobe, le traitement à privilégier serait la thérapie cognitivo comportementale (TCC). Plusieurs recherches ont en effet démontré que la thérapie TCC était efficace à traiter les phobies spécifiques. L'aide psychologique sous forme de psychoéducation est d'abord donnée au client claustrophobe.
Pour soigner cette peur maladive, il est conseillé de se rapprocher d'un professionnel pour suivre une thérapie cognitive et comportementale (TCC), de manière à remettre dans l'ordre les peurs réelles et les craintes irrationnelles. Il faut déshabitué le cerveau.
Un appareil d'IRM à champ ouvert soulage les patients claustrophobes. Ces derniers ne sont pas poussés dans un dispositif en forme de tunnel, mais sont installés entre deux grandes plaques horizontales. Les côtés de l'appareil sont ouverts : le patient reste ainsi en contact avec l'environnement au cours de l'examen.
Pour de nombreuses personnes, une grande partie de l'inconfort ou de la peur d'une IRM provient de la claustrophobie ou du sentiment d'être piégé. Imaginez entrer dans une machine qui ressemble à une grotte. Imaginez être seul et être limité par une structure métallique.
On peut administrer un anxiolytique aux personnes que l'IRM rend anxieuses, tel que l'alprazolam ou le lorazépam, 15 à 30 minutes avant l'examen.
La mégalophobie se caractérise par la peur panique et irrationnelle des grandes choses et gros objets.
La personne ressent une peur intense avec perte de contrôle (peur de s'évanouir, de mourir, de devenir fou, de faire un malaise cardiaque…), une sensation de danger immédiat et des sensations physiques très désagréables et très variables (palpitations, sueurs, frissons, bouffées de chaleur, tremblements, douleurs ...
Cependant, un claustrophobe n'est pas forcément effrayé par l'endroit en lui-même, mais il a plutôt peur de ce qui pourrait lui arriver s'il était coincé à cet endroit. Souvent, lorsqu'il est confiné, l'individu a la sensation de manquer d'air et de ne plus pouvoir respirer.
Nom commun. (Médecine) Peur irrationnelle de parler en public.
La peur des chiens est assez répandue. Elle est souvent provoquée par une mauvaise expérience dans l'enfance. Une morsure ou l'attitude agressive d'un chien, peuvent avoir terrifié un jeune enfant.
Définition. La scopophobie est un trouble anxieux caractérisé par une peur morbide d'être vu ou observé par autrui. Il s'agit d'une peur sociale et spécifique, c'est à dire une peur irrationnelle déclenchée spécifiquement en public.
Nom commun. (Psychologie) Peur de l'infini.
L'IRM dure 15 à 30 minutes (ce qui peut vous sembler un peu long). L'examen est réalisé par un technicien en radiologie, sous la responsabilité d'un médecin radiologue (qui analyse les images).
Son diamètre varie très légèrement en fonction des constructeurs et des modèles mais est approximativement de 60 cm. Un examen IRM anatomique dure en général entre 10 à 30 minutes.
IRM, comment se déroule l'examen ? Concrètement, passer une IRM signifie s'allonger sur une table d'examen et rester immobile pendant 10 à 45 minutes dans un tunnel étroit de 2 mètres de long. Le tunnel est éclairé et ouvert des deux côtés.
Cas particulier (scanner du ventre notamment) : vous devrez boire une boisson contenant un produit opaque aux rayons X ou de l'eau tout simplement. Cette boisson doit être bue longtemps avant l'examen, ce qui peut expliquer que votre heure de rendez-vous soit distante de votre heure d'examen.
Le scanner utilise des rayons X pour créer des images en coupe de votre corps, ce qui peut aider à diagnostiquer un traumatisme, un cancer ou d'autres problèmes médicaux. L'IRM, quant à elle, utilise des champs magnétiques et des ondes radio pour créer des images détaillées de vos muscles, os et organes.
Le jeûne permet également d'éviter une dilution du produit de contraste administré ou de lui donner une meilleure adhérence aux parois digestives. Le fait de boire, manger ou fumer, fait entrer de l'air dans l'estomac et l'intégralité de l'intestin.